La Coopetition

essentiellement dans des marchés très concentré (marché à structure oligopolistique, voire monopolistique). Paradoxe important, On voit à la fois un accroissement de la concurrence et de la coopération. Deux phénomènes en principe contradictoire La Coopétition. Très paradoxal car la concurrence  est très agressive mais il y a beaucoup de coopération aussi. On est allié sur la recherche puis on devient concurrent au niveau de la commercialisation (Par exemple BW’S et Spirit). Réapparition de véritable

question du déploiement à grande échelle des pratiques de communication médiatisée par les réseaux numériques. L’utilisation des réseaux (numériques de communication et d’influence) va-t-elle favoriser l’émergence d’une nouvelle forme de pensée : la coopétition? Il existe un véritable paradigme de nos jours car tout ce qui est vrai avant n’est pas forcement vrai maintenant (J.P Mousnier, 2011)[9] L’avenir appartient à ceux qui voient des opportunités avant qu’elles deviennent évidentes. Et bien l’évidence

d’intégration et en choisissant avec soin les partenaires, elles ont emprunté avec succès le chemin qui mène à l’entreprise étendue. Ce concept est devenu aujourd’hui une réalité impliquant une nouvelle forme de concurrence, que certains appellent “ coopétition ”, alliances des mots coopération et compétition. L’entreprise étendue est considérée comme un système à part entière qui se rapproche d’un mode de coordination par le marché (les mécanismes de prix, l’allocation optimale des ressources…) et d’un

d’enjeux (ONG, etc.)/ secteur privé Chercheurs dans leurs rôles (évalués, évaluants ou auto-évaluants, producteurs de connaissance sur les communautés et réseaux S&T) - Activités et performances mesurables des institutions, dans un contexte de « coopétition » internationale avec ressources limitées. Evaluation, benchmarking, « rankings » AXE 1 Production et activité AXE 2 Visibilité : citations et autres mesures - Indicateurs de positionnement dans les réseaux de production et d’échanges de connaissances

structurées autour de groupes d’anciens de grandes écoles. Les échanges permettent des mises en commun de process grâce à des effets de synergie et une certaine forme de partenariat, tout en maintenant la concurrence, ce qui a donné le néologisme « coopétition ». b. L’approche systémique Comme son nom l’indique, cette approche préconise la mise en place d’un système de management des connaissances qui évolue par rapport aux contraintes de l’environnement. Cette approche est contingente et

échanges en présentiel synchrones/ Logique des échanges déterritorialisés ou asynchrones Logique analytique/ Logique systémique Logique planifiante / Logique d’adaptation Logique statique / Logique dynamique Logique de confrontation / Logique de coopétition Logique de pouvoir/ Logique de responsabilité Logique de moyens/ Logique de résultats. Les différents types de communauté de travail Communauté d’intérêt : regroupement autour d’idées, d’une cause commune-rôle important dans la dissémination de

RICHARDSON (1972), cette idée de coopération, relevant de logique complémentaire ou additive, apparaît également pour caractériser les avantages compétitifs : le réseau de coopération fondé sur la stricte complémentarité des entités ; le réseau de coopétition, fondée sur l’alliance entre des entités substituables et concurrentes. L’approche typologique fondée sur la classification U, M, N demeure une vision statique du fonctionnement de l'organisation. En effet, la construction et la mutation d’une organisation

différenciation/distinction :éviter la concurrence (atténuer le jeu concurrentiel) par la production d’un bien différent de celui des autres - Ententes ou cartels : illégal car la règle du marché est de garantir un jeu concurrentiel - Coopétition : coopérer tout en étant en concurrence(compétition) (Définition des modalités relationnelles basées sur la coopération : • lorsque deux organisations ou plus partagent des ressources et des activités afin de poursuivre une stratégie (but

travail des uns et des autres qui est à la base de la culture libre dans le domaine de l'informatique. Les valeurs qu’elle soutient sont : la liberté, la liberté d’expression, le contrôle par l’utilisateur, la vie privée, le partage du savoir et la coopétition[8]. Le meilleur exemple pour illustrer cette philosophie sur Internet est sans nul doute le site Wikipédia, encyclopédie électronique universelle mise en ligne le 10 janvier 2001 : plus de 16 millions d'articles rédigés en plus de 270 langues et

praticiens autour du vocable « collaboration », à en juger par le nombre de synonymes utilisés pour le désigner, le décrire, tels que : partenariat, alliance, coopération, relations inter-entreprises, entreprise étendue, mutualisation ou « coopétition », mais au fond cela représente le même concept (Simatupang, 2007 ; Corsten & Felde, 2005 ; Barratt, 2004b ; Soosay & Hyland, 2015). Dans la quête d’une définition consensuelle, voire indiscutable, le résultat a été une anthologie