La Fiction Pour Dénoncer

Thomas More est un roman politique car c'est un mélange de fiction et de réalité ayant pour sujet dominant la critique de la politique, celui de Rabelais est un roman car celui-ci est une pure fiction et le texte de Fénelon appartient au genre épistolaire. Nous avons des dialogues dans le texte de Thomas More ainsi que dans celui de Rabelais ; Thomas More opte pour l'originalité en choisissant un dialogue comprenant un mélange de fiction et de réalité (un dialogue entre un marin imaginaire et lui-même)

Victor Hugo persuade le lecteur de la nécessité d’abolir la peine de mort et dénonce sa barbarie, l’auteur s’engage donc dans la politique de son temps. Tout comme J’accuse, la lettre ouverte adressée au président de la République française, Emile Zola conteste la décision de justice à propos de l’affaire Dreyfus. Les écrivains peuvent aussi être engagés sur l’ordre social, comme Victor Hugo l’a été dans Les Misérables qui dénonce la maltraitance grâce à son personnage Cosette qui provoque de la pitié

L’oiseau d’Amérique (Mockingbird) de Walter Tevis « E » C’est un livre de Science Fiction, écrit par Walter Tevis en 1980. C’est l’histoire du monde au XXVe siècle et des évolutions que celui-ci a subi. Le livre contient 387 pages, sur la couverture, est dessiné un homme noir, torse nu, les bras écarté au bord du vide face à New York et le Chrysler Building qui se dresse fièrement sur la gauche du dessin. Durant la lecture de ce livre, il n’est pas requis de compétence spéciale, mis à

notre félicité ». C’est alors qu’ils rencontrent un esclave noir dont l’état pitoyable les ramène brutalement à la réalité. Cette page est un violent réquisitoire contre l’esclavage. Elle s’inscrit à l’époque dans un vaste mouvement d’opinion qui le dénonce et demande son abolition. Montesquieu, dans L’Esprit des lois, en fait une satire célèbre au chapitre intitulé « De l’esclavage des nègres ». En France, il faudra attendre 1848 pour que l’esclavage soit définitivement aboli dans nos colonies. Le

document s’établie par l’étude d’une « maison de redressement » où des « jeunes pensionnaires » sont maltraités. Pour finir, il nous indique clairement la raison de l’écriture de cet ouvrage: « Chasse à l’enfant », qui cherche en premier lieu à dénoncer la maltraitance que les enfants pouvaient subir autrefois. Il témoigne également PAGE !1 SUR 6 ! d'un fait divers qui s'est réellement produit et cherche ainsi à sensibiliser et émouvoir ses lecteurs. ! 1.2) A première vue, nous pouvons

en premier lieu que par définition un personnage de roman est un être de fiction, en second lieu nous verrons que pour que nous puissions nous identifier à lui il faut que ce personnage de roman se rapproche du monde réel. Enfin nous verrons qu’un personnage qui plaît doit-être un personnage exceptionnel possédant des caractéristiques le reliant au réel. De par sa définition un personnage de roman est un être de fiction, pour qu’il plaise, l’auteur en fait une personne hors du commun, une personne

dela de son aspect enfantin instruit le lecteur par le biais d'une morale ) récits fictifs ... . N'est -il pas préférable de convaincre par le biais d'une histoire que par un long discours austère ? II - inconvénients d'avoir recours aux fictions littéraires/apologues : cela peut déconcerter le lecteur, réduire la porter du texte : Ainsi, exposer ses arguments sans histoire, sans conte III- depassement I - Les contes que tu lisais étant plus jeune, ou que tu te faisais lire, ont

CONTE SATIRIQUE Voltaire a d’abord utilisé la fiction orientale pour tourner la censure ou le pouvoir qui, par deux fois déjà, lui avait fait goûter au confort très restreint de la Bastille. Voltaire règle donc quelques comptes dans Zadig aussi. Derrière l’archimage Yébor, se cache l’évêque Boyer, ennemi déclaré du philosophe ; derrière Orcan se dissimule le chevalier de Rohan qui avait fait bâtonner le jeune Arouet après que l’auteur de Zaïre eut dénoncé sa tricherie au jeu de la reine. Mais d’une

l’amener à réfléchir sur cette thèse. On peut donc se demander qui de l’essai ou de la fiction a une meilleure portée argumentative. Bien que ces deux formes d’argumentation aient une efficacité indéniable, elles présentent aussi des limites. Nous verrons donc dans un premier temps l’efficacité argumentative de l’essai et de la fiction puis dans un second temps leurs limites. On peut dire que le recours à la fiction est le plus efficace car il a une meilleure portée argumentative. En effet, le lecteur

Les écrivains des Lumières ont fréquemment eu recours à l'apologue dans le but de critiquer le pouvoir. La fiction permet de contourner plus facilement la censure en offrant un premier niveau de lecture tout à fait inoffensif. L’objectif de l'apologue n'est pas uniquement de délivrer un message, mais d'inciter le lecteur à la réflexion. Les auteurs du 18e siècle utilisent l’argumentation pour soutenir, réfuter ou discuter une opinion, une thèse. Dans les œuvres littéraires, ces argumentations sont