La Cité des dames

contraste du niveau de vie plus ou moins aisé est donc mis en évidence. Néanmoins dans cette liste, les rôles masculins sont prédominants, les personnages féminins tels que Marie SODERINI, mère de Lorenzo, la marquise CIBO, Louise Strozzi et les deux dames de la cour placées en fin de liste, montrent qu'a l'époque de l'écriture de la pièce, la femme joue un rôle secondaire, les hommes sont au pouvoir, de plus le fait que Lorenzaccio use du penchant pour les femmes de son cousin Alexandre pour arriver

Ensuite, l’amour au premier regard fait très vite son apparition. C’est à ce moment là, que leur « histoire » d’amour va commencer. Passages : p.37 : L’amour naît dès le premier regard, Hélisenne ne peut plus cesser de le regarder. «  Ô mes dames, … sans être notée de chose qui pût dénigrer mon honneur. » p. 40 « Et aussitôt que j’y fus, vis celui qui était le vrai possesseur et seigneur de mon cœur. » p.80, 2ème et 3ème paragraphes. On voit la force d’un simple regard de son ami.

Le naturalisme et ses transformations dans Au Bonheur des Dames, de Zola Zola, chef de file du naturalisme, s’inspire du réalisme déjà pratiqué par Balzac et Stendhal, lui ajoutant une dimension scientifique. Il s’inspire en effet de la méthode expérimentale de Claude Bernard, afin d’écrire ses romans : il s’agit de “peindre l’évolution historique et sociale d’une famille sous le second Empire”. Il place ainsi chaque membre dans un milieu particulier, comme pour une expérience scientifique et

protégé par les marées. Au bout d’un certain temps, le rocher Canalch devint plus peuplé qu’Alet, il devint donc nécessaire d’y établir des fortifications pour assurer la protection de ses habitants. Plus tard, avec le développement économique de la cité facilité par sa situation géographique, en tant que port situé à l’embouchure d’un fleuve, il devint nécessaire d’établir des fortifications d’autant plus élaborées, pour protéger les richesses de la ville et de ses habitants contre les assaillants

pour un banquet de mariage. Il en vient à la table, le repas qui lui a plus d’importance car Flaubert le décrit très bien. C’est un repas énorme, il nous donne faim. Il fait cela sous forme d’une énumération pour montrer l’abondance du repas. Je cite : « Il y avait dessus quatre aloyaux, six fricassées de poulets, du veau à la casserole, trois gigots, et, au milieu, un joli cochon de lait rôti, flanqué de quatre endeuilles à l'oseille Il décrit ensuite, encore un peu plus précisément, les boisons

toutes les personnes de son rang pouvaient être à sa place. On ressent que le nom compte peu c'est avant tout le titre qui importe le plus car hormis les héros on ne cite et décrit que la fine fleur de cette haute société déjà présente. Cette scène met en lumière un certain quotidien de ces personnes de haut rangs en particulier pour les dames, le texte nous décrit le bal de sa préparation, en passant par sa coordination par le roi jusqu'à son bon déroulement. 2) En quoi cette scène est elle tragique 

passaient d’une classe sociale à l’autre: ils devenaient tout à coup très respectables. Non seulement ils étaient traités avec déférence mais aussi, fait cocasse, ils devenaient les proies des dames de la hautes ! En effet, à leur courage et leur détermination les faisaient aussi précieux que de l’or aux yeux de ces dames ! Leur courage face à la mort était également un exemple souvent utilisés pour les soldats des armées. La fin des combats en 399 Le fait que les combats de gladiateurs aient une

anonyme écrite sur la musique d'une valse à succès de 1911, "Bonsoir m'amour". La chanson est chantée par les combattants dès 1915 (chanson de Lorette) puis pendant les batailles de Verdun en 1916 et du Chemin des Dames en 1917. D'avril à octobre 1917, la bataille du Chemin des Dames fait rage dans la somme. Cette grande offensive envisagée par le général Nivelle vise à rompre le front, à entraîner une percée décisive dans les lignes allemandes. Le "plateau" dont il est question est celui Californie

l’égalité politique, le droit d’exercer leur culte | | | | 1600 | Henri IV et Marie de Médicis se marient ; Giordano Bruno sur le bûcher en Italie | | | El Greco : Le Cardinal de Guevara | 1602 | | | Shakespeare : HamletCampanella : La Cité de Soleil | | 1605 | | | Shakespeare : Macbeth ; Le roi LearCervantes : Don Quichotte (1ère partie) | | 1607 | | Honoré d’Urfé : L’Astrée | | Monteverdi : Orfeo | 1609 | | | Lope de Vega : Nouvel Art dramatique | | 1610 | Assassinat

habillé d’une houppelande bleu, sont devant le palais de la Cité à Paris La fiancée ainsi que les deux autres dames portent de longues robes de « vert gai » distribuées par le roi lors des fêtes de Mai. Elle est couronnée de feuillage. Sa robe a de longues manches d’azur à motif de branches feuillues d’or , elle est décolletée. Enluminure de Limbourg, tirée du manuscrit les riches heures du duc de Berry XVe Juin Le palais de la Cité et la Sainte chapelle vus de l’Hôtel de Nesle. Les enlumineurs