La Brutalisation De La Premiere Guerre Mondiale

LES RELATIONS INTERNATIONALES DANS L'APRES-GUERRE Le 11 nov 1918, le grand conflit mondial s'achève. Alliés et associés grâce à leur victoire, ont gagné une meilleure position dans le monde mais un monde complètement transformé. Ce n'est pas seulement « l'ordre international » qui a changé, avec un nouvel équilibre entre les puissances, mais c'est tout « le système des relations internationales » qui est affecté par le contrecoup des mutations qui, à l'intérieur de chaque pays, à des degrés

Histoire Contemporaine Cour 1 : Le long XIXe siècle : 1789-1914 : de la révolution française à la grande guerre 1. Le siècle révolutionnaire 2.1. Histoire moderne Histoire contemporaine 2.2.1. Des périodisations dans l’histoire 2.2.2. Périodisation et rupture La modernité de 1492 : rupture épistémologique (révolution de l’accès au savoir), changement économique, rupture avec le système féodal, apparition des villes et des bourgeois, indépendants des seigneurs, cependant

(1922-1943), le régime national-socialiste – ou nazi – allemand (1933-1945) et le régime communiste soviétique (1917-1991), surtout pour ce dernier durant l’époque où Staline le dirige (1924-1953). ● L’adjectif « totalitaire » est utilisé pour la première fois en 1924 par le libéral italien Giovanni Amendola pour dénoncer le fascisme, ses pratiques violentes et son emprise sur la société. Le terme est ensuite repris et revendiqué par Mussolini lui-même. Les nazis parleront, quant à eux, d’« État total

différenciation entre les théories de Marx et Engels des ceux qui se sont réclamés du marxisme. I) Marx et Engels Un concept : la « dictature du prolétariat ». La dictature est une idée qui remonte à Rome : il fallait des circonstances exceptionnelles type guerre. La république romaine prévoyait, dès lors que les institutions risquaient d’être détruites, un dictateur. Mais elle précise deux éléments : * Les pouvoirs sont limités verticalement : les pouvoirs sont certes exorbitants mais il ne peut toucher

de la mort de son père à la guerre et de la maladie ancre chez Camus le sentiment vicéral que la vie est injuste et absurde. Pour autant, il ne qualifie pas son enfance de malheureuse, mais pose au contraire un regard affectueux sur l'Algérie, ce pays ensoleillé où il a grandi et admire le courage de sa mère qui s'est battue comme elle a pu pour les nourrir son frère et lui. Très tôt il se définit comme profondément humaniste et déplore les atrocités de la guerre et de toute autre forme de violence

1 : Le monde au lendemain de la première guerre mondiale I-L’Europe à genoux. L’Europe, c’est, depuis un millénaire au moins, une même civilisation, synthèse des héritages de l’Antiquité gréco-romaine et du christianisme. Pourtant, elle n’a jamais été unie politiquement et les Européens n’ont pas cessé de se battre entre eux : la première guerre mondiale n’est même pas la première confrontation générale sur le Vieux Continent (les guerres de religion, les guerres révolutionnaires et napoléoniennes

contrôle politique extensif de la société civile. Le nazisme s'est en partie inspiré du fascisme. Dans son acception la plus large, le terme est employé pour disqualifier l'ennemi politique. Cette acception a été employée par les Soviétiques durant la Guerre froide, dans le cadre de la « tactique du salami »[7]. Dans le débat politique contemporain, le terme fasciste continue d'être employé comme une injure. Cependant, le fascisme est encore revendiqué par certaines mouvances d'extrême droite (les néofascistes)

Troisième Partie : Guerres, démocraties et totalitarismes : 1914-1945 « Je fais la guerre. Je fais la guerre tout le temps et par tous les moyens. Et je ferai la guerre jusqu’au dernier quart d’heure, car nous aurons ainsi la victoire. » Par ces mots, Georges Clemenceau indique son unique vision de la Première Guerre mondiale : seule la victoire contre l’ennemi est possible, seule la fin de la guerre importe et tout doit être mis en œuvre pour gagner. Comme une réponse à ce discours, le 6 août

....................................................................................................................................................... 7 7 8 Londres, cœur de l’économie-monde britannique à la fin du XIXe siècle New York, la ville mondiale Ford, un modèle industriel confronté à la mondialisation ............................................................................................................................................... 9 ......................................

de l'État: naissance de règles de jeu pacifiques pour réguler la violence entre les groupes sociaux. Pacification de la compétition politique à l'intérieur de l'État : inter-étatique. Le processus de monopolisation pousse les États à se faire la guerre à entrer dans une compétition violente pour la conquête de territoire de plus en plus vaste. A l'extérieur de l'État: pas de pacification. Une démocratie peut être aussi source de violence. Processus de monopolisation tend à séparer un dedans et