La Flèche d'or

1853. Ce poème a été écrit suite au coup d’état de Louis-Napoléon Bonaparte entraînant l’exil de Victor Hugo. Durant la cérémonie du sacre, les rois de France portaient un manteau de velours bleu brodé de fleurs de lys d’or. Napoléon Ier adopta un manteau pourpre brodé d’abeilles d’or. Napoléon III aurait voulu que le pape vînt le sacrer, comme ses prédécesseurs, mais la négociation échoua. Il reprit pour emblème de l’Empire, les abeilles symboliques de l’activité du peuple français. Dans notre extrait

songe d'abord à se suicider. Thésée, qui vient d'arriver, le convainc de n'en rien faire et l'emmène à Athènes. LES DOUZES TRAVAUX : 1. Héraclès et le lion de Némée Pour son premier travail, Hercule dut tuer un lion. Ce lion était invincible aux flèches et aux épées. Pour le tuer, Hercule, avec sa force phénoménale, l'étrangla. Puis il prit la peau de l'animal et s'en servit d'armure. 2. Héraclès et l'hydre de Lerne Hercule dut ensuite vaincre un monstre à neuf têtes qui vivait dans les marais

région. Ses rugissements étaient si glaçants que bergers et laboureurs se terraient dans leurs maisons. Héraclès, armé d'un arc, de flèches et d'une massue se dirigea vers l'antre du fauve. Une à une, il décocha ses flèches mortelles. Chacune touchait sa cible, mais l'animal était invulnérable, sa peau était si dure qu'aucune flèche ne pouvait l'entamer. Les flèches dérisoires ricochaient sur la terre. Héraclès ne se laissa pas impressionner et, poussant un grand cri, il se précipita sur le monstre

situation( beaucoup d’erreurs - comique de farce( mouvements des figures Les personnages Harpagon: Le protagoniste qui a donné le titre à la comédie l’Avare; père de Cléante et d’Élise, amoureux de Mariane, mais plus amoureux de sa cassette d’or. Il est un père autoritaire. Il fait tous pour son argent sans scrupules. Cléante: Fils d’Harpagon, amant de Mariane. Au début il est fidèle à son père mais quand il apprend que son père veut marier son amour il fait tous pour saboter cet arrangement

l'avarice de son père contrarie ses projets amoureux. Harpagon est terrifié par une crainte obsédante : il a dissimulé dans le jardin, une cassette qui renferme dix mille écus d'or, il a peur qu’on la découvre et qu'on la lui vole. Suspicieux, il se méfie de tout le monde, même de ses enfants, il va jusqu'à renvoyer La Flèche, le valet de Cléante. Finalement, il leur dévoile ses intentions : il va épouser Mariane, Élise est promise (sans apport de dot) à Anselme, un vieillard, et Cléante est destiné

l'avarice de son père contrarie ses projets amoureux. Harpagon est terrifié par une crainte obsédante : il a dissimulé dans le jardin, une cassette qui renferme dix mille écus d'or, il a peur qu’on la découvre et qu'on la lui vole. Suspicieux, il se méfie de tout le monde, même de ses enfants, il va jusqu'à renvoyer La Flèche, le valet de Cléante. Finalement, il leur dévoile ses intentions : il va épouser Mariane, Élise est promise (sans apport de dot) à Anselme, un vieillard, et Cléante est destiné

l'avarice de son père contrarie ses projets amoureux. Harpagon est terrifié par une crainte obsédante : il a dissimulé dans le jardin, une cassette qui renferme dix mille écus d'or, il a peur qu’on la découvre et qu'on lui vole. Suspicieux, il se méfie de tout le monde, même de ses enfants, il va jusqu'à renvoyer La Flèche, le valet de Cléante. Finalement, il leur dévoile ses intentions : il va épouser Mariane, Élise est promise (sans apport de dot) à Anselme, un vieillard, et Cléante est destiné

argent, car elle est pauvre) mais on apprend que la mère des deux jeunes gens est morte et que leur père est très avare. Les rêves de Cléante d'aider son aimée sont donc impossibles.  Elise annonce à demi-mot qu'elle aime, elle aussi...  Scène 3  La Flêche, valet de Cléante, est chassé par Harpagon (l'avare et père de Cléante et Elise) parce qu'il attendait son maître, s'ensuit dispute et fouille...  Scène 4  Harpagon dit à Cléante et Elise qu'il veut épouser Mariane, que Cléante va épouser une veuve

ses flèches d’or », ainsi qu’à un « ciel d’automne rembrunies ». Nous remarquons la présence dans les deux dernières strophes de nombreux verbes d’actions, « déchire », « inspirer, ranimer », « jeter », liés à un rythme rapide, avec beaucoup de ponctuations, ce qui connote une forte émotion. Le champ lexical des villes arabes dans le poème, « quelque ville mauresque, éclatante, inouïe », connote l’arrivé d’un espoir certain, qui va éloigner la solitude « déchire ce brouillard avec ses flèches d’or

lampes, rabattue sur le tapis vert du billard, laissait flotter une ombre dans l'appartement. Brunissant les toiles horizontales, elle se brisait contre elles en arêtes fines, selon les craquelures du vernis ; et de tous ces grands carrés noirs bordés d'or sortaient, çà et là, quelque portion plus claire de la peinture, un front pâle, deux yeux qui vous regardaient, des perruques se déroulant sur l'épaule poudrée des habits rouges, ou bien la boucle d'une jarretière au haut d'un mollet rebondi. »