La Dernière Femme sur Terre

feldspath, ici le gris clair de la pierre, ce noir mat de l’asphalte. Nulle part la tendre mollesse d’une terre nue. Sur l’asphalte dur, mon oreille exacerbée, mes yeux avides guettèrent, vainement, le tendre surgissement d’un pied nu. Alentour, il n’y avait aucun pied. Sur la carapace dure, rien que le claquement d’un millier de coques dures. L’homme n’avait-il plus de pieds de chair ? Une femme passa, dont la chair rose des mollets se durcissait monstrueusement en deux noires conques terminales, à

 Femme noire SENGHOR Commentaire littéraire  I- L’hommage à la femme a) La femme noire à différents moments de la vie Vers 3 : Mère et enfant. Vers 6 : Jeune fille : éveil de l’amour. L’indicatif présent est opposé au passé. La foudre (« foudroie ») est une métaphore réitérée par l’« éclair ». Le poète est dans le chaos : « tonnerre » : allitération en [T]. La femme est la savane, elle frémit, gronde (personnification de la savane) : « savane ; femme ; tamtam ». Allitérations en [F] et [V]

-Kronos (père)-Rhéa (mère)-Déméter-Hestia -Héra (femme)-Hadès -Poséidon | Description sommaire | | Zeus gouverne le ciel et garde l'autorité suprême, il se verra confier la foudre, l'éclair et le tonnerre, c'est un dieu de lumière. Fils de Cronos et de Rhéa, il est marié à sa sœur Héra. Il est le père de plusieurs dieux et de très nombreux héros. | | Nom du dieu | Domaines | Symboles | Parenté | Héra |  Elle est la protectrice de la femme, du mariage légitime, de la fécondité du couple

semblable à la Terre, sur le système de Bételgeuse. Ils décident de s'y poser. L'air de cette planète est bien respirable, ils décident de l'appeler « Soror ». Ils trouvent une rivière ainsi qu'une empreinte de pas. Il s'agit du pied d'une femme. Ils rencontrent un peu plus tard cette femme, celle-ci ne sait pas parler, elle est nue, mais elle joue avec eux. Ils décident de l'appeler Nova. Elle s'enfuit lorsque mérou lui décroche un sourire. Ils avaient un singe de compagnie, et la femme l'attaque sauvagement

Frankel Morino vit avec sa femme et ses deux jeunes garçons aux Cayes. Bien que la ville des Cayes ait subi peu de dommages lors du séisme du douze janvier 2010 comparativement à Port-au-Prince et à d’autres villes, les habitants de cette ville ont fortement ressenti les secousses et c’est avec la peur au ventre que notre frère, sa femme et ses enfants vivent depuis. De plus, notre frère a été affecté économiquement plus d’une fois par les conséquences de ce tremblement de terre. Notre frère travaille

SITUATION …………………………………………………………………………………………………2 II.LECTURE MAGISTRALE ………………………………………………………………………………2 III.COMMENTAIRE LITTERAIRE  ……………………………………………………………………….3 1- L’hommage à la femme noire ……………………………………………………………………3 a) La femme noire à différents moments de la vie ………………………………………..3 b) Les qualités de la femme ………………………………………………………………………….4 c) Le poète chante sa beauté ………………………………………………………………………..4 2- Sensualité et mysticisme ………………………………………………………………………….5 a) Nudité et mystère ……………………………………………………………………………………

les statistiques liées à l'indice synthétique de fécondité1 au Québec ainsi qu'à l'indice synthétique de divortialité2, toujours au Québec. Nous expliquerons ensuite les nombreuses transformations sociales qui ont eu lieu au Québec au cours des 60 dernières années. À l'aide des textes des auteures Jocelyne Valoie et Johanne Charbonneau, nous analyserons les trois différentes sociétés qui se sont succédé, du début du 20e siècle, en passant par les deux guerres mondiales, à aujourd'hui. De la société

LA MORT D’OLIVIER BÉCAILLE I C’est un samedi, à six heures du matin, que je suis mort, après trois jours de maladie. Ma pauvre femme fouillait depuis un instant dans la malle, où elle cherchait du linge. Lorsqu’elle s’est relevée et qu’elle m’a vu rigide, les yeux ouverts, sans un souffle, elle est accourue, croyant à un évanouissement, me touchant les mains, se penchant sur mon visage. Puis, la terreur l’a prise ; et, affolée, elle a bégayé, en éclatant en larmes : — Mon Dieu

vers deux, la comparaison entre aimer et mourir est explicité par le comparatif « comme » rapprochant les « divans profonds », des « tombeaux ». Des rimes singulières sont également révélatrices. En effet, faire rimer « tombeau » avait « beau » ou « dernière » avec « lumière », ou encore « adieu » avec « joyau » constitue de véritables antiphrases pour le commun des mortels ! Mais Baudelaire ose remettre en question les conceptions classiques et n'hésite pas à rapprocher l'éclair unique qu'est la fusion

La terre est bleu La terre est bleue comme une orange Jamais une erreur les mots ne mentent pas Ils ne vous donnent plus à chanter Au tour des baisers de s’entendre Les fous et les amours Elle sa bouche d’alliance Tous les secrets tous les sourires Et quels vêtements d’indulgence À la croire toute nue. Les guêpes fleurissent vert L’aube se passe autour du cou Un collier de fenêtres Des ailes couvrent les feuilles Tu as toutes les joies solaires Tout le soleil sur la terre Sur