La Double Énigme

interdit. Elles sont favorables à la recherche imaginaire de l’être. « Ce qu’on peut voir au soleil est toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre » (Les Fenêtres). ‘Elle transforme la réalité en un spectacle, l’absurdité en une énigme, la platitude en une profondeur, et nous devenons nous-mêmes, derrière elle et par elle, des spectateurs, et donc des innocents’. La vitre signale et interdit le gouffre. Fécondité morale et sensible de la vitre : la transparence éloigne les objets

nouvelles publiées en 1980, est caractéristique des contradictions que la critique ne manqua pas de relever à propos de la vie et de l'œuvre d'Aragon. Correspondant à la fois à un désir de communication sincère et à un goût prononcé pour le masque et les énigmes, la diversité de sa création témoigne de la passion d'Aragon pour l'exploration de l'inconnu, qui le ramena, finalement, à assimiler l'écriture à une quête de soi. Il meurt à Paris le 24 décembre 1982 J’ai choisi Aragon car j’aime son style d’écriture

péripétie produit la terreur ou la pitié. Effet propre de la tragédie : de là bonheur ou malheur. Reconnaissance tragique est celle des personnes, il y a la reconnaissance simple qd l’un des perso reconnaît l’autre dont il était connu et la reconnaissance double : lorsque 2 personnages inconnus se reconnaissent mutuellement (Iphigénie). Catastrophe : Action douloureuse ou destructive. Meurtres, tourments cruels, ou accidents semblables. CHAPITRE 12 : Division de la tragédie Le prologue, l’épisode

théologie et anthropologie, dévoilant les contradictions du comportement humain, les énigmes de la condition humaine. Toutefois, les réflexions sont classées en liasses précédées de titres reportés sur un sommaire. Les dossiers se regroupent en sections qui éclairent la réflexion de l’anthropologue et du théologien. La première partie regroupe des observations sur le comportement humain et en dévoile les ressorts, les énigmes et contradictions insolubles : la misère de l’homme sans Dieu, sa vanité aveuglant

compagnes, d'une guerre qui s'ensuivit et d'une fusion des peuples sabin et romain. Les Sabins de Rome demeurent une énigme. Selon la tradition, ils auraient occupé le Capitole et le Quirinal, face aux Romains du Palatin, de l'Esquilin et de leurs abords. Mais on pourrait aussi les assimiler aux guerriers de l'Esquilin. En tout cas, Rome apparaît alors comme une agglomération double, composée d'au moins deux éléments ethniques. En fait, les choses ne sont pas si simples, car ni les Latins ni les

deux hommes qui se trouvait assis à une table, face à face avec un échiquier entre eux. L’homme à gauche était sa cible avec ses cheveux blancs-gris et sa petite carrure qui contrastait avec le taureau assis en face de lui. L’homme était proche du double mètre et sa carrure impressionnante posait un véritable problème à l’agent du Mossad. Mince ! Comment je vais m’en débarrasser de celui-là ? Une drôle d’atmosphère régnait dans la pièce. La tension était palpable. Le géant tenait une photo et il

transporte son lecteur de la face visible du front a un lieu caché, secret et obscur entouré de mystères. Il creuse le chemin qu'il a commencé dans le premier mouvement et ainsi autorise au lecteur de pénétrer avec lui dans un monde inconnu, de percer les énigmes avec lui. Seulement, nous allons constater que le poète peine à continuer ce qu'il a entreprit. Le troisième et dernier mouvement s'ouvre sur une comparaison de la tête dans son entier avec une représentation de la Terre : "cette sphère ronde "

toute modifications des instit’= catastrophe : vers 27, la leçon est bonne psk il la lui mm reçu enfant .Les préceptes sont d’autant meilleur qu’ils sont inchangés. Cependant, les choses ont changées, vers 58 « qui pourrait supporter ce spectacle » Double changement : * Pb n°1 le peuple : l.53 « les honnêtes gens d’autrefois sont devenus des gens de rien » agatoï (honnètes gens). Les aristocrates ne st plus considérés de la meme facon. Les gens st décrit comme habillés avec des peaux de chèvres…

à ne suivre l'enseignement que de ce seul homme »1. Pourtant il fallait un autre regard que celui du Maître parisien pour deviner que le mal ou le drame aux expressions multiformes, offert à la sagacité d'un aréopage appliqué à en déchiffrer les énigmes, supposait un autre texte, qui n'était compréhensible ni par sa traduction en termes anatomophysiologiques, ni non plus par sa lisibilité directe en lettres, mots ou phrases. Le regard se devait d'interpréter cet infratexte en faisant l'hypothèse

Sommaire L’auteur / Alfred de Musset Biographie L’oeuvre Contexte personnel au moment de l’écriture L’oeuvre / On ne badine pas avec l’amour l’argument le drame romantique la rupture des règles du classicisme les personnages romantiques Doubles, mise en abyme et intertextualité : Une pièce en jeu de miroir La mise en abyme (présence du choeur, jeu d’observation, mensonge L’intertextualité (titre, référence, lettre de George Sand) Les pistes pédagogiques En amont En aval � sur