La Dernière Femme sur Terre

lieux. À travers ses réminiscences personnelles, la protagoniste/narratrice découvre “le relevé, ou le repère d’un rapport collectif des hommes à leur entour” (DA, 235). Dans son étude sur Schwarz-Bart, Filles de solitude, Kathleen Gyssels note que la femme schwarz-bartienne devient image de l’histoire et que “le vécu [de Télumée] vaut pour l’identité collective” (48). En effet, en faisant le récit de son histoire individuelle, Télumée, est amenée à s’interroger sur l’ histoire de son peuple: “Il y a

voyage exotique ? ▪ En étudiant la structure du sonnet, nous dégagerons trois grands mouvements : - Au premier quatrain, le poète bascule dans la rêverie à partir de l’expérience du parfum féminin - Au deuxième quatrain, cette rêverie métamorphose la femme aimée en paradis exotique - Les deux tercets achèvent le voyage en rapprochant l’univers de la navigation maritime et celui de la poésie EXPLICATION LINEAIRE I - Au premier quatrain, le poète bascule dans la rêverie à partir de l’expérience du parfum

Nerval : La femme est l'amour L’union libre Ma femme à la chevelure de feu de boisAux pensées d’éclairs de chaleurA la taille de sablierMa femme à la taille de loutre entre les dents du tigreMa femme à la bouche de cocarde et de bouquets d’étoiles de dernière grandeurAux dents d’empreinte de souris blanche sur la terre blancheA la langue d’ambre  et de verre frottésMa femme à la langue d’hostie poignardéeA la langue de poupée qui ouvre et ferme les yeuxA la langue de pierre incroyableMa femme aux cils

Quelque chose apparaît, voilà tout, sort des abysses, et ce quelque chose, c’est une formidable déesse, qui s’appelle Gaïa – ce qui en grec, signifie la terre. Gaïa, c’est le sol ferme, solide, le sol nourricier sur lequel les plantes, bientôt, vont pouvoir pousser, les fleuves couler, les animaux, les hommes et les dieux marcher. Gaïa, la terre, c’est à la fois le premier élément, le premier morceau de nature bel et bien tangible et fiable – et en ce sens, c’est le contraire de Chaos : on n’y chute

dont il prend la défense dans un article consacré à son roman, L'Assommoir. Il restera d'ailleurs dans l'histoire de la littérature comme le premier article en faveur du naturalisme. | Le naturalisme est un mouvement littéraire qui, dans les dernières décennies du XIXème siècle, cherche à introduire dans les romans la méthode des sciences humaines et sociales, appliquée à la médecine par Claude Bernard. Le mouvement est en partie créé par Émile Zola. Le naturalisme est la suite logique du réalisme :

Harold et Maude (texte intégrale) œuvre théâtrale. 1. Tout d’abord, Maude est une femme qui est étrange mais aussi un peu folle, voir délurée et surtout très excentrique. Elle recueille un arbre dans un cimetière qu’elle veut replanter dans une terre fertile (acte I, scène 5), mais aussi un phoque qu’elle dérobe au zoo auquel elle veut rendre la liberté et donne des bains dans la baignoire de la maison (acte I, scène 9) ; elle est vive, grimpe aux arbres et fait le poirier alors qu’elle a quatre

J’ai sélectionné 2 chansons traitant la mort comme sujet, la première a été écrite par Soprano qu’il chantera avec Lea Castel et se nomme « dernière chance », il s’agit d’une femme qui est malade et son mari est révolté par le fait qu’elle doive mourir. La seconde nous vient de la chanteuse Linda Lemay et a pour titre « Ne t’en vas pas », elle parle d’une femme qui va perdre son père et qui s’y oppose. Mon anthologie contient également un poème personnel où l’on peut retrouver certaine des règles

1 Les dernières « femmes-girafes » d’Afrique: Les Ndébélé Les Ndébélé (ou Matabélé) forment un ancien peuple guerrier divisé en 2 clans, les Ndzundza et les Manala. De langue Nguni, ils sont apparentés aux Zoulou et aux Xhosa et se sont forgés une culture très particulière et surtout très forte en résistant aux Boers. Défait par les blancs au 19ième siècle, un fort parti de Ndébélé (80 %) franchi le fleuve Limpopo pour s’installer dans l’actuel Zimbawé, surtout au sud et au sud-ouest du pays

Commentaire composé Femme nue, femme noire Léopold Sédar Senghor 1) Un éloge de la femme noire La description de la femme ce fait lors des différents moments de sa vie, mais elle reste toujours aux cotés du poète. Tout d’abord à l’enfance, en effet, c'es la mère protectrice qui élève son enfant « J’ai grandi à ton ombre ; la douceur de tes mains bandait mes yeux », enfin la jeune fille et la femme aimée, l’amour et la sensualité qu’elle inspire au poète. "Je te découvre.” L’indicatif présent

évident que la femme ne possédait pas le pouvoir dont elle a droit aujourd’hui. Sortie de l’Antiquité Grec, où elle était constamment sous surveillance d’un homme, puisqu’après avoir été sous le contrôle de son père tout son enfance, elle devait obéir à son mari et une fois que celui-ci était décédé, c’était au tour de ses fils à obtenir le pouvoir sur elle. Les choses n’ont pas changé du jour au lendemain. Au Moyen Âge, nous retrouvons un contrôle absolu du mari sur son épouse. La femme doit se soumettre