La Femme Libérée

parce qu’elle contredit son idéologie égalitaire présentant la femme uniquement comme un objet sexuel. Toutefois alors que la première vise à maintenir les femmes dans la dépendance de leur mari et des institutions dont l’Église, la deuxième s’inscrit dans une démarche émancipatoire. Conclusion La littérature est désormais libérée du radicalisme religieux de la censure au début du XXe siècle, mais s’est-elle pour autant libérée de l’emprise pernicieuse des autorités qui l’ont contrôlée ? En

Chauvin est réduit à reformuler les choses pour elle avant de demander confirmation. Anne est une personne qui subit. Elle n’existe qu’à travers les autres. En effet, lorsque la femme devient un personnage fictif elle est libérée de toute sa peur : ligne 13-14 : « Elle sourit s’en souvenant, se renversa en arrière, libérée tout à coup de sa peur ». C’est Chauvin qui invente l’histoire, il sait tout comme le souligne ligne 43 : « je sais ». Chauvin a force de dialoguer, crée les choses, l’histoire

règle générale c'est la femme qui décider seule d'une IVG, même s'il s'agit d'une décision souvent prise par le couple, elle n'a pas besoin de l'autorisation de son médecin (bien que c'est conseillé). En France, pour les jeunes filles mineures, l'accord parental n'est plus obligatoire. Cette décision est intime et personnelle, elle ne doit pas être interdite ou imposée sauf s'il y a un danger médical pour la future maman ou le futur bébé. C’est en premier lieu à la femme de disposer de son propre

établissement de prise en charge des personnes en difficultés sociales. Seuls quelques lieux d’accueil pour anciennes prostituées étaient mis en place par les collectivités publiques. Le décret du 29 novembre 1953 va élargir l’accueil aux personnes libérées de prison, sortants d’hôpital, ou encore en danger de prostitution dans des établissements publics ou privés afin de permettre leur réadaptation sociale. C’est à cette date également, que les termes d’inadaptation et de réadaptation sociale apparaissent

diversifie alors en se tournant vers la couture et ses créations trouvent leurs public au près dune clientèle fortunée . Surnommée coco Chanel (elle a chanter une chanson qui arlait d'un chien qui s’appelait coco sa a donc été son surnom), la jeune femme insuffle un vent de modernité dans le style de l'époque . Elle lance la mode des cheveux courts , mais surtout elle prend part à la révolution féminine qui se jour : coco Chanel remplace le contraignant corset par de simples robes et tailleurs . C'est

est complètement bouleversé. Sa mort le laisse tellement désemparé qu’il commence à être pris de troubles nerveux et mentaux. Il s’élabore alors une image féminine particulière, composée de trois éléments. - Adrienne, l’amour sublimé pour une femme inaccessible - Sylvie, la petite paysanne de son enfance - Aurélia, ou Jenny souvent presque transformée en déesse infernale. - 1851 : crise de délire. Il se sent coupable mais sans savoir de quoi. Il a le sentiment de devoir expier une faute

dispose à sa guise. Par le passé, elle a été l’amante de Valmont et on apprend qu’elle a été la seule femme capable de lui tenir tête. Au début du roman, elle entretient une liaison avec un chevalier (Belleroche), mais après avoir tourné en ridicule le célèbre Prévan, elle trouve le moyen de s’en débarrasser pour se consacrer à Danceny. Son art de la dissimulation lui permet d’être perçue comme une femme vertueuse et elle devient la confidente de ses propres victimes, comme exemple de Cécile de Volanges

des femmes vis à vis des hommes et de la dépendance des femmes à l’égard de leurs maris. L’extrait proposé rapporte le dialogue entre un abbé et une femme de l’aristocratie, la Maréchale de Grancey, en colère contre une phrase qu’elle a lue dans les Epîtres de Saint- Paul : « Femmes, soyez soumises à vos maris ». Elle expose sa propre vision de la femme et blâme les hommes. Dans un premier temps, nous verrons qu’elle adopte un langage vif et libéré ; puis nous analyserons la manière dont elle cherche

cris éternels L’arrachèrent du sein et des bras paternels. (acte I, scène3) 1/ Périphrase désignant Thésée. 2/ Orgueilleux : hautain, vouant un culte à Diane, déesse de la pureté, Hippolyte semble dédaigner l’amour et la femme. 3/ Pratique divinatoire. 4/ Cœur. Intro : Racine est un auteur dramatique du XVIIème siècle qui a porté la tragédie classique au sommet de la littérature sous le règne de Louis XIV. Avec la pièce Phèdre, dont nous avons un extrait, il signe

des femmes vis à vis des hommes et de la dépendance des femmes à l’égard de leurs maris. L’extrait proposé rapporte le dialogue entre un abbé et une femme de l’aristocratie, la Maréchale de Grancey, en colère contre une phrase qu’elle a lue dans les Epîtres de Saint- Paul : « Femmes, soyez soumises à vos maris ». Elle expose sa propre vision de la femme et blâme les hommes. Dans un premier temps, nous verrons qu’elle adopte un langage vif et libéré ; puis nous analyserons la manière dont elle cherche