La Fable Plaire Instruire

Shakespeare : la scène du balcon.) B – Séduction Du Public/ Plaire/ Apologue. Voici donc la première idée de la séduction au théâtre. Mais il faut savoir que comme nous l’avons dit au début, la séduction recouvre deux sens grâce à la double énonciation. C'est-à-dire que la séduction peut valoir pour les personnages mais aussi et surtout envers le public. Le premier but de l’écriture d’une pièce, donc de l’auteur, est de plaire à ses lecteurs, de le séduire. Pour cela ils utilisent notamment

a pour objectif d'attirer l'attention du public, de l'alerter sur quelque chose ou de faire connaître ses idées. Conte philosophique: Le conte philosophique est un récit fictif. Il s'apparente à l'apologue et la fable car il garde un objectif didactique : instruire et plaire en illustrant une leçon par le biais d'un récit. Il propose tout de même une réflexion plus large et crée un débat plus vaste qui concerne tout le monde. Genre épistolaire: Le genre épistolaire est un genre formel

Octosyllabe et alexandrin= grande libertés Fable=genre de l'apologue=didactique (Enseignement et critique, argumenter et atteindre le lecteur). Registres: ironique et tragique Thème= L’injustice--<critique< x cour x justice x loi du plus fort x religion? Genre= Univers de la fable--<structure<dynamique< anthropomorphisme--<animaux<Gérault Rythme biblique Poésie Théâtralisme Instruire et plaire--<apologue< Discours: Arguments Le

L'implicite de la leçon ou de la contestation aiguise la curiosité du lecteur, dont la complicité est requise pour deviner les intentions de l'auteur. o Registres : Si la finalité principale de l'apologue est didactique, la critique s'exprime, dans la fable ou le conte philosophique, à travers les registres polémiques, comiques et satiriques, notamment à travers les procédés de l'ironie (fausse vérité, exagération, antiphrase, sous-entendu...). o Caractéristiques : ➢ des personnages de fiction

développées, il est publié dans les années 1660. La Fontaine n’est pas persona grata car il est lié au monde de la Fronde qui veulent briller plus que le roi. Il est aussi ami avec Nicolas Fouquet. Conformément au genre mondain de la fable, ce texte à deux visées ; plaire et instruire (et éventuellement émouvoir). Le fabuliste propose une satire didactique ou démonstrative des pouvoirs établis et peut-être de l’institution royale par le biais du symbolisme animalier. Il se montre irrévérencieux et insolent

distanciation du lecteur. L’apologue est donc un récit plaisant qui s’adresse à un large public. C’est le placere et docere (plaire et instruire) avec l’image du médicament amer (la morale) enrobé de miel délicieux (la fantaisie). On retrouve souvent un schéma narratif simple mettant en scène peu de personnages qui ont un rôle allégorique. Il apparaît sous plusieurs formes : le mythe; la fable; le conte philosophique; l’utopie ou la parabole. Dans le cadre d’une séquence portant sur l’argumentation, il

unwinding after great magical epic, fantasy and reality (strong friendships). The saga is for me the greatest fantasy series of the 21st century. L'apologue est composé de deux parties, dont on peut appeler l'une le corps, l'autre l'âme. Le corps est la fable; l'âme, la moralité. (Préface des Fables) Plutôt que d'être réduits à corriger nos habitudes, il faut travailler à les rendre bonnes pendant qu'elles sont encore indifférentes au bien ou au mal. Or quelle méthode y peut contribuer plus utilement

CORPUS DE 3 TEXTES A METTRE EN RELATION Ce corpus nous propose trois apologues, écrits à différentes époques. Que se soit « Le Prud’homme qui sauva son compère » écrit au XIIIème siècle, la fable « L’Huître et les Plaideurs » de Jean de la Fontaine écrit au XVIIème siècle ou Zadig de Voltaire écrit au XVIIIème, tous ont pour but de faire passer un message tout en distrayant le lecteur. Pour cela, ils entrent dans l’objet d’étude sur l’argumentation. Ces trois textes abordent un thème

que pour le plaisir de raconter, de partager une histoire fictive qu'ils ont eux-mêmes inventé. Prenons l'exemple de livres pour enfants qui ne présentent aucun intérêt particulier tel que Winnie l'Ourson. Ce récit enfantin n'a été écrit que pour plaire aux enfants mais n'a aucun intérêt philosophique. La littérature n'est pas nécessairement engagé, c'est un choix des auteurs. Le siècle des Lumières est définis comme le siècle où les auteurs utilisent leur raison pour écrire. Ils sont donc engagé

un personnage, mais il peut employer la 1ère personne du singulier pour le faire parler. L’argumentation indirecte permet à l’écrivain d’attirer les lecteurs avec toute une histoire pour englober son message. « Plaire et instruire » la devise du classicisme ainsi que la morale de la fable Le Pouvoirs Des Fables : « Le monde est vieux, dit-on, je le crois ; cependant il le faut encor amuser comme un enfant » illustre bien cette idée. Je peux vous donner pour exemple certaines fables de La fontaine