L Humour Peut Il être Une Arme

formulaire Peut-on traiter de sujets graves et sérieux sur le mode plaisant ou humoristique  Introduction « Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer », lance Figaro à son maître dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais. Le valet conseille donc, comme Rabelais, Molière ou La Fontaine avant lui, et Ionesco ou l’humoriste Raymond Devos après lui, de ne pas évoquer les « choses graves » sur le mode sérieux, mais de prendre le parti d’en sourire ou même d’en rire. Peut-on aborder

 « Libres et de bonne humeur » : vous l’aurez certainement compris, ce titre est un petit clin d’œil : il va être question, ce soir, de bonne humeur et donc d’humour. Le sérieux serait-il incompatible avec l’humour ? Mais au fait, l’humour, qu’est-ce que c’est ? A quoi sert-il ? Faisons un détour par l’Histoire : au Moyen-Âge le mot « humeurs » au pluriel désigne à la fois les dispositions du tempérament et les fluides corporels, théorie empruntée à Galien qui pensait qu’ils régissaient le

Beaumarchais. Le valet conseille donc, comme Rabelais, Molière ou La Fontaine avant lui, et Ionesco ou l’humoriste Raymond Devos après lui, de ne pas évoquer les « choses graves » sur le mode sérieux, mais de prendre le parti d’en sourire ou même d’en rire. Peut-on aborder les questions graves sur le mode humoristique ? L’artiste doit-il, comme le conseillait Molière, instruire en faisant rire ? Le parti pris de « rire de tout » n’a-t-il pas des limites ? I. L’humour rend plus réceptif aux sujets sérieux

d’écrivain (une quinzaine de livres). Durant quelques années, il est aussi producteur à l’ORTF à Paris, il séjourne au Canada. Plusieurs de ses dernières œuvres sont des romans policiers. L’écrivain pose un regard ironique sur les travers de la société (humour parfois féroce). Connu pour une série de romans policiers plutôt loufoques dont le personnage central est l’inspecteur Ali. Driss Chraïbi est mort en avril 2007 dans la Drôme (France), où il résidait. Ses œuvres  Le Passé simple  (Gallimard, 1954) :

Beaumarchais. Le valet conseille donc, comme Rabelais, Molière ou La Fontaine avant lui, et Ionesco ou l'humoriste Raymond Devos après lui, de ne pas évoquer les « choses graves » sur le mode sérieux, mais de prendre le parti d'en sourire ou même d'en rire. Peut-on aborder les questions graves sur le mode humoristique ? L'artiste doit-il, comme le conseillait Molière, instruire en faisant rire ? Le parti pris de « rire de tout » n'a-t-il pas des limites ? I. L'humour rend plus réceptif aux sujets sérieux

propre, plus il nous fait rire. Suite à cela, nous nous demandons si le rire est une arme efficace pour corriger et dénoncer. Il s’avère être effectivement une arme redoutable, ce que nous verrons dans la première partie. Cependant, son efficacité reste limitée. Nous aborderons cela dans un second temps. Le rire peut se révéler être une arme redoutable pour corriger et dénoncer s’il est bien employé. On peut donc se permettre, par le rire de stigmatiser nos petits travers et de les corriger.

SUJET   Comprendre le sujet Vous devez dire si, pour mieux convaincre, on peut faire rire de ce qui est sérieux. Reformulez la question sous des formes variées : « Peut-on rire de tout ? » ; « Peut-on parler de sujets sérieux en faisant rire ? dans toutes sortes de situations, mêmes graves ? avec toutes sortes de destinataires ? » Subdivisez cette problématique en sous-questions, en variant les mots interrogatifs : « Quel peut être l'intérêt de l'humour pour parler d'un sujet grave ? » ; « Quelles sont

l'humour dans leurs discours, même si cela n'est pas toujours bien compris. On se demande si il est possible de rire de tout, en toute situation. Ainsi le premier document est un article issue du magazine Label France, écrit par Pierre Siankowski « Peut-on rire de tout? » parut en 2004. Charles Beer, avec son discours du 22 juin 2005 fait état d'un second document. Le 3ème document est extrait du roman de Jonathan Swift, parut en 1789 « Modeste proposition pour empêcher les enfants pauvres d'être

franchement - en regardant ou lisant une comédie, est-ce qu´elle vous fait sentir toujours un simple amusement? Ou vous y éprouvez de même d´autres impressions, souvent difficilement assignables, qui en tout cas n´ont rien à faire avec du plaisir et de l´humour agréable? La réflexion précédente nous mène à la question: Est-ce que les comédies ne servent qu´à divertir ou elle nous apportent quelque chose de plus? Dans un premier temps, on va étudier la fonction initiale de la comédie: faire rire. Ensuite

, abstraite qui nous donne envie de savoir ce qu’il se passe . Nous sommes au cœur d’une action qui est encore floue car il n y a pas de date précise , de lieu jusqu’à la ligne 14 , il garde volontairement quelques informations pour peut-être montrer que ceci peut arriver à n’importe quel soldat de la guerre . Une telle violence pour un soldat n’est pas choquant car il s y est préparé mais pour de simples citoyens honnêtes comme l’auteur qui a reçu la souffrance de ses anciennes générations ou