La Bruyere Chapitre 5 Les Caractères

classicisme. On le range parmi les moralistes. Son œuvre, Les Caractères, constituée d'observations sur la société de l’époque, est en fait une satire de la cour, de la noblesse, du clergé, et même du roi. On notera la forme concise de ces observations contenues généralement dans un texte ramassé se réduisant à quelques phrases. On pense à des maximes ou des aphorismes. Les cinq extraits proposés sont issus de différents chapitres des Caractères. La question qui se pose est de savoir quelle problématique

(aucun devoir commun n'a pu être organisé l'an dernier en raison des mouvements liés au CPE, la priorité ayant été donnée aux cours lors de la réouverture du lycée). Il s'agit des sujets suivants (cf. sujets complets en annexe) : mai 2003 : La Bruyère, Chateaubriand, Margot. mai 2004 : La Fontaine, Zola, Jarry. mai 2005 : Céline, Voltaire, Maupassant.. Ces sujets sont le résultat du travail de l'ensemble de l'équipe des professeurs de lettres du lycée Mézeray. En effet, chaque année

ET n° 3 : Les Caractères, La Bruyère, 1688, VIII, « de la cour », 74. L'on parle d'une région où les vieillards sont galants, polis et civils ; les jeunes gens au contraire, durs, féroces, sans mœurs ni politesse : ils se trouvent affranchis de la passion des femmes dans un âge où l'on commence ailleurs à la sentir ; ils leur préfèrent des repas, des viandes, et des amours ridicules. Celui-là chez eux est sobre et modéré, qui ne s'enivre que de vin : l'usage trop fréquent qu'ils en ont fait

Chapitre 4: La naissance de la IIIe République (1870-1879). Cette décennie bien agitée fut une période essentielle de l'Histoire de notre pays, car ce fut alors que le régime républicain s'installa à peu près définitivement: après 1879, il n'a été interrompu que par le bref intermède du régime de Vichy1. Le régime qui apparut entre 1870 et 1879 fut le plus long que la France a connu depuis la Révolution (il dura soixante- dix ans), même si la Ve République semble bien partie pour lui faire concurrence

La Bruyère, Les Caractères « De la Cour » Analyse + Etude linéaire Les Caractères, grande œuvre du moraliste La Bruyère paru en 1688, offre une riche galerie de portrait satiriques a la manière d’un ouvrage antique, qui est Les Caractères de Théophraste.Si les lecteurs du XVIIe siècle voulait y voir des allusions à des personnes réelles de l’époque en faisant même circuler des « clefs », ces portraits n’en reste pas moins des observations d’une grande

scène de théâtre 1Le château devient une scène de théâtre observé par un spectateur averti « n’empêchait pas de bons yeux » 2 Champ lexical du regard qui dévoile la présence du narrateur malgré les marques d’impersonnalité apparente + spectacle ligne 5 3 opposition entre les premiers mots et la mise en scène future. II Les acteurs du spectacle * Les sots : ligne 14 (à développer et justifier l’appellation)/les fins (jeu d’opposition) * Les affligés qui s’opposent d’une certaine manière aux

bourgeoisie Jean de la bruyère est né a l’époque du 17e siècle aussi surnommé le grand siècle du Louis IV. Ainsi il a pu observé de très près la cour car il devient en 1684 , le précepteur du duc Louis de Condé, le petit fils du Grand Condé. Il a donc une place au premier rang sur la vie a la Cour. Ainsi l’écrivain et moraliste français écrit et publie les caractères pour la première fois en 1687 puis huit autres éditions s’en suivront jusqu’à sa mort en 1696. Les caractères a pour but de Plaire

la guerre : de quelle façon la dénoncent-ils ? Texte 1 : voltaire , candide. Texte 2 : La bruyère «  du souverrain ou de la république. «  INTRO : Ce corpus qui nousde texte est composé de deux œuvres ; la premiere est un passage tiré du chapitre 3 du conte philosophique de voltaire : Candide Ecrit en 1759, et le deuxieme est passage « du souverain ou de la republique «  extrait de les caracteres ecrit par Labruyère en 1688. Ces deux textes sont des requisitoires contre la guerre, nous

XVIe à nos jours. CORPUS ___________________________________________ TEXTE A. Jean de La Bruyère, Les Caractères, 74, 1696 TEXTE B. Montesquieu, Lettres persanes, Lettre 28, 1721. TEXTE C. Voltaire, L'Ingénu, 1767. La question sur le corpus (/4). Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante : Expliquez l’objectif principal qui rapproche les textes de La Bruyère, Voltaire et Montesquieu. Vous analyserez les différents procédés littéraires utilisés. II

sens et intérêt que si votre attention est mobilisée par une question (par exemple : quelle est la forme du roman de Claude Simon ? Y a –t-il des régularités dans les thèmes et les épisodes ? Peut-on percevoir une cohérence dans l’organisation des chapitres des Essais ?). L’épreuve de dissertation porte sur l’un des trois axes, étudié notamment à l’aide des œuvres – ce qui impose d’une part des connaissances théoriques, d’autre part des références littéraires allant au-delà des cinq œuvres