La Beauté Dans Le Regard

Commentaire : La Danse D'esmeralda, Notre Dame De Paris, Victor Hugo Commentaire : Victor Hugo, Notre Dame de Paris, livre VIII, chapitre IV, (1831), « Ecoute. Un jour…Je le crus » La beauté du diable 1. Une beauté lumineuse • Adjectifs : « resplendissante », « belle », « splendide », • lumineuse : « « soleil », « or », « métal », « pétillaient », « étoiles », « paillettes », « scintillaient », mille étincelles », « resplendissante figure », le prénom « Esméralda » signifie

* C’est un amour qui naît d’un regard : Coup de foudre II-Le charme de Junie * Insistance sur la beauté de la jaune femme : « qui brillaient ; beauté ; si belle vue » « Belle sans ornements » v.8 césure, accentuation de la beauté * Description des yeux de Junie avec « yeux mouillés ; ses yeux » le regard de Junie est très important pour Néron. * Mais il y a aussi un certain fatalisme, v15 à v17, où Néron semble quand même troubler par la beauté de la fille et ne peut pas lui parler

Dans ces trois poèmes, les poètes non-seulement sont inspirés par la laideur mais vont meme la transfigurer en beauté. Laideur morale , celles des hommes, (avec leurs défauts, …. Leur petitesse, leur mesquinerie, Egalement grande source d’inspiration des poètes. L’albatros : Laideur des hommes (=moral) Laideur marin ( + laideur Albatros sur sol. L’exemple qui montre que laideur la plus extrême peut inspirer un poète = A une Charogne : Compare la femme a une

« La beauté n’appartient-elle qu’aux apparences ? » _______________ _______________ « Celui qui aime quelqu’un à cause de sa beauté, l’aime-t-il ? Non ; car la petite vérole, qui tuera la beauté sans tuer la personne, fera qu’il ne l’aimera plus. » Pascal utilise ainsi un exemple ordinaire pour établir un premier lien entre la beauté et l’idée d’apparence. Dans l’emploi philosophique, la référence à l’apparence est aussi péjorative : les apparences ne donnent à voir des choses ou des êtres

tous les regards. et seule l’éducation sévère à la vertu qu’elle a reçue permet à la Princesse de Clèves de ne pas perdre son honneur. I. La mécanique du portrait classique. 1. Portrait d’ensemble. Cet extrait est la description d’une personne qui n’est pas nommée, sauf quelques lignes avant la fin : c’est le topos littéraire que tout lecteur attend : l’arrivée du personnage éponyme (qui donne son nom à l’œuvre) ; 2nde raison possible de cette ellipse : l’évidence de la beauté rend inutile

ce qu'elle m'en a dit de vive voix ou par écrit. Ce qui est évident, c'est qu'au milieu des tâtonnements de sa recherche, des oscillations de sa pensée, elle n'est jamais revenue là-dessus ; dans l'expérience de ce sentiment inconnu, elle porta un regard tout nouveau sur le monde, ses poésies et ses traditions religieuses et surtout sur l'action au service des malheureux où elle intensifia ses efforts. Puis, vint la guerre. Elle ne quitta Paris qu'après que la capitale fut déclarée ville ouverte

hommes d'exception. Elle est par tradition cause de souffrance et de folie, et sa désignation comme 'maladie sacrée' implique une dualité. Les artistes de l'Antiquité la représentèrent sous la forme d'êtres pensifs, tête inclinée posée sur la main, regard perdu où se devine une sourde douleur. Au fil des siècles, l'image du mélancolique changera peu - 'Le Portrait du Dr Gachet', de Van Gogh, ou la sculpture hyperréaliste de l'Australien Ron Mueck (' Big Man', 2000) respectent cette iconographie. Devenue

de fille », « le sexe avait dû hésiter », « l’hermaphrodite étrange » suggèrent la volonté explicite de Zola d’insister sur l’ambiguïté du personnage. On remarque une expression au style direct : « air fille » est prononcé par les dames. Ainsi, ce regard féminin provient du narrateur et est partagé par les autres. On remarque cependant que l’hésitation est résolue vers le côté féminin : « le sexe avait hésité », « hermaphrodite », « comme une femme » sont des expressions ambiguës mais tournées vers

Clèves. II. La princesse de Clèves c. Un court passage E lle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer, pour trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisait au Louvre. Lorsqu'elle arriva, l'on admira sa beauté et sa parure ; le bal commença et, comme elle dansait avec M. de Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la salle, comme de quelqu'un qui entrait et à qui on faisait place. Mme de Clèves acheva de danser, et pendant qu'elle cherchait

et apprécie avant tout la beauté. Avec ce souhait, le thème « Faust » est introduit. Au moment où Dorian a fait le souhait qu’il ne pensait pas que ce contrat lui apporterait autre chose que la beauté de la jeunesse et que ce qu’il paie en échange de cela est en fait son âme. Il vend véritablement son âme au diable. « L’idée que le portrait s’occupe des péchés d’un homme est une parabole parfaite, consciente ou non, de la corruption et de la cruauté au cœur de la beauté et du pouvoir de l’art de