La Demande Effective De Keynes

période la Théorie générale de Keynes, qui ne portait que sur le court terme. Tout comme la Théorie générale, le modèle de Harrod-Domar vise à faire ressortir le caractère instable de la croissance économique, et la nécessité de l'intervention étatique. 1) Les deux théoriciens a) Roy Forbes HARROD (1900-1978) : Formule en 1948, dans Toward a Dynamic Economics l’un des premiers modèles keynésiens de croissance. Il envisage, conformément à l’analyse de Keynes, une possibilité de sous-emploi

réversible de la production des biens et services. De façon générale, les finances publiques sont dans beaucoup de pays sous le feu de l’actualité vu l’explosion des endettements publics dans tous les pays du monde. C’est pour cela qu’il nous ait demandé si les dépenses publiques sont facteurs de croissance économique. En d’autres termes, en quoi est-ce que l’investissement public peut-il être source de croissance économique ? Les dépenses publiques ont-elles un impact positif sur la croissance économique 

achète une unité supplémentaire d'un produit tant que la satisfaction procurée par cet achat est supérieure aux désagréments d'avoir à se déposséder de la somme d'argent correspondante. b ) LES MARCHES ET L’EQUILIBRE GENERAL Cf : la courbe de demande L’optimum de Pareto (1848-1923) désigne une situation dans laquelle aucunes améliorations de la situation d’un agent ne peuvent être obtenues sans que celle d’au moins un autre ne soit détériorée. Dans le modèle néoclassique se type d’optimum ne

satisfaire la demande. résiduels aléatoire 1) résiduel Une entreprise achète, avant de produire, des matières premières. Il faut qu’elle les payes. Elle va produire, elle va payer des salaires. Puis, il restera ou non, un profit. Le profit est résiduel, c’est ce qui reste éventuellement après avoir payé les matières premières et les salaires. aléatoire Produire est un risque car l’entrepreneur parie sur une demande. Il parie alors qu’il y a un pouvoir d’achat donc une demande effective. Il reste

rembourser. La crise bancaire découle de la crise boursière. Tous les agents économiques multiplient leurs retraits de billets car ils veulent récupérer leurs argents ce qui provoque la faillite des banques car elles ne peuvent pas satisfaire toutes ces demandes de billets. Les banques qui n’ont pas fait faillite arrêtent de faire des crédits. Conséquences : Les agents économiques n’ont plus aucune possibilité de financement. La consommation qui reposait également sur les crédits, diminue ce qui réduit

neutralité de la monnaie, celle de la dichotomie sphère réelle/sphère monétaire. Le débat sur la neutralité de la monnaie s’est accentué depuis la publication de la « Théorie Générale de l’intérêt, de la monnaie et de l’emploi », en 1936, de John Maynard Keynes, remettant en cause de nombreuses thèses des libéraux « néo-classiques » et « marginalistes », héritiers des libéraux « classiques », eux-mêmes critiqués par Karl Marx (depuis « Critique de l’économie politique », en 1859, et surtout « Le Capital

pensée keynésienne 5. La controverse Keynes - Ohlin, Rueff et l’approche monétaire de la BP 5.1 La question des réparations allemandes et la solution keynésienne 5.1.1 Première phase : de la guerre au plan Dawes 5.1.2 Deuxième phase : la solution keynésienne 5.2 Les objections radicales d’Ohlin et Rueff 5.2.1 La preuve par les faits selon Rueff 5.2.2 L’analyse théorique d’Ohlin 5.3 La réplique de Keynes et l’issue de la controverse 6. La controverse Keynes - Hayek ou l’équilibre monétaire 6.1 Les

(1804). C’est un industriel français qui va populariser la pensée d’Adam Smith en France. John Stuart Mill (1806-1873), il est considéré comme le dernier des classiques. Il est souvent présenté comme celui qui a exposé la loi de l’offre et de la demande de façon explicite. II°/ 2) La défense du libéralisme économique chez les classiques Chez A. Smith, la liberté naturelle et l’intérêt individuel permet d’établir la meilleure organisation possible. Une main invisible incite chaque individu a satisfaire

depuis Keynes, comme un déterminant de la décision d’investir. Keynes, qui redoutait une baisse chronique des investissements, conseillait une politique monétaire assurant des taux d’intérêt relativement faibles pour maintenir l’investissement à un niveau correspondant au plein emploi. ( La baisse du niveau des taux d’intérêt favorise le crédit car il y aura moins de dépense dans le remboursement des intérêts. La hausse des demandes de crédits est un facteur de hausse de la demande effective

le marché ne peut pas tout internaliser d’où l’intervention de l’Etat « détachée des contingences matérielles » comme disait Keynes. Le krach boursier de 1929 celui du « jeudi noir » nécessitera l’intervention de l’Etat, en effet en 1936 John Meynard KEYNES dans sa « Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie » confère un rôle central à l‘Etat. Pour Keynes, seule l’intervention de l’Etat aidera le pays à sortir de la situation de sous-emploi. Mais grâce aux politiques de relance