La Beauté Dans Le Regard

LE SERPENT QUI DANSE Proposition de corrigé: Baudelaire, dans sa vie comme dans son œuvre, a toujours été subjugué par la beauté féminine. Une femme en particulier, à la troublante beauté, devient sa maîtresse et sa muse : Jeanne Duval. De nombreux poèmes des Fleurs du mal lui sont consacrés, dont l’un des plus célèbres, « Le Serpent qui danse ». Abandonnant la forme traditionnelle du sonnet, Baudelaire opte pour une strophe hétérométrique qui lui permet de rendre compte de l’envoûtante danse de

souffrance . Pourtant Pensez vous que la souffrance est nécessaire au poéte pour écrire ces poésie ? Nous verrons dans une première partie que la souffrance est parfois nécessaire pour la poésie mais nous verrons ensuite que la poésie porte aussi un regard heureux et constructif sur le monde. 1 . La souffrance est parfois necessaire pour la poésie. Si le poéme est le lieu de l’expression du sujet lyrique, le poéte doit pouvoir y exprimer ses sentiments, quels qu’ils soient. Or, le poéte maudit

-Problématique : Comment Madame de la fayette nous fait-elle comprendre la place de la femme dans la société arisctocratique du XVII éme siécle à travers le portrait de Mlle de Chartres? Plan proposé : I - L'art du portrait a) Un portrait classique b) Une beauté physique idealisé c) Un portrait moral d'exeption II - La vision du narrateur sur son époque a) La vision de la femme du XVII éme siècle b) La vision sur l'homme du XVII éme siècle c) Une vison pesimiste de l'amour et des valeurs défendues par la

L’art nous détourne-t-il du réel? Introduction: Se détourner, c'est ne plus regarder ce que nous regardions auparavant. C'est regarder ailleurs, autrement. Or il peut arriver que la contemplation d’une oeuvre d’art modifie notre regard sur le monde. On peut alors s’interroger sur la fonction de l’art. Est – elle de nous éloigner du reel? Ou au contraire, l’art serait – il un révélateur du réel? Quel rapport existe-t-il entre l’art et le réel? Dans un premier temps, nous verrons en quoi

dernier et le plus solitaire des humains, privé d'amour et d'amitié, et bien inférieur en cela au plus imparfait des animaux.   Cependant je suis fait, moi aussi, pour comprendre et sentir l'immortelle Beauté! Ah! Déesse! ayez pitié de ma tristesse et de mon délire!"   Mais l'implacable Vénus regarde au loin je ne sais quoi avec ses yeux de marbre.      Charles Baudelaire | Annonce des axes Commentaire littéraire I. Une double définition du beau => La Nature vivante, enchanteresse =>

revient de droit, à moi, Perséphone, reine des enfers! THETIS: C'est mon mariage, c'est moi la reine ce soir, elle est pour moi! IRIS : (Arrache la pomme de la main de l’autre) Non ! Non ! Non ! Ne te fais pas d'illusions cette pomme est à moi. Regarde, il y a mon nom écrit dessus. NYX : Mais non : c’est écrit : « A la plus belle ». C’est pour moi, Nyx, la déesse de la nuit. Vois comme je suis belle avec mes étoiles ! Toutes les déesses se mettent à crier car elles veulent toutes la pomme. ZEUS:

s’émerveillent à la vue d’un « rat vivant ». Nous verrons d’abord comment sont mis en place deux mondes antithétiques ; socialement et physiquement, tout oppose les deux jeunes acteurs de ce récit. Ensuite nous montrerons que le regard du poète, dégagé des préjugés du regard social, réduit systématiquement ces oppositions et propose une leçon au lecteur. Il est aisé de noter que l’enfant riche et l’enfant pauvre, placés face à face, incarnent deux vies et deux mondes parfaitement antithétiques. L’antithèse

HYMNE A LA BEAUTE Baudelaire, �crivain et po�te fran�ais du XIXi�me si�cle a publi� en 1857 un recueil de po�me intitul� Les fleurs du mal, dont est extrait le po�me que nous allons �tudier. L'���Hymne � la beaut頻 s'int�gre � une s�rie de po�mes de la section ��Spleen et id�al��, dans laquelle Baudelaire cherche � d�finir l'essence du beau et sa conception du po�te et de la po�sie. Dans le po�me que nous allons �tudier, Baudelaire nous pr�sente d'abord la beaut� sous un visage ambigu et m�me contradictoire

Simple analyse : De « Il parut alors une beauté à la cour » à « il alla le soir chez Mme Sœur du Roi». La Princesse de Clèves" paru sans nom d’auteur en 1678 (chez l’éditeur Claude Barbin), a été attribué à Madame de La Fayette, alors âgée de 45 ans, bien connue dans les milieux littéraires et parisiens. Si l’on considère aujourd’hui qu’il s’agit d’un ouvrage sans doute plus collectif, (le nom de La Rochefoucauld y est associé), il est néanmoins intéressant de savoir que celle qui en a la part

tragique des deux personnages ? Dans un premier temps, nous nous intéressons à l'atmosphère féerique, reflet de l'idéal de perfection propre au siècle de Louis XIV, qui accompagne la rencontre. Puis, dans un second temps, nous étudierons l'importance du regard à travers une mise en scène théâtralisée. A la première lecture, nous tombons dans un univers merveilleux où princes et princesses se courtisent au gré des danses. Cette scène de rencontre prend place pendant les fiançailles de la seconde fille