La Famille Maheu

qu’ils n’avaient jamais vu.» (page 16). Chapitre II : Au coron des Deux-Cent-Quarante se réveillaient ceux qui allaient relever l'équipe de nuit. Dans la maison des Maheu vivaient entassés et manquant de nourriture les parents (Maheu et la Maheude) et leurs sept enfants (Zacharie, Catherine, Jeanlin, Alzire, Henri, Lénore et Estelle). Maheu et les plus grands de ses enfants, Catherine, Zacharie et Jeanlin, se préparaient à aller travailler. Le grand-père était Bonnemort. Chapitre III : Étienne entra

œuvre B. Les Déchargeurs de charbon I – A. Emile Zola est né le 2 avril 1840 et mort le 28 septembre 1902 par asphyxie. Il est de nationalité Italienne puis adopte la nationalité française. Il est né dans une famille d’un milieu très modeste, son père meurt très tôt et laisse sa famille ruinée après leur installation à Aix-en-Provence. Il échoue au bac au lycée Saint-Louis à Paris. Il fréquente des écrivains et des artistes et commence à écrire des vers. Il collabore à divers journaux. Il rentre

désigné, et va conduire le mouvement de révolte jusqu'à son échec final, qui lui sera injustement reproché par les autres mineurs. Le roman est en même temps une histoire d'amour à la fin tragique car Étienne tombe amoureux de Catherine, fille des Maheu famille de mineurs. Celle-ci est possédée, par Chaval, un homme brutal et jaloux. Etienne est révolté par les misérables conditions de vie des mineurs, et quand la Compagnie des mines, alléguant la crise économique, décide de baisser les salaires, sa révolte

vie aurait été toute tracée. Cela montre la réalité d’un monde d’hypocrisie entre mari et femme de l’époque. Texte 3 (1885) : Vision d’un monde passif. Etienne Lantier raconte son rêve à la famille Maheu. C’est le rêve d’un monde parfait tout comme le texte 2. Il va convaincre et persuader la famille de croire en se rêve extraordinaire et va leur donner de l’espoir : « entrant dans ce monde merveilleux de l’espoir ». Cela reflète une vision de la société passive, naïve qui peut être convaincu

différence entre les deux groupes. Les mineurs sont souvent décrits comme leur place est souterrain, se remarquant à la surface comme les terrils. Le visage de Cathérine Maheu, « déjà gâté par les continuels lavage au savon noir » est contrasté avec le « chair superbe » et « fraicheur du lait » de Cécile, un membre de la famille Grégoire. En montrant les différences subtilement, Zola utilise les couleurs pour les distinguer, au lieu de se limiter à décrire seulement leurs biens matériels. Mettant

qu’ils n’avaient jamais vu_.» (page 16). Chapitre II : Au coron des Deux-Cent-Quarante se réveillaient ceux qui allaient relever l'équipe de nuit. Dans la maison des Maheu vivaient entassés et manquant de nourriture les parents (Maheu et la Maheude) et leurs sept enfants (Zacharie, Catherine, Jeanlin, Alzire, Henri, Lénore et Estelle). Maheu et les plus grands de ses enfants, Catherine, Zacharie et Jeanlin, se préparaient à aller travailler. Le grand-père était Bonnemort. Chapitre III : Étienne entra

Lorsqu'Etienne arrive, il est tout d'abord employé comme hercheur. Malgré la difficulté du travail, il s'accommode bien au rythme de la mine : "Au bout de trois semaines, on le citait parmi les bons hercheurs de la fosse". Il entre finalement dans l'équipe de Maheu, grâce à l'emploi de haveur qu'on lui propose ensuite. -Par la suite Étienne se passionnera pour le socialisme logé chez l'aubergiste Rasseneur, il a de longues conversations avec l'anarchiste Souvarine ils vont devenir à la tête d'un mouvement

1795–27 mars 1847) un ingénieur italien naturalisé, qui travaillera à la construction du canal qui portera son nom à Aix-en-Provence et de Émilie Aubert (6 Février 1819–17 Octobre 1880) originaire de la Beauce bourguignonne, Émile Zola naît à Paris. La famille s'installe à Aix-en-Provence et connaît, à la mort du père, de graves difficultés financières. Au collège, il est condisciple de Paul Cézanne à qui il doit de rencontrer des peintres comme Monet, Sisley, Pissarro, Manet. Il regagne Paris en 1858.

Claude (“L'œuvre”), de Jacques (“La bête humaine”) et de Nana (“Nana”), qui découvre la mine, anime le conflit entre la compagnie capitaliste, représentée par quelques bourgeois, et le monde anonyme des travailleurs, représentés surtout par la famille Maheu et un petit groupe d'ouvriers unis ou séparés par les lois du cœur ou de l'intérêt. Le roman vaut donc d'abord par son action. Originalité : Le thème de la révolte des opprimés et des conquêtes sociales du mouvement ouvrier était courant à

qu’ils n’avaient jamais vu.» (page 16). Chapitre II : Au coron des Deux-Cent-Quarante se réveillaient ceux qui allaient relever l'équipe de nuit. Dans la maison des Maheu vivaient entassés et manquant de nourriture les parents (Maheu et la Maheude) et leurs sept enfants (Zacharie, Catherine, Jeanlin, Alzire, Henri, Lénore et Estelle). Maheu et les plus grands de ses enfants, Catherine, Zacharie et Jeanlin, se préparaient à aller travailler. Le grand-père était Bonnemort. Chapitre III : Étienne entra