La Femme Ses Droits Bafoués

non-libres Si je suis ici aujourd ‘hui, c’est pour défendre les droits de la femme et notamment le cas exemplaire de Sakineh Mohammadi-Ashtiani, une iranienne de 43 ans. Il me semble que cette cause est importante à plaider, car pour beaucoup de femmes encore maintenant : la liberté n’est qu’une idée, un espoir, un rêve. En effet, dans des pays comme l’Iran les femmes sont considérées comme naturellement inférieures et leurs droits ne sont pas respectés. Dans le Coran, Allah dit que deux femmes

enfants qui accompagnent Nééra sont les siens et par conséquents de futurs citoyens athéniens ( l 44) alors que depuis la réforme de Périclès sur la citoyenneté (451‑450 av. J.‑C.) il est inscrit dans la loi que l’on ne peut pas laisser jouir de droits politiques quiconque ne serait pas né de deux citoyens. II. La vie politique de la cité en danger -Tromperie des hommes politiques -> Stéphanos eu recourt au polémarque afin de se débarrasser de Phrynion, par conséquent Stéphanos trompe

essentiellement sur la revalorisation des pensions de retraite. Ces derniers réclament que la pension soit calculée sur la base du nouveau SNMG, avec effet rétroactif depuis janvier 2008. Ils demandent aussi, outre le relèvement de l'indemnité pour la femme au foyer à au moins 5000 dinars, la révision de l'article 187 bis et de l'impôt sur le revenu global (IRG).S'estimant lésés, les retraités réclament également le bénéfice de l'argent des œuvres sociales «dont nous sommes privés malgré 32 ans de bons

Européens ont appris les principes de l’esprit chevaleresque et ce qu’ils impliquent comme respect de la femme. C’est l’Islam et non le Christianisme qui a sorti la femme de l’état d’infériorité dans laquelle elle se trouvait, contrairement à une croyance répandue. Si nous observons les chrétiens de la première partie du moyen Age, nous nous rendons compte qu’ils n’avaient aucun égard pour la femme ; lorsqu’on parcourt les livres d’histoire de cette époque, on réalise sans aucun doute la justesse de

dangereux, qu'ils n'ont jamais rencontré. Ils le haïssent, le souillent, le critiquent, le roulent dans la boue alors qu'ils ne connaissent rien de son histoire. Certes le peine de mort permet de tuer des criminels dangereux, mais tout homme n'a pas le droit de se repentir de ses actes, on fait tous des erreurs et on doit payer les conséquences, mais pas au prix de sa vie. La justice ne peut pas avoir tout le temps raison et à certains moments ils arrivent qu'il n'y ai pas assez de preuves où même pire

L’EMANCIPATION DE LA FEMME : LE CAS D’UNE SI LONGUE LETTRE DE MARIAMA BA MERCREDI 26 AVRIL 2006 QUAI DES ARTS – SAINT-LOUIS Présenté par Thierno Ly Professeur de Lettres modernes Lycée Cheikh Omar Foutiyou Tall – Saint-Louis INTRODUCTION Il y a deux ans, la cellule pédagogique du CEM André Peytavin m’avait demandé de porter une réflexion critique sur Une si longue lettre de Mariâma Bâ. J’avais alors dit toute ma peine d’avoir trouvé une brèche, même subjective

essentialistes, postulant l'existence d'un éternel féminin. C'est cette position que soutient également Simone de Beauvoir, en affirmant dans Le Deuxième Sexe qu'on devient femme, et que cette identité relève largement d'un fait culturel (et non inné), sociologique (et non biologique), produit d'une longue évolution historique. On ne naît pas femme : on le devient. Aucun destin biologique, psychique, économique ne définit la figure que revêt au sein de la société la femelle humaine ; c'est l'ensemble de la

l'obstacle au mariage de Figaro et de Suzanne : le comte veut faire de Suzanne sa maîtresse au nom du "droit du seigneur" qu'il avait pourtant aboli dans "Le Barbier de Séville" pour pouvoir épouser Rosine (la comtesse) alors pupille et future épouse de Bartholo : c'est ce que Suzanne apprend à Figaro dés la première scène :"Monsieur le comte veut rentrer au château, mais non pas chez sa femme ; c'est sur la tienne, entends-tu, qu'il a jeté ses vues." Intrigue II : Marceline nous apprend

La deuxième intrigue relève du droit et de l’honneur. Dans la scène 2, Sganarelle évoque un meurtre commis par Dom Juan six mois plus tôt, celui du Commandeur (l. 126-127). Dom Juan affirme avoir été gracié dans cette affaire. Sganarelle précise que « Cette grâce n’éteint peut-être pas

? Je garde le souvenir de scènes terribles. Je me souviens d’une femme en couche implorant le médecin dans un hôpital iranien : « Si c’est une fille, jetez-la à la poubelle ! Si je rentre à la maison avec une fille, mon mari me tuera ». Une fille est considérée comme une honte et un danger. Pensez donc ! Elle peut porter atteinte à l’honneur des messieurs. J’aimerais qu’on m’explique pourquoi l’homme se sent déshonoré si la femme transgresse les règles de la pudeur. Pourquoi l’honneur des hommes