La Dynamique Ricardienne De L économie

Vers une économie territoriale et durable notions clés et champs d’actions pour appréhender les projets territoriaux de développement durable dans leur versant économique teddif territoires, environnement et développement durable en Île-de-France www.teddif.org décembre 2012 2 www.teddif.org teddif En dépit d’un engagement toujours plus important des collectivités en faveur de stratégies territoriales de développement durable (agendas 21, plans climats territoriaux...), il est frappant

déséquilibres économiques jugés dommageables. La dimension politique est importante, puisqu’elle amène des représentations différentes d’une même réalité, alors des politiques économiques très différentes peuvent êtres conduites. La difficulté en économie est qu’il n’y a pas de vérités, mais des représentations concurrentes d’une même réalité. On observe des comportements, et on en tire des conclusions. Les théories qu’on en tire débouchent donc sur des réalités différentes. On se situe très vite

de laisser du patrimoine aux descendants. C’est de plus en plus fréquent aujourd’hui. Quand on mesure le patrimoine par classe d’age, on peut confondre des effets d’age qu’il faut retenir et des effets de génération qu’il faut éliminer. Dans une économie en croissance, les générations les plus jeunes bénéficient sur l’ensemble de leur vie de revenus plus élevés que ceux des générations qui les précèdent. Les patrimoines et l’optimisation des patrimoines est une affaire de choix. Il n’y aurait donc

technologies de l'information affectent les coûts et la qualité de l'information et modifient son économie. Elles aident les entreprises à limiter leur taille, afin qu'elles réduisent leurs coûts de transaction (coûts engagés lorsqu'une entreprise achète sur le marche ce qu'elle ne peut produire elle-même). Selon la théorie des coûts de transaction, les entreprises et les personnes cherchent à réaliser des économies sur ces coûts de transaction de la même manière que sur les coûts de production. Avoir recours

Économie politique | Introduction à la macroéconomie | | 1ère Année (2011-2012) – Semestre 1 1ère Année (2011-2012) – Semestre 1 Économie politique Fondements macroéconomiques Chapitre 1.1 : Introduction à la macroéconomie 2 I. Définition et objectifs de la macroéconomie 2 II. Quelques notions et conceptions nécessaires à l’analyse macroéconomique 2 III. Histoire stylisée des victoires et déboires des différentes approches théoriques 4 IV. Keynésiens et néoclassiques 5

Economie Internationale Introduction 1. Objet du cours Flux commerciaux Commerce international en Biens et Services Les politiques commerciales IDE et localisation des firmes Les théories de l’échange international portent sur la structure et les réseaux de production et d’échange On traitera de cela à travers la problématique de la spécialisation ainsi que les pratiques et les politiques d’insertion internationale d’un pays Cette insertion se déroule dans un contexte particulier :

Controverses sur l’équilibre monétaire 3.1 Loi de Say et équilibres monétaires 3.1.1 Loi de Say et équilibres monétaires réels 3.1.2 La théorie de fonds prêtables 3.2 L’équilibre monétaire classique sous la loi de Say 3.2.1 L’équilibre monétaire ricardien 3.2.2 L’équilibre monétaire de Walras 3.3 L’équilibre monétaire classique hors loi de Say 3.3.1 Les classiques hors la loi (Malthus et Sismondi) 3.3.2 La dissidence néoclassique (Patinkin et Wicksell) 4. Constitution d’un corpus monétaire classique

développement d’une économie de service 18 8 2. Les grandes théories économiques 9. 22 Adam Smith et la richesse des nations 22 10. L’analyse économique de Ricardo 24 11. La loi de Say 26 12. Les termes du débat sur les Corn Laws 28 13. L’analyse néoclassique 32 14. L’analyse macroéconomique de Keynes 34 15. Les rigidités de prix 38 16. La courbe de Phillips 42 17. La nouvelle économie classique 46 18. La nouvelle économie keynésienne

Ce constat très connu signifie que le commerce mondial, fait d’importations et d’exportations, est un moteur de la croissance des économies développées, et que la croissance favorise à son tour l’ouverture internationale. Durant les Trente Glorieuses la valeur des exportations mondiales a été multipliée par 21,5 d’où une extraversion de plus en plus forte des économies. L’extraversion signifie qu’une part de plus en plus élevée de la production de chaque pays est exportée pour financer les importations

le ministre des Affaires étrangères et de la coopération tire les leçons de l'échec de Seattle et rappelle les défis du rendez-vous de Bangkok qui ne sont autres que ceux du développement et d'une intégration positive dans la dynamique de l'échange international. Dynamique de plus en plus marquée par une logique inégalitaire, d'abord entre pays du Nord et pays du Sud et ensuite au sein même de ces deux pôles. À Bangkok, les pays du Sud doivent défendre, à travers une solidarité agissante, tout ce