La Croyance Une Dimension Du Savoir

Le savoir-être en soins infirmiers: une mosaïque complexe Margot Phaneuf, inf., Ph.D. 1 Présenté au CÉGEP de Trois-Rivières dans le cadre du Colloque de l’AEESICQ 2 Juin 2011 2 Un grand merci aux enseignantes de ce collège qui nous accueillent chaleureusement 3 Cette présentation vous est offerte par INFIRESSOURCES Un site de réseautage et de partage créé à votre intention 4 Afin de simplifier cet exposé, il est fait uniquement au féminin, mais c’est sans discrimination

territoriale d'un arrondissement. -» Obscurantisme : Opinion, doctrine des ennemis des «lumières », de ceux qui s'opposent a la diffusion, a la vulgarisation de 1'instruction et de la culture dans les masses populaires. -> Dogmatisme : Caractère des croyances (religieuses, philosophiques) qui s'appuient sur des dogmes (= articles de foi, vérités fondamentales, opinions indiscutables, lois, doctrines). -» Affaire La Barre (1765-1766) : Affaire judiciaire dont la victime fut le chevalier de La Barre, gentilhomme

Résumé: L'opinion est une assertion ou une conviction personnelle qui se base sur un jugement. La question est de savoir si l'opinion n'est qu'une illusion et une affirmation fausse, ou si l'opinion est une conviction subjective pouvant donner une dimension de vérité ? Finalement l'opinion ne serait-elle pas nécessaire comme connaissance utile et jugement respectable ? 1.L'opinion fausse 2.L'opinion vraie ou droite 3.Opinion et liberté Extrait du document: L'opinion, nous l'avons dit

se consacra ensuite à la philosophie et à la morale. C’est à cette époque qu’il rédigea ses « Pensées ». Blaise Pascal dit qu’il y a folie lorsque l’on n’emploie que la raison en excluant nos autres facultés humaines : nos sentiments, nos croyances, notre sensibilité, notre instinct, nos émotions… ou, à l’inverse, que l’on ne fait appel qu’à nos facultés citées ci-dessus, sans utiliser la raison. Notre réflexion partira d’une tentative de définir ce qu’est la raison. A partir de là,

même dans le présent et ou le passé car, en fait, de nombreux aspects importants du monde ne sont pas observées avec certitude. La théorie des probabilités nous donne le fondement de base pour modéliser nos croyances sur les différents états possibles du monde, et de mettre à jour ces croyances. Elles peuvent être combinées avec des préférences individuelles pour guider nos démarches, et même dans le choix des observations à faire. Alors que la théorie des probabilités a existé depuis le 17ème siècle

LA RELIGION I. L’approche des sciences humaines Religion : ensemble de croyances (mythes révélations dogmes) et pratiques ( rites cérémonies interdits tabou) tous tenu pour impératifs. Il faut qu’elles soient collectives, fait social et coercitif. Présupposée méthodologique : Durkheim considère que l’essence de ces religions peut être trouver chez ses formes les plus élémentaires dans tribus primitifs. -Animisme : voir dans certains objets ou être vivant une âme -Totémisme : attribuer

mais laquelle ? Il nous faut d’abord déterminer ce que nous entendons par rhétorique. Le mot rhétorique évoque presque spontanément une discipline désuète et superfétatoire, ayant trait à une technique du discours envisagée dans sa dimension la plus formelle, à savoir par exemple la maîtrise des figures de style impliquant l’apprentissage quelque peu fastidieux et rébarbatif des définitions de ce que sont une métaphore, un oxymore ou une prétérition. Une autre acception majeure du sens de la rhétorique

serait-elle pas nécessaire pour asseoir l'autorité des lois? Ou alors vaut-il mieux des hommes lucides qui reconnaissent l'origine purement humaine de ces lois? (Thèse) Le propos de Freud est de dire que les hommes ont tout intérêt à se défaire des croyances religieuses pour admettre leur origine purement sociale. (Problématique) D'où les deux questions que nous traiterons dans l'ordre: primo, pourquoi y-a-t-il beaucoup plus d'inconvénients que d'avantages à croire en l'origine divine des lois? c'est

IDEES : « Je l’avoues ; mais il est bien plus triste et beaucoup plus sot de croire savoir ce que l’on ne sait pas » citation finale IDOLE : attaque contre la crédulité (entre autre) INQUISITION : à ne pas prendre en compte car sa date de publication est postérieure aux autres articles JUDEE : destruction du mythe de la terre promise A l’échelle des articles, on observe une accumulation concernant les croyances bibliques. Cette série d’article est destinée à démystifier les mythes sacrés de la

qui reposent sur le partage de croyances et de valeurs communes. On traitera plus particulièrement de l'évolution du rôle des instances d'intégration (famille, école, travail) dans les sociétés contemporaines et on se demandera si cette évolution ne remet pas en cause l'intégration sociale. Acquis de première : socialisation, sociabilité, anomie, désaffiliation, disqualification, réseaux sociaux NOTIONS : Solidarité mécanique/organique, cohésion sociale Savoirs de référence sur la question