La Culture Gnawa

résultats que nous avons pu dégager. Mais, notre plus grand motif de fierté demeure la dynamique socio-économique que nous avons pu déclencher à travers la création de richesses et d’emplois. Mieux encore, nous avons été précurseur d’une véritable culture client et d’une démarche qualité. Ces deux valeurs sont devenues des références sur le marché marocain. Plusieurs entreprises s’en sont inspirées et c’est tant mieux pour le pays. Notre fierté découle, également, du fait qu’en très peu de temps nous

convivialité (ambiance, accueil, son…). Section 2 : la distribution au Maroc entre le traditionnel et le moderne Cas Derb Omar I. Derb Omar I-1. Aperçu sur Derb Omar Durant les années 40 et 50, les grossistes étaient implantés à « derb Gnawa » avec une majorité juive, avec une prédominance du commerce de gros alimentaire, les autres israélites étaient spécialisés dans le textile, tandis que la minorité musulmane s’est spécialisée dans les conserves. Les israélites ont quittés le marché

Mme OUSSEDIK- HADJ NACER FATMA U COURS : PLAN D I-LE MONDE EST MA REPRESENTATION. II – LE SIGNE COMME SUPPORT DU SENS. III- LA SOCIOLOGIE COMME DISCIPLINE. IV-LA CULTURE ET LA SOCIOLOGIE. V- LA SOCIOLOGIE DE L’ART. VI-DES PEINTRES ET NEW YORK A LA FIN DU XX° SIECLE. VII- ALGER FAIT SON CINEMA. CONCLUSIONS : INTRODUCTION A L’ANALYSE SOCIOLOGIQUE DES SIGNES.

découvre la maison habitée par ses parents et ses nombreux locataires. La visite commence par le rez-de-chaussée habité par une voyante. La maison porte son nom : Dar Chouafa. On fait connaissance avec ses clientes, on assiste à un rituel de musique Gnawa, et on passe au premier où Rahma, sa fille Zineb et son mari Aouad, fabricant de charrues disposaient d’une seule pièce. Le deuxième étage est partagé avec Fatma Bziouya. L’enfant lui habite un univers de fable et de mystère, nourri par les récits

origines des cultures du peuple Entretien avec Kateb Yacine Tassadit Yacine             Cet entretien a été réalisé en octobre 1987 à Ben-Aknoun au domicile de Kateb Yacine. M’étant toujours intéressée aux itinéraires des intellectuels, je voulais remonter aux sources de la prise de conscience de Kateb Yacine. Qu’est ce qui faisait qu’un arabophone s’intéressât à la culture berbère sachant par ailleurs qu’il y avait très peu d’arabophones à manifester un intérêt pour cette culture. Il y a bien

l’Ancienne Médina 3.1 Notre rôle de communicateur 3.2 Stratégie de sensibilisation au patrimoine et Plan d’action Conclusion Bibliographie Annexes Casablanca est une ville fascinante par ses dimensions tendant au gigantisme, par la richesse des cultures qu‟elle recèle. Principalement connue pour être la capitale économique du pays, c‟est une ville que l‟on dit sans traces, une ville pourvue d‟un passé ne s‟inscrivant apparemment pas dans une histoire ancienne, une ville dont l‟essence et l‟identité

THÉMATIQUE Cinquantenaire de l’Indépendance du Royaume du Maroc Liminaire L’une des difficultés d’un rapport thématique sur la culture et la spiritualité réside dans la complexité du concept de culture. Dans son opposition au concept de nature, il fond la société et traverse toutes les activités humaines, comme le rappelle E. Said. “En tant que patrimoine, la culture est ce long fleuve qui mène à une génération déterminée d’êtres humains, qui leur transmet des valeurs morales et esthétiques, des

interne suite aux voyages successifs des marocains ces dernières années à l’international puisqu’ils sont attirés de plus en plus par des offres qui leurs permettent de vivre l’aventure, la découverte de la nature, des lieux sauvages ainsi d’autres cultures. Donc le Maroc doit mener ses performances pour améliorer ses différents piliers du tourisme. Alors quelle sera la démarche à suivre afin de promouvoir le tourisme national au Maroc ? Partie I 1-1 Macro-environnement Environnement démographique

maison habitée par ses | |parents et ses nombreux locataires. La visite commence par le rez-de-chaussée habité par une voyante. La maison porte son nom : Dar | |Chouafa. On fait connaissance avec ses clientes, on assiste à un rituel de musique Gnawa, et on passe au premier où Rahma, sa fille | |Zineb et son mari Aouad, fabricant de charrues disposaient d’une seule pièce. Le deuxième étage est partagé avec Fatma Bziouya. L’enfant| |lui habite un univers de fable et de mystère, nourri par

la concurrence au niveau du lancement de services exclusifs qui sont utiles et accessibles à toute sa clientèle. On cite à ce sujet : • Le lancement d’Imédi@ et de toute la panoplie de services liés à ce portail (chat, jeux, distraction, loisir, culture, etc) ; • La relance de la boîte vocale ; • Le lancement de MédiBip ; • Le lancement du service Appel plafonné ; • Smart mail ; • Etc… Afin d’améliorer la fidélisation, Méditel a introduit le concept des «services Add ons» qui consistent à offrir au