La Beauté Dans Le Regard

passion naissante entre la Princesse et le Duc est condamnée. Texte étudié : « Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer, pour se trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisait au Louvre. Lorsqu'elle arriva, l'on admira sa beauté et sa parure ; le bal commença et, comme elle dansait avec Monsieur de Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la salle, comme de quelqu'un qui entrait, et à qui on faisait place. Madame de Clèves acheva de danser et, pendant qu'elle

A cela s'ajoute la beauté et l'élégance exceptionnelle de la femme qui lui fait face.(bcp d'hyperboles).-> Le geste spectaculaire et dangereux de cette femme, qui risque sa main vient donc presque naturellement compléter ce spectacle stupéfiant. B- Le poids des regards Le jeu des regards et leur mise en abîme contribue également à l'effet dramatique de la scène.-> Il est au cœur de la scène puisque c'est l'arme du duel qui oppose la femme et la panthère.-> Le regard est aussi redouté

« La représentation de l'image du corps et son rapport à l’identité individuelle » Autrefois, les rondeurs et la cellulite étaient signes de noblesse et de beauté. De nos jours, et dans notre société plus individualiste et plus consommatoire, la maigreur a pris une place très importante. Aujourd’hui on parle de « réhabilitation » du corps (i.e. : remettre à neuf son corps), par le sport, par les régimes alimentaires, par la chirurgie, par les tatouages, les piercings etc. La société occidentale

narrateur dans cet extrait ? Et quel point de vue adopte-t-il ?Dans l’ensemble du roman, le narrateur est extérieur à la fiction, ce n’est pas un personnage de l’histoire, le récit est mené à la 3° personne.- L.24-25 : «Il fut surpris de la grande beauté de mademoiselle de Chartres, et il en fut surpris avec raison. » => Le narrateur formule un jugement en exprimant un accord avec le Vidame de Chartres.- L.1 : « Et l’on doit croire »- L.9 : « La plupart des mères s’imagine.. »=> Le narrateur

Spinoza : le beau c’est ce qui provoque une certaine relation physiologique satisfaisante pour les hommes. Jusqu’à Kant la notion de beauté esthétique n’avait pas encore fait son apparition. Kant est le premier. Il distingue le beau et le plaisant. Indiquer la nature de celui qui regarde et non celle de celui qui est regardé. Dépend du regard de celui qui regarde. Nous ne sommes pas dans la sphère du beau. Le beau excède ce qui agrée les sens. C’est pourquoi le mot « joli » existe. « Le laid peut

Séquence 1 : Séance 2 : Un coup de foudre réciproque : Support : La princesse de Clèves, 1678, Mme de la Fayette. Dans le texte le point de vue est omniscient on sait ce que pense le duc de Nemours et ce que pense Mme de Clèves, on voit le regard de la cour et des spectateurs. Le dialogue se passe entre le duc de Nemours, la dauphine et Mme de Clèves, quand ils discutent ils passent par la dauphine. Quelles sont les caractéristiques de cette scène de bal ? I- Un cadre idyllique : La

dans cet extrait, une intéressante opposition entre les deux personnages. Le prince de Clèves ne respecte pas les bienséances, notamment en laissant paraître trop visiblement sa réaction face à Mlle de Chartres : “Il fut tellement surpris de sa beauté qu'il ne put cacher sa surprise”. Un homme du monde ne doit pas montrer ainsi ses sentiments, et surtout pas à une jeune femme ! Il aggrave cet irrespect en la regardant trop fixement et trop longtemps, ce que traduit la répétition du verbe : il “la

tourmentées par des passions cruelles, extravagantes. La Vengeance d'une femme est la sixième de ces Diaboliques. La nouvelle relate l'aventure arrivée à un jeune aristocrate et dandy parisien, Robert de Tressignies, qui a suivi un soir une prostituée à la beauté fascinante dans une ruelle obscure de la capitale. Celle-ci lui révélera être la duchesse de Sierra Leone, l'épouse d'un des plus grands seigneurs d'Espagne qui se venge de lui, de cette façon, en souillant son honneur, car il a fait tuer sauvagement

L’incipit confirme la beauté physique de Duroy George Duroy est un homme entretenu, les femmes lui donnent de l’argent, il aime l’argent. Ouverture sur un subordonnant temporel qui semble marquer un moment important. Le premier personnage a apparaitre est une femme : valeur proleptique du mot caissière : il reçoit l’argent des femmes « restaurant » : repère spatial positif, temps du passé « il portait beau » métaphore, utilisation de sa beauté comme d’une arme / un vêtement. Beauté naturelle et artificielle

comme le reflet du regard des autres, puis la révélation du moi dans le tableau que fait de lui le peintre Basil Hallward, et enfin dans un troisième temps, considérons la personnalité double voire multiple du héros, son évolution psychique paradoxale. Cette évolution de l’âme du héros, de sa psyché est une maïeutique douloureuse et tragique qui symbolise bien, dans sa singularité, le paradoxe de l’artiste épris de Beauté idéale. Le moi de Dorian Gray est le reflet du regard des autres. Sa personnalité