La Condition Faite à La Femme Dans La Tradition Africaine

s’est tenu à Lubumbashi, sous les auspices du Département des Lettres et Civilisations Françaises de l’Université de Lubumbashi en partenariat avec CRITAOI (littérature CRItique de l’Afrique subsaharienne francophone et de l’Océan Indien), le Département de Lettres modernes de l’Université Marc Bloch de Strasbourg II, l’A.U.F. – Bureau Afrique Centrale et le Centre Wallonie Bruxelles de Kinshasa, un colloque international sur « 1960 – 2004, bilan et tendances de la littérature négro-africaine »

Je dédie ce modeste travail pionnier, à la mémoire d’ Aimé Césaire, le Pape de la négritude « qui dans un de ses moments surréalistes automatiques primitifs, créa le néologisme NEGRITUDE qui parce qu’ il surgit du fond de son âme noire, fut ensuite repris en chœur par des millions de bouts de bois noirs enivrés par le son de son tam-tam qui fleure bon le son de l’ Afrique mystérieuse d’ Hier et de Demain. »(1).Par le court messagedédicace suivant qu’ il conçut à mon adresse : « Pour toi et notre Congo

admissibilité « à toutes dignités places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celles de leurs vertus et leurs talents ». Cependant les femmes ont attendu cent cinquante ans avant d’acquérir le droit de voter et d’être éligibles. Aujourd’hui ce n’est plus la lutte pour un droit qui est en cause mais pour un fait. Combien de temps faudra t’il encore pour que le droit soit appliquer et donc pour que les femmes soient admises dans les mêmes conditions que les hommes dans

pluri-culturels ♦ Comprendre les mécanismes liés aux chocs pluri-culturels. ♦ Prendre du recul par rapport à ses habitudes culturelles et agir différemment. AXE 3 La passerelle ♦ Comprendre les indicateurs culturels et construire la grille de décodage pluri-culturelle permettant de mieux comprendre la demande. ♦ S’approprier l’outil de décodage et développer des modes de reformulation touchant à l’oral et aux attitudes corporelles permettant la mise en œuvre de réponses appropriées. Communication

sociologie, il nous a été demandé de résumer deux chapitres d’un livre et ensuite de faire la critique d’une coupure de presse. L’analyse de ces deux chapitres permettra de nous éclairer lors de l’étude de cette coupure de presse. Pour réaliser ce travail, nous avons choisi de nous baser sur le livre « Masculin/Féminin : Dissoudre la hiérarchie » de Françoise Héritier. Ce livre traite une question qui nous paraît essentielle. En effet, la problématique de la domination homme/femme est un sujet d’actualité

Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Le vaudou (ou vodou, ou vodoun) est une religion originaire de l'ancien royaume du Dahomey (Afrique de l'Ouest). Il est toujours largement répandu au Bénin et au Togo, comme dans le célèbre marché des féticheurs à Lomé. À partir du XVIIe siècle, les esclaves originaires de cette région d'Afrique répandirent le culte vaudou aux Caraïbes et en Amérique. On le retrouve donc sous différentes formes à Cuba, en Haïti, au Brésil ou encore

 LES MODES DE SUBSISTANCE DE TRIBUS AFRICAINES AUX QUATRE COINS DU CONTINENT MÉDIAGRAPHIE par ANABEL DAMASO-LEPAGE JUSTINE LAVALLÉE LAURE-ÉLISABETH DESMARTEAUX MATHILDE MOUGEL-LACHANCE présenté à JULIE-PASCALE PROVOST Collège Édouard Montpetit Peuples du monde : Perspective anthropologique 381-244-EM, groupe1010 21 mars 2014 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION………………………………………………………………………………………………………….…..3 BAMBARAS…………………………………………………………………………………………………………………

de la fin du XIX s à 1960 Leçon 1:     De l’exploration à la conquête du territoire Introduction Le début du XIX s marque le départ de l’impérialisme européen en Afrique. Le Burkina à l’instar des autres territoires africains suscite l’intérêt des européens. La conquête est précédée d’une phase d’exploration dirigée par trois puissances de 1853 à 1894. 1. Les principaux explorateurs du Burkina * Heinrich Barth : c’est un docteur allemand, il est le premier européen à fouler le sol burkinabé

forcés………………….. 3 A. Le mariage blanc……………………………………... 3 B. Le mariage forcé……………………………………... 6 II. Les caractéristiques de ces mariages……………………. 7 A. Critères poussant au mariage forcé ou arrangé ……… 7 B. Moyen de pression mis en œuvre…………………….. 10 C. Les conséquences de ces mariages…………………… 13 III. Les moyens d’intervention………………………………. 14 A. Les mesures déjà prises……………………………… 14 B. Mesures à prendre…………………………………….. 16

reproduite ici, est une version collectée en Guinée à l’issue d’un atelier régional de concertation entre communicateurs traditionnels et modernes (Kankan : 312 Mars 1998). Ce sont les traditionistes qui ont déclamé le texte ; celui-ci a été ensuite transcrit et traduit, avec l’aide des linguistes guinéens et sous la supervision de Mr. Siriman Kouyaté – magistrat et traditioniste (sa famille est gardienne du sosobala, à Niagasole, Guinée). S. Kouyaté a, ensuite structuré La Charte, sans altérer l’essentiel