La Femme En Bleu Picasso

c’est une poésie amoureuse. Le premier titre du poème a été « Une seule pensée ». Il parle des sentiments intimes et personnels : « lèvres attentives », « saisons fiancées »... L’enfance, la fraternité, toutes les étapes de la vie sont abordés. La femme aimée a été́ remplacée par le mot «liberté́». 2- la guerre et l’espoir : En connaissant le contexte, on comprend que le poème s'adresse à tous les opposants au régime de Vichy et appelle à la révolte. Certains mots évoquent directement la guerre:

destruction, déraillages et mouvementée de justice et de vengeance. [pic] Dans se films on nous montre de nombreux nom et prénom de peintres, d’artistes parmi les quelles sont : - Gauguin [pic] - Renoir [pic] - Picasso [pic] - Van Gogh [pic] - Manet [pic] - Degas [pic] - Miro [pic] - Cézanne [pic] - Braque [pic] -Seurat [pic] -Utrillo [pic] Nous remarquons

haleine, échauffe-moi la vie, Mille et mille baisers donne-moi je te prie, Amour veut tout sans nombre, amour n'a point de loi. Baise et rebaise-moi ; belle bouche pourquoi Te gardes-tu là-bas, quand tu seras blêmie, A baiser (de Pluton ou la femme ou l'amie), N'ayant plus ni couleur, ni rien semblable à toi ? En vivant presse-moi de tes lèvres de roses, Bégaie, en me baisant, à lèvres demi-closes Mille mots tronçonnés, mourant entre mes bras. Je mourrai dans les tiens, puis, toi ressuscitée

de nombreux militants sont incarcérés. Même si elle est avec son mari aux Etats-Unis au moment de l’œuvre, Frida s’est engagée pour défendre la liberté au Mexique. Inscrite au parti communiste mexicain, elle désire s'occuper de l'émancipation de la femme dans son pays où l'homme a toujours une position dominante, machiste. Frida est tiraillée entre les États-Unis qui représentent un pôle d'attraction pour les artistes mexicains (le marché de l'art y est plus développé) et son pays où la situation des

jamais. 2. Les personnages. ROSE DEWITT-BUKATER (Kate Winslet/Gloria Stuart) : c'est une jeune fille riche mais qui possède une force d'âme étonnante. Elle est généreuse, intelligente, s'intéresse aux choses nouvelles comme les peintures de Picasso ou encore les théories de Freud. On peut avoir l'impression à sa première apparition qu'elle semble hautaine, prétentieuse peut-être même indifférente mais tout au long du film des éléments nous prouvent qu'elle a un coeur en or et on pourra découvrir

profondeur vient de ce faisseau de lignes, tout les reste est ondulé. Le perso fait écho au ciel. Les étagements de couleurs : perso au 1er plan bleu avec tete jaune puis passerelle jaune, puis paysage bleu, puis mer clair puis montegnas bleues, puis ciel jaune ( etagement de couleurs par cette succession. Les couleurs ne st pas nombreuse. Jaune et bleu/violet en général. Elles sont vives. Des contrastes violents, qui choquent le spectateur. La couleur dominantes est le jaune, meme si c’est assez

dire une commode et deux personnages féminin. Une femme est de dos et semble s’essuyer et l’autre est assise et tient une tasse entre ses mains. Cette toile de Bonnard appartient à la fois à plusieurs genres. D’une part à la nature morte en référence au premier plan qui présente un intérêt particulier, puisque les objets de la vie quotidienne de Bonnard sont reproduits avec une exactitude presque « protocolaire ». Puis au nu avec cette femme de dos qui s’essuie, mais également au portrait

un peu comme les nuances d’un jour et le cycle d’une vie. Accessible à toutes par l’échelle de ses prix, elle a accompagné la révélation du nouveau sujet social des années 30, de la femme des années folles, libérée des corsets de leurs mères. De la bourgeoise à la télégraphiste, de la princesse à l’étudiante, de la femme fatale à la jeune fille, cette robe simple se révèle universelle et s’adapte à tous les caractères Sa simplicité évocatrice est pleinement féminine. Par nature, ambivalente, simple

audition de ses poèmes et rencontre un grand succès, ce qui lui permet de faire la connaissance de Proust, Anna de Noailles, les Daudet, etc. Il compose en 1912 le dieu bleu, un ballet, sous l’influence de Diaghilev. En 1914, il s’engage comme ambulancier civil, et cela lui inspire Thomas l’imposteur (1923). Il rencontre Picasso, Apollinaire, Max Jacob, Reverdy, Cendrars, etc. Il cotoye donc très jeune des milieux littéraires qui l’influenceront pour le restant de sa vie. En 1918, il rencontre Raymond

 La Guerre Après la bataille Guernica ,picasso 1937 Mon père, ce héros au sourire si doux, Suivi d’un seul housard qu’il aimait entre tous Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille, Parcourait à cheval, le soir d’une bataille, Le champ couvert de morts sur qui tombait la nuit. Il lui sembla dans l’ombre entendre un faible bruit. C’était un Espagnol de l’armée en déroute Qui se traînait sanglant sur le bord de la route, Râlant, brisé, livide