La Dynamique Ricardienne De L économie

de la péninsule Ibérique (le bullionisme ou « mercantilisme espagnol ») ; par la France (le colbertisme ou « mercantilisme français ») et par l’Angleterre (commercialisme ou « mercantilisme britannique »), mais s'est soldé par une asphyxie de ces économies. Le mercantilisme espagnol : les métallistes et l’or de l’Amérique. Mais, on assiste à un appauvrissement de l’Espagne, dépendante de l’or des Amériques. On parle de la malédiction des matières premières (syndrome Hollandais). De nos jours, il en

COMPAREES. 2 types de dynamiques : une transitoire et une tendancielle, La dynamique transitoire : la manière dont le système s’ajuste a CT La dynamique Tendancielle : quand tt c’est ajusté vers quoi l’économie se dirige, dynamique de long terme Ces deux approches s’expriment dans les différentes théories économiques. Pour la dynamique transitoire, chez les classiques, c’est la question du progrès technique. Que se passe-t-il si une économie bascule vers une économie intensive en capital ?

une simple baisse de 2,25% du PIB. On constate que, pour toutes les prériodes, sauf 2008, 2009, on a une augmentation du PIB mondial et des exportations mondiales, La hausse des exportations est tjr plus forte que celle du PIB cela montre que les économies sont de + en + ouvertes et interdépendantes. En 2009, la chute des exportations mondiales, et une baisse du pib mondial. On peut donc dire, que depuis la fin de la WW2, les échanges internationaux ont tirés la croissance mondiale. d’ailleurs, les

mondial au cours des dix dernières années démontre une augmentation plus rapide des échanges internationaux, progressant en moyenne annuelle au taux de 6,2% contre 3,7% pour la production mondiale, ce qui témoigne de l’ouverture croissante des économies et du succès des politiques mises en œuvre dans le cadre de l’OMC et/ou à travers les accords commerciaux régionaux qui sont considérés comme un instrument alternatif de généralisation du libre échange au niveau international. Tout d’abord

alors que les importations comportent 80 à 90% de produits primaires. *La structure : entre 1800 et 1913, la part du textile dans les exportations diminue et les productions métallurgiques et chimiques augmentent grâce à l’industrialisation des économies japonaises et nord-américaines. B) Le XX° siècle et l’émergence de nouvelles nations dominantes *Avant la Deuxième Guerre mondiale : la crise de 1929 a radicalement clamer l’effervescence du commerce international donc entre 1913 et

THEME 8 : L'INTERNATIONALISATION DES ECONOMIES La mondialisation est un phénomène historique. Selon Amartya Sen : "La mondialisation n'est pas un phénomène nouveau, pas plus qu'elle n'est qu'une simple occidentalisation". La question qui se pose est de savoir s'il y a des périodes marquées lors desquels on assiste à une accélération des flux d'échanges. Ces contextes particuliers vont se caractériser par des changements techniques mais aussi institutionnels. A partir des années 60, la mondialisation

manifeste par l’augmentation des importations financées par une meilleure mise en valeur et l’exportation des ressources naturelles ou encore par l’importation de capitaux. Le développement des moyens de transport et de communication soutient cette dynamique. ROSTOW insiste également sur l’évolution des mentalités et des méthodes de travail, sur la prise de conscience de la mise en valeur des ressources naturelles dans un objectif de dignité nationale. La recherche du profit par les secteurs privés et

manufacturés. 1945 : généralisation et volonté de L-E qui va se diffuser. Dans cette période, on a une croissance du commerce supérieure à celle de la production, mouvement d'intégration croissante des économies. →le L-E est-il le facteur principal de la dynamique du CI ? Interrogation lien dynamique du L-E et croissance échanges mondiaux. Le L-E est avant tout une critique du protectionnisme : on prône le L-E // on critique le protectionnisme : Axe microéconomique : étude du fonctionnement d'un

produites ? 1) Les différents cas de rendements d’échelle croissants. Alfred Marshall (1879) a été le premier à introduire la distinction fondamentale entre les économies d’échelle internes et externes à la firme. Les économies d’échelle internes. C’est l’augmentation de la taille de l’entreprise, et elle seule qui conduit à ces économies d’échelle, qui peuvent provenir d’économies réalisées sur l’organisation interne de la firme ou encore de l’existence de coûts fixes (La fonction de production présente

investissement. L’épargne est donc obligatoirement égale à l’investissement (pas de thésaurisation) et elle représente un phénomène réel sur lequel la monnaie n’a pas de prise (il n'y a pas d'épargne monétaire ou d’encaisse oisive). Il faut être dans une économie la plus flexible possible ce qui permet un déséquilibre sectoriel mais ne vas pas se traduire par un déséquilibre au niveau macroéconomique. Loi de l’offre et de la demande : Les crises de surproductions généralisées ne peuvent donc pas exister