La Figure Du Chef Dans Les Etats Totalitaires

des démocraties dans l’Entre-deux-guerres: la fascination pour les extrêmes (exposés possibles : critique et remise en cause de la démocratie) Séance 5 : Réflexions sur les totalitarismes (exposés possibles : résistances des sociétés dans les Etats totalitaires) Séance 6 et 7 Les démocraties de 1945 à nos jours (exposés possibles : La démocratie sociale ; la poussée de l’extrême-droite de la fin des années 70 à nos jours)) Séance 8 : Les sociétés européennes (1) (exposés possibles : la société de

transformation des États fédéraux Paragraphe 1 : Le droit de sécession Paragraphe 2 : L'éclatement des États fédéraux Chapitre 2 : Les États régionaux Section 1 : La reconnaissance au profit des régions d'une autonomie réelle Paragraphe 1 : Une autonomie constitutionnellement protégée Paragraphe 2 : Les modalités de la mise en œuvre de l'autonomie Section 2 : Unité et indivisibilité des États régionaux Chapitre 3 : Les États unitaires Section 1 : Les États unitaires centralisés

Adolf Hitler, né le 20 avril 1889 à Braunau am Inn en Autriche (alors en Autriche-Hongrie) et mort par suicide le 30 avril 1945 à Berlin, est un homme politique allemand, fondateur et figure centrale du nazisme, instaurateur de la dictature totalitaire désignée sous le nom de Troisième Reich (1933-1945). Porté à la tête de l’Allemagne par le Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP) qu’il reprend en 1921, il devient chancelier du Reich le 30 janvier 1933, puis se fait plébisciter

disqualifiée. Or, comment cette unité, cette cohésion, cette discipline, seraient-elles maintenues à la longue si le pouvoir exécutif émanait de l'autre pouvoir auquel il doit faire équilibre (...) ? C'est donc du chef de l'Etat, placé au-dessus des partis, (...) que doit procéder le pouvoir exécutif. Au chef de l'Etat la charge d'accorder l'intérêt général quant au choix des hommes avec l'orientation qui se dégage du Parlement (...). A lui l'attribution de servir d'arbitre au-dessus des contingences politiques

statistiques et des sondages (p.29) a. Dans quelle mesure se fier aux sondages ? b. Conséquences sur notre comportement III. Différentes utilisations des statistiques selon les types de régime 1) Dans un régime totalitaire, situation de parti unique (p.32) a. Statistiques, outil de propagande b. Statistiques, outil d’information de l’Etat c. Chiffres faussés par la peur du pouvoir 2) Dans une démocratie

organisation. Théorie très critiquée après, amenagée. Aujourd’hui, dans les états démocratiques, idée de se servir de cette théorie mais encadrée. Limiter la puissance de l’Etat par le droit. On part toujours de cette pyramide, aspect formel, mais à côté on va s’intéresser à l’aspect matériel. II – Le droit constitutionnel. A – Identification du droit constitutionnel. Droit interne et international. Soit les relations entre états, diplomatie, conflits internationaux, droit international public

Philippe Lauvaux : les grandes démocraties contemporaines Droit de l’UE : Joël RIDEAU Introduction A. Le cadre méthodologique - Le sens . Droit constitutionnel européen développe l’idée de l’existence d’un droit constit unique propre aux Etats européens, l’idée est celle d’un droit constit totalement harmonisé. Il n’y a pas de place aux identités constitutionnelles nationales. Cette conception est très hégémonique, une construction supranationale procède à la construction d’un droit constit

bénéficié de moins de considérations dans le camp des vainqueurs. A l’inverse, l’Allemagne est défaite, et l’Espagne reste plus ou moins neutre : l’opinion publique espagnole est divisée/ partagée. On a donc un État dans le camp des perdants et 3 États dans le camp des vainqueurs. Il y a aussi des Étatsnations plus anciens, comme la France et la Grande-Bretagne qui sont constituées de longue date. En revanche, l’Italie et l’Allemagne sont des État-nations récents. Il y a des cultures nationales

forme dans nos sociétés modernes. L’Etat demeure la forme sociétale la plus aboutie. Il a « le monopole de la violence légitime » disait Max Weber. En réalité, le pouvoir de l’Etat comporte un versant interne, à travers le pouvoir de contrainte des Etats, et un versant externe par le truchement du droit de faire la guerre par exemple. Si le pouvoir ne peut reposer durablement que sur la contrainte selon Max Weber, la domination, elle, introduit la notion de consentement.En effet, les dominés doivent

diverses factions du parti unique bolchevik, et en s'appuyant sur la toute-puissante police politique et sur la bureaucratisation croissante du régime, il imposa progressivement un pouvoir personnel absolu et transforma l'URSS en un régime de type totalitaire dont le culte obligatoire rendu à sa propre personne fut un des traits les plus marquants. Il fit nationaliser intégralement les terres, et industrialisa l'Union soviétique à marche forcée par des plans quinquennaux, au prix d'un lourd coût humain