La Figure Du Chef Dans Les Etats Totalitaires

climatique, États autoritaires et totalitaires, eugénisme et génocides... Mais ce genre est certes beaucoup plus important et varié, et possède de nombreux antécédents. Mon postulat de départ est que bien des caractéristiques des dystopies, qui visent à dénoncer et contrer (via des réfractaires et autres dissidents) le côté infernal et néfaste de l’utopie (de l’utopie au sens classique, c’est à dire conformiste et anti-individualiste), notamment ses aspects autoritaires et totalitaires, permettent

ont une certaines influence sur le groupe . Il semble que les leaders qui apparaissent au sein des groupes sont de types variés , donc qu'il n'est pas possible de tiré de ses travaux le mode de choix des leaders . (il n'y a pas de profil type « du chef » ) * Ces leaders peuvent être conformiste(c'est a dire présenter une ressemblance ac les autre membre du groupe) ou au contraire marginaux (ce distinguer par leur personnalité et être choisi pour leader pour cette raison ) . * Il peuvent

Une ligne de fracture importante repose sur la question d'alliances antagonistes constituées entre les pays européens. Ce système, a entrainé la plupart des pays européens dans la guerre. Ce système est tout d'abord euro-centré dans la mesure où les États-Unis et le Japon ne se sentent pas concernés. Rappels : A la fin XVIIIème siècle, la politique isolationniste américaine est défendue par Georges Washington. Dans cette politique on peut déceler la volonté de maintenir une politique consensuelle

croire. Que doit-être le politique pour ainsi faire regarder son ordre comme juste ? (Pascal, Pensée 60) "Il faut la faire regarder comme authentique et éternelle". N'est-ce pas le rôle de tout homme politique de savoir se faire apprécier comme un bon chef et instaurateur d'un ordre juste ? L'apparence aurait du bon en politique : forme de sagesse politique que de savoir la maîtriser. Cela risque de dire que la justice comme valeur associée à un bien absolue n'est pas la mesure du politique. Dès lors

| Hitler, Adolf (1889-1945), homme d’État allemand d’origine autrichienne, chancelier et dictateur du IIIe Reich allemand (1933-1945). Führer (guide) et chancelier du régime nazi, dictateur et chef militaire, Hitler a fait de l’Allemagne une société entièrement militarisée et une puissance totalitaire et a déclenché la Seconde Guerre mondiale. Faisant de l’antimarxisme, de la xénophobie, de l’antisémitisme et de l’expansionnisme du peuple aryen les fondements de sa propagande et de sa politique

pas accepté par l’ensemble de la communauté scientifique pour qualifier les trois régimes. L’utilisation même du terme de totalitarisme, que l’on retrouve dans les programmes, correspond donc à une prise de position: on oppose les trois régimes totalitaires à la démocratie. - la question est en évolution : - le stalinisme surtout, avec l’ouverture des archives soviétiques depuis 10 ans, qui a relancé le débat sur un parallèle avec le nazisme. Le discours historique est toujours soupçonné d’être orienté

légitimité et la rationalité bureaucratique. Cet héritage permet dans les années 30, aux États-Unis puis en Europe, l’essor d’une science politique autonome, et qui va se distinguer de l’histoire politique, de la psychologie et de la sociologie. Dans les années 30, cette autonomisation se manifeste sur des études électorales, puis sur des études du comportement électoral en enquêtant sur la composition des chambres aux États-Unis. A partir de ce moment, on va avoir une réflexion sur l'objet de le politique

(1917-1991) marqué par le stalinisme (1928-1953), dans l’Italie fasciste (1922-1945) et l’Allemagne nazie (1933-1945).   Les trois totalitarismes tentent de contrôler tous les aspects de la vie en société pour créer un homme nouveau. Pour cela les Etats usent de la propagande mais aussi de la violence (brutalités policières, déportation, meurtres…). Le dirigeant est un guide infaillible (duce, Vojd « petit père des peuples », führer) auquel est voué un culte de la personnalité. Cependant, malgré un usage

diverses factions du parti unique bolchevik, et en s'appuyant sur la toute-puissante police politique et sur la bureaucratisation croissante du régime, il imposa progressivement un pouvoir personnel absolu et transforma l'URSS en un régime de type totalitaire dont le culte obligatoire rendu à sa propre personne fut un des traits les plus marquants. Il fit nationaliser intégralement les terres, et industrialisa l'Union soviétique à marche forcée par des plans quinquennaux, au prix d'un lourd coût humain

l’un à l’autre, de par des idéologies opposées. Ayant libéré l’Europe de l’influence nazie, les deux modèles s’érigèrent en vainqueurs, partant dans une courte alliance avant que les conflits d’influence ne surgissent et n’entrainent l’URSS et les Etats-Unis dans un conflit d’envergure mondiale. S’il n’y eut jamais de réel conflit ouvert entre les deux blocs, on peut cependant se demander comment s’est manifesté l’affrontement des modèles américains et soviétiques entre 1945 et 1975. Afin de répondre