La Beauté Dans Le Regard

que le poète ne connait rien d'elle, mais souligne son importance. Cette identité floue donne un effet de mystère, amplifié par le nom v3 « fée ». Sa description physique faite par le poète est simple mais insiste sur 2 critères : sa beauté répétée 3 fois : v6 « beauté », v11 « belle » et v15 « belle », et son naturel. La jeune fille est v1 « déchaussée », « décoiffée ». La cesure à l'hémistiche de l'alexandrin v1 crée un parallélisme entre les 2 hémistiches, mettant ainsi l'accent sur les adjectifs

Introduction. « Le peintre assis devant sa toile a-t-il jamais peint ce qu’il voit ? » dit Aragon dans l'un de ses poèmes. L’art serait alors une vision déformée du monde, une vision propre avant tout à chacun de nous. La beauté elle-même serait ainsi subjective, chacun verrait dans une œuvre une représentation qui lui correspond, chacun aurait face à une œuvre un sentiment différent. Pouvons-nous alors démontrer qu’une œuvre d’art est belle ? Pouvons-nous lui transmettre objectivement et

les Nouvelles Orientales sur une note pessimiste. Marguerite Yourcenar y représente la vieillesse désabusée d'un peintre hollandais retiré à Haarlem. b. Dans l'extrait qui nous occupe, Cornélius est consulté sur la beauté d'une tulipe dont la contemplation lui rappelle d'autres beautés et bien des laideurs rencontrées au hasard d'une vie errante. La conclusion de cette méditation est pour le moins amère : "Quel malheur [...] que Dieu ne se soit pas borné à la peinture des paysages". c. On remarque

Baudelaire va animer cette opposition incessante entre spleen et idéal. Après avoir étudié de quelle façon cette femme incarne un idéal de beauté, nous nous intéresserons à la fascination que Baudelaire lui porte. Puis nous verrons que cet idéal reste éphémère et fugitif. Nous allons commencer par étudier de quelle façon cette femme incarne un idéal de beauté. Pour cela nous allons étudier le cadre, puis l’apparition de la passante. Le cadre représente un Paris bruyant et agressif. Nous le remarquons

de Clèves rencontre Mlle de Chartre, il y a de nombreuse hyperbole qui peigne le portrait de l’héroïne, elle est qualifiée de beauté parfaite. Un vocabulaire mélioratif est utilisé. Plan : problématique : Dans qu’elle mesure le portrait de l’héroïne est idéalisé ? 1) les qualités de l’héroïne. a) Un portrait suggéré donc classique. La beauté de Mlle de chartre. La beauté de l’époque est : la blancheur de son teint…Elle correspond aux canons de l’époque. Décrite par l’effet qu’elle produit sur les

qu’il compare à sa compagne. Ici c’est la charogne et non la femme aimée qui est au centre du poème. Baudelaire détourne donc cette ode à la beauté féminine en éloge d’un cadavre. Charles Baudelaire , auteur du XIXe s, introducteur de la modernité poétique, a influencé tous ses grands successeurs, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé. Choisissant d’extraire la beauté du Mal, Baudelaire fait entrer en poésie des thèmes ou des motifs traditionnellement considérés comme antipoétiques. Tout peut devenir objet

poètes. C’est pourquoi je vais vous présenter tout au long de cette préface la femme, qui est d’une part un être splendide dont l’homme s’inspire pour écrire puis, l'amour que le poète suscite à la femme aimée de par sa beauté. Tout d’abord, la beauté est quelque chose ou quelqu’un digne d’admiration. En effet, l’un des poèmes de cette anthologie, « Avec ses vêtements ondoyants et nacrés » de Charles Baudelaire (1821-1867) dresse le portrait d’une belle femme. Il la représente

| | |Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, | | |La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. | | |Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté | | |Dont le regard m'a fait soudainement renaître, | | |Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? | | |Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !

Christ. Elle aura 4 maris dont un amant très connu Jules César (empereur de Rome). A la mort de celui ci, elle conquit le cœur de Marc Antoine, un autre empereur qui fut son dernier mari. Cette reine était connu pour sa grande beauté et son charme reconnu . En plus de sa beauté ,cette reine était aussi une femme cultivée et talentueuse, Son dernier mari, Marc Antoine est né le 14 janvier 83 avant J-C et il s'est suicidé à la suite de l'annonce mensongère de la mort de sa femme Cléopâtre le 1 août

impossible. Enfin, dans une troisième partie, nous montrerons en quoi Baudelaire, désemparé par l’échec de ce qui aurait pu être une relation amoureuse, cherche non seulement à surmonter sa déception, mais aussi à lutter contre l’oubli de cette « fugitive beauté » par la poésie. I) L’idéalisation de la passante La passante est présentée par Baudelaire comme étant la femme idéale, ce qui crée un contraste avec le contexte de la rencontre. En effet, cette rencontre a lieu dans un contexte sonore, souligné