La Châtre

la belle Romaine, Archipïades ne Thaïs Qui fut sa cousine germaine; Écho, parlant quand bruit on mène Dessus rivière ou sur étang, Qui beauté ot trop plus qu'humaine. Mais où sont les neiges d'antan? Où est la très sage Héloïs, Pour qui fut châtré et puis moine Pierre Esbaillart à Saint-Denis? Pour son amour ote cette essoine. Semblablement, où est la roine Qui commanda que Buridan Fût jeté en un sac en Seine? Mais où sont les neiges d'antan? La roine blanche comme lis Qui chantait

d’une copie en quoi peut s’allégoriser le statut de copie du castrat à l’égard du sujet féminin, la substitution du portrait peint à la sculpture nous fait quitter, selon Barthes, l’impasse de la « via di levare » dont l’issue ne peut être que le vide châtré 14, au profit de la « planité » de la toile, de la copie, plus proche du régime textuel, dont le texte d’ailleurs est Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 114.34.37.224 - 14/05/2013 20h08. © ERES Roland Barthes et le discours clinique

trouble centré sur le fantasme de castration qui est la réponse que l’enfant imagine pour trouver un sens a la différence des sexes. Pour les deux sexes au moment de l’entrée dans l’Œdipe, un seul sexe existe le male et la différence est perçue comme « châtré »...la libido est jusqu’alors distribuée sur les différentes zones de satisfactions du corps (zones érotiques, orale, anale) .Jusqu’au stade phallique, le développement psycho-sexuel est le même pour la fille et le garçon et a l’entrée du stade phallique

horion de pied dans le revers pour l'amour de Mlle cunégonde, si vous n'aviez pas été mis à l'inquisition, si vous n'aviez pas caleter l'amérique à pied, si vous n'aviez pas trahir un bon coup d'épée au baron, si vous n'aviez pas s'effondrer tous vos châtré du bon pays d'eldorado, vous ne entamer pas ici des cédrats confits et des pistaches. -- Cela est bien dit, répondit candide, mais il faut entretenir notre jardin. » extrait de Novice ou l'optimiste - de voltaire annonce des axes Commentaire

préhistoriques, à la place de la Radio et du frigidaire, avaient des sens intacts, plus frais et plus vifs et plus pléniers que les nôtres, des jambes plus ingambes, des yeux plus astronomiques, des odorats plus fous. Chaque invention nouvelle nous châtre d'un sens naturel, ou le minimise, ou rapetisse, la boussole nous dérobe le sens de l'orientation, l'écriture ruine la mémoire, l'auto nous estropie... Nous ne sommes plus qu'une traduction de l'homme, un homme écrit. Que d'organes momifiés, que

à "une épuration" du groupe : Soupault, Artaud, Delteil, Masson, Limbourd, Vitrac, entre autres, considérés comme de" véritables souillons des idées" sont exclus. Ils répondent par un pamphlet collectif, " un cadavre", au titre évocateur " Le lion châtré", dans lequel ils traitent Breton de "flic" et de " curé". 1930 : naissance d'une nouvelle revue : Le surréalisme au service de la révolution. Dali, Buñuel, René Char, rejoignent le groupe. Le groupe s'intéresse particulièrement aux objets

il dit textuellement : « Nos courageux légionnaires et nos réguliers ont enseigné aux rouges ce que c’est que d’être des hommes. En même temps ils ont aussi enseigné à leurs femmes, qu’enfin elles ont connu de vrais hommes, et pas ces miliciens châtrés. Donner des coups de pieds et brailler ne les sauvera pas ». C’est donc avec de telles instructions, que l'armée, la Phalange et les divisions marocaines, ont mis en marche la chasse aux « rouges », en les séquestrant également pour les utiliser comme

acolytes du dieu qui créent l’effroi : Les ménades7 : Se coiffant de serpents : (v 6-8) « Je voy les folles Ménades Dans les antres trépigner, Et de serpents se peigner. » Cortège de châtrés dominés par Cybèle8 (105-109) « Le Buys Phrygiens, que l’Atourée D’une aleine mal mesurée Enfle autour de ses chatre Je les voy penetrez D’une rage insensée » Puis l’approche du dieu crée un saisissement de panique : (206-220) Enfin les vers 221 à 240 : nous introduisent dans le culte mystique et que

acolytes du dieu qui créent l’effroi : Les ménades7 : Se coiffant de serpents : (v 6-8) « Je voy les folles Ménades Dans les antres trépigner, Et de serpents se peigner. » Cortège de châtrés dominés par Cybèle8 (105-109) « Le Buys Phrygiens, que l’Atourée D’une aleine mal mesurée Enfle autour de ses chatre Je les voy penetrez D’une rage insensée » Puis l’approche du dieu crée un saisissement de panique : (206-220) Enfin les vers 221 à 240 : nous introduisent dans le culte mystique et que

corps se trouve érotisé sauf la zone génitale qui elle est inhibée. Le fantasme hystérique : l’angoisse fantasmatique est une angoisse de castration chez le garçon face à la menace visuellement perçu faisant référence à la découverte de l’autre châtré (à qui il manque ou a perdu le phallus), fantasme de castration déjà accompli chez la femme. La vue de la mère au corps nu présente un danger car la mère est une mère phallus géant et menaçant (mère assimilé au phallus). L’angoisse est la source