La Boutique fantasque

Maison" exerce la fonction de commentaire, d'une manière modérée, contrairement au narrateur des "Jours". Le narrateur de "La Grande Maison" a recours à des phrases courtes pour faire passer ses commentaires. (1) “Mais la mémoire des enfants est fantasque, à moins que ce ne soit la mémoire de l'homme fait...” (p.21 (2) "Notre ami se voit..." (3) Jaap Lintvelt: op.cit., p.63. (1) “Il avait ses habitudes: il arrivait, enlevait sa “‘abâya” ou, plus exactement, sa “daffiya” (Daffiya: sorte de douillette)

gens, des maisons, défilaient, très pâles. Sans doute il était entré quelque part, manger au fond d'une salle pleine de monde, car il revoyait distinctement des assiettes blanches. Il avait aussi l'impression persistante d'une affiche rouge, sur une boutique fermée. Et tout sombrait ensuite à un gouffre noir, à un néant, où il n'y avait plus ni temps ni espace, où il gisait inerte, depuis des siècles peut−être. Lorsqu'il revint à lui, Jacques était dans son étroite chambre de la rue Cardinet, tombé en

gens, des maisons, défilaient, très pâles. Sans doute à était entré quelque part, manger au fond d’une salle pleine de monde, car il revoyait distinctement des assiettes blanches. Il avait aussi l’impression persistante d’une affiche rouge, sur une boutique fermée. Et tout sombrait ensuite à un gouffre noir, à un néant, où il n’y avait plus ni temps ni espace, où il gisait inerte, depuis des siècles peut-être. Lorsqu’il revint à lui, Jacques était dans son étroite chambre de la rue Cardinet, tombé en

gens, des maisons, défilaient, très pâles. Sans doute il était entré quelque part, manger au fond d’une salle pleine de monde, car il revoyait distinctement des assiettes blanches. Il avait aussi l’impression persistante d’une affiche rouge, sur une boutique fermée. Et tout sombrait ensuite à un gouffre noir, à un néant, où il n’y avait plus ni temps ni espace, où il gisait inerte, depuis des siècles peut-être. Lorsqu’il revint à lui, Jacques était dans son étroite chambre de la rue Cardinet, tombé en

Vers la fin de son règne, en 1017, peut-être à l’instigation de shi’ites fanatiques comme Mohammed al-Darazî, son vizir, il proclama qu’il était une incarnation de Dieu, le septième imdm, le Mahdî attendu. Mais la population, lasse de ses humeurs fantasques, se révolta et s’en prit à Darazî qui réussit à s’enfuir en Syrie, où il parvint à convaincre des tribus du Sud de la Syrie de la nature diviuc d’al-Hâkim : c’est l’origine des Druzes, qui ont joué un rôle darls l’histoire de la Syrie et du Liban

de mon salon, j’ai déniché un échantillon du tissu le plus réjouissant que j’aie jamais vu. Dès que j’ai posé les yeux dessus, j’en suis tombée amoureuse. Il est blanc avec un motif turquoise, rose et or. Il est à la fois désinvolte, engageant et fantasque. C’est tout à fait moi. Enfin presque, parce qu’il serait maculé de taches d’encre avec aussi quelques déchirures et deux ou trois accrocs. Il représente plutôt mon moi idéal. Mais j’ai vite déchanté : ce tissu ne convenait pas du tout pour recouvrir

sa joue. Ce physicien de premier plan, très bon vulgarisateur et défenseur infatigable des droits des handicapés, Kitty Ferguson en livre d’autres facettes dans sa biographie de Stephen Hawking. On découvre ainsi un être plein d’humour, parfois fantasque, et vivant, comme tout un chacun, ses joies et ses peines de cœur. Au-delà du portrait, Kitty Ferguson nous initie aux multiples débats agitant la communauté des physiciens, nous guidant avec talent dans leur quête de la « théorie du Tout » : ce

chez le libraire de Verrières, malgré son affreuse réputation de libéralisme. Là, elle choisit pour dix louis de livres qu’elle donna à ses fils. Mais ces livres 111 étaient ceux qu’elle savait que Julien désirait. Elle exigea que là, dans la boutique du libraire, chacun des enfants écrivît son nom sur les livres qui lui étaient échus en partage. Pendant que madame de Rênal était heureuse de la sorte de réparation qu’elle avait l’audace de faire à Julien, celui-ci était étonné de la quantité de

jusque chez le libraire de Verrières, malgré son affreuse réputation de libéralisme. Là, elle choisit pour dix louis de livres qu’elle donna à ses fils. Mais ces livres étaient ceux qu’elle savait que Julien désirait. Elle exigea que là, dans la boutique du libraire, chacun des enfants écrivît son nom sur les livres qui lui étaient échus en partage. Pendant que Mme de Rênal était heureuse de la sorte de réparation qu’elle avait l’audace de faire à Julien, celui-ci était étonné de la quantité de livres

jusque chez le libraire de Verrières, malgré son affreuse réputation de libéralisme. Là, elle choisit pour dix louis de livres qu'elle donna à ses fils. Mais ces livres étaient ceux qu'elle savait que Julien désirait. Elle exigea que là, dans la boutique du libraire, chacun des enfants écrivît son nom sur les livres qui lui étaient échus en partage. Pendant que Mme de Rênal était heureuse de la sorte de réparation qu'elle avait l'audace de faire à Julien, celui-ci était étonné de la quantité de livres