La Cité des dames

Le personnage de Swann Intro: Charles Swann est l’un des trois personnages les plus important de la « recherche » de Proust. Il est cité 1643 dans l’ensemble du roman. De plus le premier tome de l’œuvre contient le nom de Swann et le passage « un amour de Swann » lui est consacré. Problématique: Dans la première partie «  A la recherche du temps perdu » Marcel Proust consacre une place importante à son personnage Charles Swann. Caché sous les apparences, ce personnage ne rempli-t-il pas un

que ces deux agents de service hospitaliers avec lesquels j’ai été amenée à travailler n’aient pas demandé leur avis aux deux dames âgées concernant leur désir ou non d’assister à l’animation prévue ce jour-là. Elles les ont donc amenées en salle de spectacle automatiquement, comme si leur adhésion allait de soi, effectuant leur tâche mécaniquement et dépouillant ces dames de leur statut de personnes désirantes, les assimilant à des objets. Ceci ne me semble pas possible, ne devrait jamais arriver

Agatha Chritie, Creme e crimini , qui regroupe quelques 80 recettes, les plus delicieuses de la tradition culinaire britannique. Agatha Christie y décrit tour a tour ses recettes preferées, ses habitudes alimentaires, mais aussi les recettes qu’elle cite dans ses romans ou encore ces plats ou boissons qui deviennent de redoutables armes de crimes… Comme nous pouvons donc le constater tout ce qui a un rapport avec la cuisine occupe un rôle très important dans la littérature, cela peut s’expliquer

bat = les termes, les arènes.. *au bas empire = grdes invasions la ville se replit sur l’ile de la cité et une enceinte = moment ou la ville prend le nom de paris. - moyen age = ville très centré sur l’ile de la cité. * 11e s fort accroissement demograph = creat° de plusieurs enceintes successives = tissu urbain se densifie. * apparition de places = degager entrée des eglises ( parvis de notre dames) ou commerce ( place de grève ) b) La ville classique. * Au 17e et 18e ville aérée par

Vendredi : reprise explication Montesquieu Séance 10 : Gargantua sur les tours de Notre-Dame (chapitre 17) p 11 fasciculeSituation : cf texte 1 de Gargantua.Gargantua adopte la structure d’un roman de chevalerie, racontant l’enfance puis l’éducation du héros éponyme, mais certains chapitres rompent avec la tradition en abordant le thème du gigantisme. En effet, après l’échec de l’éducation des précepteurs sophistes, Gargantua poursuit ses études avec le précepteur humaniste Ponocrates

littéraire. Ainsi dans Les Anciens Canadiens, il ne cesse de vanter les mérites du régime seigneurial en place et mentionne à plusieurs reprises la grande bonté des seigneurs envers les censitaires comme l’illustre l’extrait suivant : « Le seigneur, les dames et une douzaine des principaux habitants […] prirent place à une table dressée dans la salle à manger habituelle de la famille ». Enfin, mentionnons que Philippe Aubert de Gaspé, autant dans ses Mémoires que dans Les Anciens Canadiens, ne cache pas

puissance évocatrice du poète dans la Vita Nuova, œuvre difficile à interpréter : la tradition mystique (la nuée de feu par exemple) croise la tradition courtoise (l'histoire du cœur mangé), les appels aux « fidèles d'amour » et les rassemblements de dames invitent à des lectures ésotériques, tandis que les visions et les rêves énigmatiques placent l'œuvre dans une dimension à la fois eschatologique (la mort de Béatrice comme horizon) et mystérieuse. En effet, si Béatrice a été souvent comparée à une

Bonheur des Ogres est une allusion au livre de Zola: Au Bonheur des Dames. On peut comparer ces deux livres sur de nombreux points. Les histoires se déroulent toutes les deux dans un grand magasin (il y a des vols et des inspecteurs). Les deux personnages principaux s'occupent de leurs frères et sœurs. Ils suscitent parfois les moqueries de leurs collègues. Ils possèdent quand même un ou deux amis au sein du personnel. D. Pennac cite même Zola dans son livre: « A moi Zola ! La déchéance alcoolisée. »

merveilleux) où tout est possible. C’est le moment où il entre dans l’endroit merveilleux, car seulement une transgression peut permettre l’installation d’un autre monde, le monde du merveilleux. Lanval « se lève pour les accueillir » - les deux belles dames, « sans se soucier de son cheval ». Cela veut dire qu’il abandonne son monde sans aucun regret. De plus, il dit à son amie, la fée : « J’obéirai à vos ordres, j’abandonnerai tout le monde pour vous, je ne veux plus jamais vous quitter et ne désire

dans la grande débâcle d'un peuple habitué à vaincre et désastreusement battu malgré sa bravoure légendaire, s'en allait à pied, entre deux officiers d'ordonnance. Puis un calme profond, une attente épouvantée et silencieuse avaient plané sur la cité. Beaucoup de bourgeois bedonnants, émasculés par le commerce, attendaient anxieusement les vainqueurs, tremblant qu'on ne considérât comme une arme leurs broche s à rôtir ou leurs grands couteaux de cuisine. La vie semblait arrêtée; les boutiques