La Condition Des Femmes Dans Le Père Goriot

Extrait des Liaisons dangereuses (Lettre 81) Extrait de Le Rouge et le Noir : la scène de la rencontre Extrait du Père Goriot : portrait de Mme Vauquer Extrait du Planetarium : incipit Introduction : Les extraits de La Princesse de Clèves, roman classique du 17ème siècle, des Liaisons dangereuses, roman épistolaire du 18ème siècle, de Le Rouge et le Noir ainsi que du Père Goriot, romans du 19ème siècle et enfin du Planetarium, roman du 20ème siècle ont un point commun : la présentation d’un

et des états d’âme. Balzac était une génie à part. Il montre des choses réelles qui se passent à la vue de tous. Il critiquait son époque et écrivait des romans y compris Eugénie Grandet, qui contenaient les pensées du réalisme. On le nommait le père du réalisme. « Balzac est faciné par la quantité d’énergie qui explose dans la société. Il s’attache à montrer aussi l’inhumaine brutalité d’une société où l’ordre est toujours un simulacre d’ordre 7 ». Le roman balzacien est avant tout

Sorrel a un tempérament révolté comme Napoléon. Le titre de ce roman fait référence aux deux moyens qui s’offrent au héro ambitieux de Julien Sorrel pour sortir de sa condition social médiocre. Q1 : non il est différent car la famille De Rênal est de famille aristocrate : arrogant Différence sociale, rivalité Julien : son père est précepteur mais il est socialement inférieur Q2 : Le sujet de la plupart de ses phrases est le personnage julien qui indique que c’est le perso principal et le héro

à l’état civil » et écrire « l’histoire […] des moeurs ». Si l’on assigne au roman cette mission, il devient logique de gommer le plus possible les traces de fiction dans les personnages créés : en leur donnant un nom – Mme Vauquer dans Le Père Goriot –, un milieu et un décor minutieusement calqués sur la réalité – une pension comme il y en avait beaucoup à Paris –, une existence sociale, le romancier fait son oeuvre de « peintre de la réalité ». Le roman se lit alors comme un témoignage auquel

|EUGÉNIE GRANDET | |HERNANI | |LA CHARTREUSE DE PARME | |LA DAME AUX CAMÉLIAS | |LE PÈRE GORIOT | |LE ROUGE ET LE NOIR | |L’ÉCOLE DES FEMMES | |LES CONTEMPLATIONS | |LES FLEURS DU MAL | |LES MISÉRABLES | |LES PRÉCIEUSES RIDICULES

Extrait des Liaisons dangereuses (Lettre 81) Extrait de Le Rouge et le Noir : la scène de la rencontre Extrait du Père Goriot : portrait de Mme Vauquer Extrait du Planetarium : incipit Introduction : Les extraits de La Princesse de Clèves, roman classique du 17ème siècle, des Liaisons dangereuses, roman épistolaire du 18ème siècle, de Le Rouge et le Noir ainsi que du Père Goriot, romans du 19ème siècle et enfin du Planetarium, roman du 20ème siècle ont un point commun : la présentation d’un

Sa vie[modifier] Jacques Collin est probablement né en 1779, car il se dit avoir quarante ans pendant les événements du Père Goriot, qui se passent en 1819. Il s'est installé dans la maison Vauquer en 1815, sous le nom de Vautrin, prétendant être commerçant. Il est décrit ainsi : « Il avait les épaules larges, le buste bien développé, les muscles apparents, des mains épaisses, carrées et fortement marquées aux phalanges par des bouquets de poils touffus et d’un roux ardent. » Il s’intéresse beaucoup

Fiche de lecture : Le père Goriot de Balzac   I. Présentation général du Père Goriot : Le Père Goriot est un roman d’Honoré de Balzac, écrit en 1835, dont la publication commence dans la Revue de Paris et qui paraît en 1835 en librairie.   II. Biographie de Balzac : Honoré Balzac naquit le 20 mai1799. Très tôt il fut placé en pension, et l'indifférence de ses parents à son égard l'a beaucoup marqué. Il est pensionnaire au collège Vendôme jusqu'en 1813. En 1818 il s'inscrit à la faculté de

Le Père Goriot, Honoré de Balzac Description de la pension de Mme Vauquer Extrait du chapitre I, Une pension bourgeoise. Introduction : Le narrateur décrit une pension parisienne, celle de Mme Vauquer ; c’est là qu’habite Le Père Goriot. La tonalité du texte est pathétique parce que Balzac montre la déchéance humaine. Comment va-t-il procéder pour décrire à la fois une triste réalité et critiquer la propriétaire ? « (…) Au-dessus de ce troisième étage étaient un grenier à étendre le

concurrence à l’état civil » et écrire « l’histoire […] des mœurs ». Si l’on assigne au roman cette mission, il devient logique de gommer le plus possible les traces de fiction dans les personnages créés : en leur donnant un nom – Mme Vauquer dans Le Père Goriot –, un milieu et un décor minutieusement calqués sur la réalité – une pension comme il y en avait beaucoup à Paris –, une existence sociale, le romancier fait son œuvre de « peintre de la réalité ». Le roman se lit alors comme un témoignage auquel