La Famille Dans Le Père Goriot

Honoré de Balzac est né le 20 mai 1799 à Tours. Issu d'une famille bourgeoise, il est mis en nourrice à Saint-Cyr-sur-Loire jusqu'à l'âge de quatre ans. De 1807 à 1813, il est pensionnaire au collège des oratoriens de Vendôme. Dès seize ans il poursuit sa formation à Paris. Honoré est placé sans tarder comme clerc chez l'avoué Guillonnet de Merville et s'inscrit à la faculté, où il suit pendant trois ans des cours de droit civil, de droit romain, de procédure civile et criminelle. En 1819, il

Le roman fût la forme rayonnante de la période. - Balzac Honoré de (1799-1850) « Le Colonel Chabert » 1832 ; « Eugénie Grandet » 1833 ; « Le Père Goriot » 1834 ; «  Le Lys dans la vallée » 1835 ; « Illusions perdues » 1837 ; Avant-propos de «La comédie humaine » 1842 ; « la cousine Bette » 1846. C’est en 1834, pendant la rédaction du père goriot, qu’il invente un principe d’une grande cohérence : le retour de ses personnages d’un roman à l’autre. En 1842, il groupe ses romans dans un ensemble

exemple dans Projet Oxatan de Fabrice Collin l’auteur est transporté dans un autre univers grâce à groupe d’enfants qui vit sur une planète inconnue. Leurs vies parfaites deviennent des cauchemars quand ils découvrent que la moitié de cette petite famille a été crée artificiellement par clonage. L’auteur fait donc voyager le lecteur dans un contexte plus léger pour lui exposer ce qu’il trouve intolérable et pour lui faire plus facilement entendre raison sur le sujet du clonage et des avancées de la

exceptionnel |Y dit que le personnage de roman ne doit pas être un héros au destin exceptionnel | | |Les 3 mousquetaires (D’Artagnan, Athos, Porthos, Aramis) |Le père Goriot de Balzac | |4 amis au service du couple royal vont combattre contre les agents |Le père Goriot est un personnage qui vie dans la misère du début | |de Richelieu et le comte de Richelieu en lui-même. A la fin, |jusqu’à la fin de l’histoire.

l'importance de l'argent L'extrait nous apprend quelle importance a l'argent pour Rastignac. Le héros et sa famille appartiennent à la petite bourgeoisie de province car ils vivent dans un "manoir" (3). Malgré cela, cette famille connaît quelques difficultés financières, car elle est soumise à l'"incertitude" que connaît "le produit de tout industriel de la vigne" (6), métier du père de Rastignac. Par ailleurs, le narrateur met en évidence le réalisme du texte en insérant le champ lexical de l'argent

aussi par l’intermédiaire du personnage mettre en avant un défaut essentiel et caractéristique de la société de son époque comme l’a fait Emile Zola avec son roman Nana qui raconte l’histoire d’une jeune fille prédestiné à un destin funeste avec un père « Coupeau » handicapé par accident et devenu fou et une mère morte de désespoir et alcoolique. Elle vit dans la misère et le désespoir et se prostitue. Elle meurt jeune et pourtant détruite. Il est alors mis en avant la corruption et un des facteurs

puis pensionnaire au collège des Oratoriens (1) de Vendôme, Balzac manque de l’affection maternelle et reporte son besoin de tendresse sur sa jeune sœur Laure. Il jalouse son frère cadet, Henry, qui, lui, est aimé par sa mère. En 1814, quand la famille s’installe à Paris, suit des études de droit puis devient clerc de notaire. En 1822, il se lie avec Mme de Berny - la « Dilecta », l’aimée - de 22 ans son aînée en qui il recherche sans doute la mère qui lui a manqué. Ses premières œuvres datent des

d’une famille de petite bourgeoisie provinciale ; son père Bernard François Balssa est directeur des vivres de la 27ème division militaire et sa mère Anne-Charlotte-Laure Sallambier est issue d’une famille de passementier du Marais à Paris (famille bourgeoise parisienne). Sa mère a trente-deux ans de moins que son mari. C’est un romancier français mais aussi un dramaturge, imprimeur, journaliste puis critique littéraire. Il connaitra des débuts difficiles. Honoré est l’aîné de la famille. En 1800

il va écrire à Julie. Ces deux personnages vont alors échanger de nombreuses lettres et billets amoureux délibératifs, cherchant une réponse au dilemme que leur pose leur amour et à la situation catastrophique qu’elle engendre, jusqu’à ce que, la famille d’Étanges ayant découvert cette relation, persuade Julie d’épouser un autre homme, le vieux M. de Wolmar. Lorsque Saint-Preux rentre, des années plus tard, Julie choisit néanmoins d’honorer ses vœux matrimoniaux en remplissant ses devoirs d’épouse

ébéniste est condamné à mort pour avoir commis le meurtre de sa maîtresse), ainsi que l'affaire Berthet (Stendhal respecte avec précision le déroulement de cette affaire dans sa chronique). Le héros du roman se nomme Julien Sorel, il est issu d'une famille modeste, fils de charpentier, son milieu social n'est pas des plus méprisants, mais il ne fait pas parti des plus riches hommes de son époque. Le jeune homme détient plusieurs ambitions comme plaire à l'aristocratie, bien qu'il méprise cette veillissante