La Figure Du Chef Dans Les Etats Totalitaires

facettes : -L’internationalisation du droit ou une européanisation du droit constitutionnel ayant 2 versants : L’un : le droit européen conventionnel, système dans lequel la Cour de Strasbourg rend des décision contraignant un peu plus la Constitution de États. L’autre : l’aspect de l’Union Européenne, droit de Bruxelles, droit du traité de Rome, de Maastricht … - Fragilisation rampante qui est liée à la montée en puissance des droits ordinaires. Ces 2 phénomènes contribuent à nourrir une véritable crise

éliminer sans pitié les courants par trop « socialisants » (les frères Strasser, Röhm, etc). Des étudiants nazis brûlent les livres jugés dangereux par les nazis en public le 10 mai 1933. C'est un autodafé. Le nazisme prétend être une idéologie totalitaire, cherchant à dominer et à contrôler tous les aspects de la vie des citoyens, embrigadés dès l'enfance dans toutes sortes d'associations maîtrisées par le Parti, qu'ils étaient destinés à servir : Napolas, Jeunesses hitlériennes, Association des

et ses liens avec le socialisme effraient. Cet « internationalisme » explique l'ampleur et la soudaineté du succès du mouvement, mais cela fut aussi un de ses points faibles. C'est en architecture que le mouvement prend naissance à travers deux figures dominantes : Paul Hankar, qui s'inspire à la fois de Viollet-le-Duc et de l'orientalisme et surtout Victor Horta, véritable précurseur de l'architecture Art nouveau, qui inspirera, entre autres, le Français Hector Guimard. À Paris, c'est par Hector

manifestations en Tunisie et la chute rapide et relativement facile qui était improbable aux yeux des populations ont suscité dans les autres pays arabes, dont l’Egypte une envie et une volonté de prendre le même chemin. Les occidentaux, notamment les États-Unis et la France ont toujours été du côté de ces dictateurs puisque, étant laïques, il n’y avait pas de danger de terrorisme du à des croyances comme celle des frères musulmans. Ces dictateurs trouvaient toujours, par le biais d’élections truquées

éclatent de toutes parts et affectent la société dans son ensemble. L'élu semble incapable de mettre un terme au conflit. A l'inverse, dans d'autres Etats, le pouvoir est fort et limite les conflits : c’est l’exemple d’un Etat autoritaire. Ces Etats peuvent avec succès empêcher l'expression publique de l'insatisfaction du peuple. Dans les Etats totalitaires, il y a une volonté d'agir sur les personnes et sur les esprits, à travers la propagande. Les démocraties pluralistes rendent la visibilité des

4 Annexes page 5 I) Le film 1) Une réalisation dans un contexte historique particulier Le Dictateur (The Great Dictator dans sa forme originale), film « combattant» écrit et réalisé par Charlie Chaplin, est sorti aux Etats-Unis au cours de l’année 1940, mais déjà conçu en 1938-1939 alors que la seconde guerre mondiale n’a pas encore commencée. En effet, cette satire cinématographique d’un nouveau genre s’inspire ouvertement du régime politique montant en puissance

l’Etat), elle se retrouve au XXe siècle dans tous les grands systèmes totalitaires. L’Etat est la fusion entre un peuple et le pouvoir. C’est ce qu’on retrouve dans l’idéologie nazie, dans l’Italie mussolinienne, les systèmes communistes où il y a un système ultra centralisé qui correspond à l’unité de la classe ouvrière, seuls détenteurs du pouvoir dans un régime socialiste. L’Etat et la Nation pour les systèmes totalitaires sont identiques, aucun espace ne les sépare. 2e définition de l’Etat

tant qu’Homme répondant de ses faits face à la justice. Un autre angle d'analyse de ce travail se penche sur le défi que représente la transposition à l'écran de la vie d'une philosophe. On ne fait pas de biopic sur une philosophe comme sur un chef d'Etat, et l'on rencontre des difficultés tout à fait spécifiques lorsque l'on s'y essaye. Cela nécessite des aménagements dans le scénario, c’est à dire qu’il faut arriver à joindre la présentation de la vie privée de l'auteur et l'explicitation des

que lui a imposé l'Etat, on peut estimer qu'il doit, en retour, attendre quelquechose de l'Etat. Mais quoi ? Doit-on tout attendre de l'Etat ? Je répondrais à cette question en me demandant d'abord si l'homme peut attendre quelquechose de tous les Etats, et sion desquels il peut le faire. Je démontrerai ensuite l'impossibilité de vivre dans un Etat dont on doit-tout attendre. Enfin, je m'interrogerai sur ce que l'homme doit attendre de l'Etat, et ce que celà implique pour lui.

autour des rois va aussi de pair avec l’affaiblissement de la légitimité d’autres formes concurrentes tels que l’Eglise et les seigneurs locaux. Ainsi, la première forme que prend un État moderne est celle de devenir un État dynastique autour de la figure du roi ou du souverain. Ce pouvoir politique est transmis et renforcé par les liens des alliances dynastiques. Suivra des réformes importantes, notamment en Angleterre et en France : le procès par jury, l’Habeas Corpus… en Angleterre, la centralisation