La Chair et le Diable

christianisme et l’Eglise. Espace-temps : L´histoire de ce roman est située dans une maison fantastique - Malpertuis. Étymologiquement, cela signifie la mauvaise (« male », en ancien français) maison (« pertuis »), c’est-à-dire la maison du mal ou du diable, la maison hantée. Le narrateur signale que le nom est celui que les clercs ont donné à l’antre du goupil dans le Roman de Renart. Une description terrifiante de cette édifice de pierre se trouve à la page 57 1: « Elle est là, avec ses énormes loges

et offrir deux facettes moralement contraires. D’un côté un pécheur convaincu qui persiste dans ses fautes. De l’autre, un jeune homme égaré qui retrouve la voie de la foi et de la piété. DON GARCIA Don Garcia est en fait une représentation du diable, du mal, du démon, etc. C’est un homme méchant et pécheur. Un vrai Lucifer en puissance qui n’hésite pas à « partager » sa belle avec Don Juan. Don Juan est victime du vil Don Garcia, montrant ainsi sa naïve faiblesse. Don Garcia est le seul personnage

à en faire, de vocation, un grand cuisinier. On racontait qu'en 1814 , il avait apporté à Louis XVIII, détalant vers Gand, d'une main la caisse de son arrondissement, et de l'autre un coulis de truffes qui semblait avoir été cuisiné par les sept diables des péchés capitaux, tant il était délicieux; Louis XVIII avait, comme de juste, pris la caisse sans dire seulement merci; mais, de reconnaissance pour le coulis, il avait orné l'estomac prépotent de ce maître queux de génie, poussé en pleines finances

Leçons morales à travers des sentences qui étaient toujours émisses au théâtre , à l’épopée et même à la lyrique. La doctrine morale devait être inclus dans l’action même de la pièce, sans s’arrêter. Il craignait un discours moral comme si c’était une chaire (temían el discurso). Pourtant la pièce admettait quelques sentences où l’ont résumait dans un enseignement moral. La leçon morale : dans le dénouement, le vice devait être châtie et la vertu récompensée. Donc l’art devait contribué à une finalité

d'arbre déjà entrouvert. Sa main resta prisonnière du tronc et il fut dévoré par les loups. Puget remplace ceux-ci par un lion, animal plus noble, et créé une composition d'une véhémence et d'une théâtralité baroques : le corps se tord de douleur et la chair frémit sous son ciseau. Même s'il travaille toutes les faces avec une égale virtuosité, Puget privilégie la vision frontale : l'œuvre s'appréhende de face ou de trois quarts. Le corps de Milon tordu de douleur est un immense zigzag : trois diagonales

pendaison d’un bandit et d’un poète. Cette poésie est donc engagée et se compose essentiellement de rimes croisées avec les sons –e ; -in ; -our ; -on ; -o. Au gibet noir, manchot aimable, Dansent, dansent les paladins, Les maigres paladins du diable, Les squelettes de Saladins. Messire Belzébuth tire par la cravate Ses petits pantins noirs grimaçant sur le ciel, Et, leur claquant au front un revers de savate, Les fait danser, danser aux sons d’un vieux Noël ! Et les pantins choqués enlacent

décorum et une majesté : citer le symbolisme des vêtements qui désignent un état, le symbolisme des flammes (retournées chez C, droites chez Pangloss), le champ lexical* du religieux, l’obscurantisme du recours au diable ds ses représentations les plus naïves (griffes et queues :c’est le diable des premiers chrétiens), le tout évoqué par le narrateur en toute objectivité * feinte, sans vocabulaire ni procédés évaluatifs ou de jugement*. Noter la procession (le caractère social des rituels religieux),

puisqu’il dût rester caché jusqu’en 1945. On y retrouve, sous les traits du vampire, un thème obsessionnel, cauchemardesque chez Baudelaire avec l’union, de la femme, de l’amour et de la mort. Nous remarquons cher lecteur que Baudelaire évoque un corps de chair dédié au désir avec la connotations sexuelles de la « bouche de fraise » (vers 1), et le champs lexical de la féminité sensuelle ("seins", "lèvre humide", "buste"). Il représente ici un corps naturel et sexuel mis en valeur par deux accessoires :

le roman gothique anglais. « C'est principalement au Moyen Age, avec le développement de la peur des sorcières, du diable et de ses démons qu'est née cette littérature » tout comme on la retrouve implicitement dans la Bible et dans les mythologies .Le fantastique s’initia dans le monde littéraire vers 1770 grâce à l’auteur français, Jacques Cazotte, et son court roman, « Le Diable amoureux ». Mais « c'est en Allemagne au début du XIXe que naît la littérature fantastique proprement dite, avec Adelbert

larmes se mirent alors à rouler sur ses joues. Il comprenait ce que je voulais dire. Brad avait appris que le Christ devait règner sur sa vie; or le Christ ne pouvait le faire en cet instant. Après s’être un peu calmé, Brad me donna sa réponse: «le diable et moi». Je l’interrogeai à nouveau: «qui veux-tu voir gouverner ta vie?» «Jésus!» Lança-t-il. «Et bien prions» lui dis-je. Sa prière fut: «Seigneur Jésus, pardonne-moi d'avoir désobéi et aide-moi à aimer cet oeuf». Dieu l'entendit; et Brad savoura