La Croyance Religieuse Est Elle Raisonnable

morale que si je suis capable de me l’imposer moi-même à moi-même et d’être ainsi l’auteur de mes actions. La morale n’est pas pur conformisme social, obéissance passive à des règles reçues de l’extérieur : famille, société, communauté ethnique ou religieuse. Elle n’est donc pas hétéronomie mais autonomie. Or, cette autonomie, qui est déjà liberté, en présuppose une autre, plus fondamentale, et qui consiste, précisément, dans le pouvoir de s’arracher aux déterminismes sociaux. Non qu’il s’agisse d’enfreindre

censure et liberté d’expression : libre examen, esprit critique, apôtres de la liberté, libres-penseurs, les lumières, art et littérature engagés, les courants scientifiques, etc. ; * les sciences soumises aux conventions, aux valeurs morales ou religieuses. Art et sciences face aux contraintes sociales et matérielles : * codes sociaux, mœurs, coutumes et pouvoir ; * attentes du public, réceptions des prix littéraires et artistiques, contraintes de production et de diffusion de la littérature

(ex : LCR, tête des filles) ⋄ On peut toujours corréler des choses, c'est-à-dire de créer des rapports, rattacher ce qui est observable à ce que l’on sait de la société. Donc, à différent Phénomènes, on pourrait avoir différentes Interprétations, raisonnables ou pas (cultures) ⋄ Dans les sc. Exactes, un nombre limité de théories incompatibles entre elles. Il y a plus d’homogénéisation dans la théorie, appuyée par l’expérimentation. ⋄ On ne peut observer que des comportements, pas ce qu’il y a dans

cocher l’un des chevaux est fougueux désobéissant il correspond à l’épitumnia : partie concupiscible de l’âme, liée au corps, sensible. Cette partie correspond au ES chez Freud. L’autre cheval est mesuré et obéissant il correspond à noûs : la partie raisonnable de l’âme, qui correspond au Uberich. Le cocher symbolise le thumos qui signifie la partie courageuse, médiane, médiatrice des contraires. Cette tripartition ne concerne que l’inconscient personnel et non l’inconscient collectif est indique que le

nécessité de s’en tenir à l’expérimentation et nécessité de refuser les arguments d’autorité. Pour SS, les arguments d’autorité sont au cœur de ce qui prédomine le Moyen Age. La théologie impose aux individus des croyances (=dogmes) avec lesquels la science doit prendre ses distances : les croyances sont contraires aux reflets qui fondent la science. Les règles scientifiques supposent de mener une existence originale, s’informer régulièrement sur la théorie scientifique et leur évolution de parcourir toutes

positives, toutes populaires en leur fond, tandis que les Dialogues auraient à charge de mener l'examen critique des prétentions philosophiques de la religion naturelle[2]. Cette distinction est inévitable. Si la religion en général commence avec la croyance en l'existence d'une puissance surnaturelle invisible – ou de plusieurs –, il faut cependant reconnaître qu'il y a bien deux principales sortes de religion. Dans la première, l'homme ignore les mécanismes du monde naturel, parce qu'il se rapporte

critères de vérité, comment savoir ce que nous prenons pour vrai, est vraiment vrai. Par ailleurs, la science elle-même est-elle capable de tout démontrer ? Ne repose-t-elle pas elle aussi sur des principes indémontrables? Quel statut accorder à nos croyances? Nous avons tous des valeurs esthétique/ morale/ politique que nous tenons davantage qu'à la vérité scientifique. Quelle valeur faut-il accorder à notre valeur? Dans quelles conditions nos certitudes peuvent-elles être considérées pour vrai? Mais

querelles religieuses ne se contentent pas d’être intellectuelles, elles débouchent sur des conflits armés (guerres de religion dans l'Empire germanique, en France, aux Pays-Bas) au cours du XVIème siècle. Elles amènent aussi à réactiver l’Inquisition – surtout en Italie et en Espagne – pour juger et condamner ceux qui sont estimés coupables d’hérésie. Ces violences sont autant de négations des valeurs de l'humanisme et ébranlent fortement la croyance en un homme bon et raisonnable. *Conclusion

valeurs religieuses |Existence d’un monde des rêves et du sommeil ch.19. ( Intuition d’un| | |autre monde possible après la mort ; embryon de la culture | | |religieuse. Voir les nombreuses citations bibliques ou références | | |religieuses.

positions critiques Retour à la table des matières Les définitions et opinions sur la religion sont innombrables. Nous en retiendrons trois, dans le seul but d'amorcer le débat critique. Un système d'action et d'interactions basé sur des croyances culturellement partagées en des pouvoirs surnaturels sacrés. De WAAL-MALEFIJT, A. 1969 : 12 (notre traduction) La religion est une institution faite d'interactions modelées par la culture avec des êtres surnaturels postulés. SPIRO,