La Flexibilité Reduit Elle Le Chomage

PARTIE 1 : LE CHOMAGE C’est une personne qui a dépassé l’âge obligatoire scolaire, qui n’a pas de travail et qui recherche un travail rémunéré salarié. Pole-Emploi et l’INSEE recensent les chômeurs. Pôle emploi les classe par catégorie (A, B, C…). Il y a différents types de chômage : A. Conjoncturel (baisse de la conjoncture) B. Structurel (dû à la structure inefficace, chômage qui dure généralement) C. Frictionnel (le plein emploi est à 3% de chômage et non 0%, 1 % de chômage on est en suremploi)

qui va poser des problèmes à partir des chocs pétroliers (1975) car les emplois ne se créent plus et le chômage augmente. Le taux d’activité des femmes a beaucoup évolué, en 1975 il était de 51,5 %. Phénomène frein dans l’évolution de la population, les jeunes qui ont retardés leur entrée : 55,6 % en 1975 ; 30,6 % en 2000. Les jeunes préfèrent retarder leur entrée pour retarder le chômage. Baisse du taux d’activité des personnes âgés qui partent en retraite plus tôt avec des retraites anticipées

et leur non prise en compte dans la recomposition du monde du travail par l’ensemble des acteurs politiques, économiques et syndicaux. Mots-clefs : travail, emploi, femmes, famille, genre, égalité, différence, identité, mixité, temps partiel, flexibilité, représentation, sociologie du travail. Conceptualizing Women’s Work in France during the last thirty Years Abstract This paper explores thirty years of research in the area of women’s work, in France. It looks more specifically at the different

depuis les années 1980. ⇨ Des inégalités qui augmentent à nouveau Cependant, à partir du début des années 1980, l’évolution des situations aux deux extrêmes de la structure sociale conduit à un renforcement des inégalités. Le chômage et la précarité, qui touchent en priorité les moins qualifiés, interrompent la phase précédente qui voyait l’amélioration des conditions de vie des catégories populaires. Parallèlement, le rapport de force sur le marché du travail tournant au désavantage

organisations une source de performance. La politique de l'emploi menée dans les organisations doit donc veiller à adapter les ressources humaines disponibles aux besoins immédiats et futurs. Différents dispositifs sont alors mobilisables pour permettre la flexibilité des ressources humaines de l'organisation. 1. La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est une démarche visant à évaluer et à anticiper les besoins futurs en ressources

population dans nos pays a augmenté car elle s’est enrichie. On l’explique par : Bouleversement dans la vision de l’enfant. Le couple mise sur l’enfant, on croit à l’amélioration de la vie de son enfant. Il est plus facile d’investir sur un nombre réduit d’enfant que sur un grand nombre. Chez les paysans, un grand nombre d’enfant est un atout. En ville, c’est un cout. Héritage : avant, c’était le droit d’ainesse : le 1er enfant mal garde tout. Aujourd’hui, l’héritage est dispersé : l’idéal est l’enfant

13 décembre 2006 * L’arrêté N° 002 du MTESS * Les conventions collectives * Sur le plan International * Convention 122, sur la politique de l’emploi * Convention 168, sur la promotion de l’Emploi et la protection contre le chômage * Convention 117, sur la formation professionnelle * Convention 87, sur l’orientation professionnelle * Convention 136, programme spéciaux d’emploi et de formation de la jeunesse * Convention 188, sur les agences d’emplois privés

(Allemagne à l’issue de la première guerre mondiale) a connu une inflation qui s’est transformée en hyperinflation ; les prix doublaient toutes les 50 heures, les ouvriers se faisaient payer deux fois par jour. Socialement ce fut un désastre, le chômage était massif entrainant une pauvreté importante. Des révoltes, grèves, attentats de l’extrême droite paralysaient le pays. Économiquement, l’Allemagne avait des difficultés à rembourser les dettes établies par le traité de Versailles. Pourquoi le

Selon le Monde du 8 octobre dernier, « la crise n’en finit pas de se traduire sur le terrain par l’annonce de fermetures ou de réorganisations d’entreprises, et, plus globalement, par la montée du chômage ». Le malaise engendré par la crise se joue principalement sur le marché du travail : en effet, le chômage, la baisse des salaires, entraînant à terme la précarité sont les enjeux centraux de ce marché. Traditionnellement on isole trois principaux marchés : le marché des biens et services, le marché

là il faut coopérer, de discuter et de trouver des dispositifs. Le contrat de travail fonctionne donc comme un contrat d’assurance, le salarié accepte d’avoir un salaire fixe, mais il accepte aussi que l’employeur régule les salaires en temps de chômage. => Le contrat de travail est donc la meilleure solution pour partager le risque entre l’employeur et le salarié, et non pas seulement le salarié. L’hypothèse du salaire d’efficience part du principe que le niveau d’effort correspond au salaire