La Culture Nous Deshumanise T Elle

(il s'inspire du modele des Lettres persanes) Entre un jeune Français de vingt-cinq ans, A. D., qui a quelque connaissance des ouvrages de la Chine et y voyage, et un jeune Chinois de vingt-trois ans, Ling W.Y., qui, atteint de curiosité pour la culture occidentale, voyage en Europe pour la première fois, s’échange une correspondance (Les deux personnages ne sont que la projection de André Malraux lui-même qui souffre d’un rationalisme exagéré de l’occident) Ils comparent les deux civilisation,

. Or, la description de Yonville au début de la deuxième partie joue sur la désillusion et sur le fait que Yonville est tout sauf idyllique : «C’est là que l’on fait les pires fromages de Neufchâtel de tout l’arrondissement, et, d’autre part la culture y est coûteuse, parce qu’il faut beaucoup de fumier pour engraisser ces terres friables pleines de sable et de cailloux ». De fait, Yonville étant le lieu de rassemblement de tous les personnages du roman de Flaubert, la ville incarne à elle-seule

implique paradoxalement une contemporanéité de ce monde ancien avec l’époque présente. On peut supposer que le narrateur évoque ici des éléments, des références, des normes d’un monde gréco-latin qui perdureraient dans le temps présent à travers la culture dite classique. Or, encadré par ces deux vers évoquant le monde ancien et le sentiment de rejet qu’il suscite, le deuxième vers convoque curieusement la figure de la Tour Eiffel. C’est d’autant plus étonnant que celle-ci correspond à un geste architectural

I. Les anges dans l'histoire de l'art De nos jours, les anges sont omniprésents dans l'art chrétien, aussi bien que dans les sculptures qui ornent nos élises et dans la musique liturgique. Mais ce sont aussi des éléments récurent dans sa culture populaire. Bon ange ou ange gardien (celui qui conseil) et mauvais ange (la tentation) sont présents dans des sagas telle que Tintin mais aussi de nombreux films, romans, tableaux et sculptures, ainsi que dans des séries télévisées telles que «Les

antillaise. Dans ce mémoire, nous aimerions concentrer sur la littérature africaine. Balogun Léon Iyanda dans son œuvre intitulée « Initiation à la littérature africaine d’expression française » définit la littérature africaine comme « l’ensemble des cultures, des mœurs des civilisations, des pensées et des sentiments du peuple noir d’Afrique ». Dans ce travail, nous aimerions étudier les thèmes dans le roman Une vie de Boy de Ferdinand Oyono. Nous les avons catégorisées en deux, les thèmes principaux

la domination de l’occident sur les autres cultures a entraîné leur disparition, ce qui a aujourd’hui pour conséquence la recrudescence du terrorisme et du communautarisme. Le futur citoyen est formaté par le modèle dominant en consommateur soumis au productivisme. De la même façon, la science et la technique sont soumises à des impératifs économiques, de rentabilité. D’après l’auteur, d’une manière plus générale, le libéralisme dominant déshumanise le citoyen, qui ne se pose plus les questions

naturelle (de la survie biologique). Vie naturelle = vie immédiate/passive, qui n’a aucune autonomie. La libération se manifeste d’abord sous la figure de l’affirmation de la liberté par le dépassement de la vie naturelle (dépassement qu’approfondira la Culture dans la PhE ). L’existence humaine se caractérise par le dépassement du donné, de la vie immédiatement reçue : la vie doit être le résultat de ma liberté : conquête d’une vie véritablement humaine c’est-à-dire libre, digne

par définition, mouvante, évolutive, imprévisible. N'importe quelle utopie, reposant sur des principes totalement opposés à ceux du Meilleur des Mondes, connaitrait une telle pauvreté artistique. Dans Le Meilleur des Mondes, l'art mécanique est déshumanisé : les machines sont les artistes de ce nouveau monde. En effet, les exemples ne manquent pas : « Une Machine à Musique synthétique roucoulait un solo de super-cornet à pistons » (p. 54) ; « Les haut-parleurs dans la tour du bâtiment principal du

(acquérir des richesse naturelles à la vie) à la chrématistique mercantiliste ( posséder des choses non pas pr leur fonction mais pr les possédées). Il souligne que l’accumulation de la monnaie pour la monnaie est une activité contre-nature qui déshumanise ceux qui s’y livrent. Remarque : la chrématistique décrit la pratique visant à l’accumulation de moyens d’acquisition en général et plus principalement la monnaie pour elle-même ( attitude condamnées par Aristote. Cette pensée éco de l’antiquité

apprennent la réalité, elles tombent de haut. L'atterrissage est brutal. Elles se mettent en colère contre le médecin ou les infirmières qui ne leur ont donné aucun élément de décision. Certains disent que ce syndrome touche seulement les femmes de culture occidentale, culpabilisées par la morale chrétienne. Mais pourquoi alors, par exemple, des milliers de Japonaises organisent-elles aujourd'hui des rituels pour leur enfant avorté ? Il y a des cérémonies particulières tout à fait courantes maintenant