L Humour En Argumentation

accordéee au discours politique de la cité. ( Les Grands Orateurs antiques : (Dans l’antiquité, il y a tout d’abord eu les professeurs appelés Sophistes qui enseignaient aux jeunes gens l’art de la rhétorique, une technique qui mêlait argumentation, art du dialogue et controverse à l’aide d’arguments subtils qui permettaient de réfuter toutes les thèses. (Cependant ces techniques furent condamnées par Platon dont la vision de la rhétorique était tout autre : selon lui la seule et vrai

sauf le genre ennuyeux”. En effet, Candide ne l’est jamais, il évoque sans pesanteur la faiblesse d’une époque finissante. Il dénonce, par la fiction, de nombreuses formes d’injustice (rascisme, esclavage, abut de pouvoir, etc). Il dévelloppe une argumentation indirecte. Le lecteur doit savoir lire entre les lignes pour traduire les antiphrases, les euphémismes et les oxymores. Il doit adhérer aux idées de Voltaire pour comprendre ce qui est implicite dans le texte. L’ironie de Voltaire se fait d’ailleurs

dévaloriser des idées et des personnes, | | | | | | | |et s’emploie fréquemment dans une argumentation. | | |9 |Comprendre l’avènement et|Lecture de texte |Chapitres V à VII de La ferme |1.La survie à la ferme |La survie à la ferme |

aussi dans cet extrait « boire le vin de son oncle, et peut-être enlever mademoiselle de Saint-Yves » ce qui donne des atteintes personnelles au héros, il fait appel à ces sentiments, ce qui va en sorte le guider vers la persuasion. Mais cette argumentation est indirecte, un raccourci qui fait apparaître la mauvaise foi et le language excessif du commandant. Nous pouvons également relever le champs lexical de la guerre « commandant » « hostilités » « guerre » « escadre » « amiral » « se battre » « canons »

confie à la suivante le rôle de mettre en avant ce qui est admis et accepté habituellement, avec une certaine légèreté qui donne à réfléchir. b) Des interruptions insolites 1) Dans la deuxième partie de la scène, lorsque Silvia développe son argumentation sur la vérité et l'apparence, Lisette intervient trois fois de manière très brève et les deux premières interventions ont un double rôle. On peut d'abord penser que Marivaux la fait intervenir pour couper le discours de Silvia et séparer de cette

que la folie constitue la vraie sagesse. La folie, la divagation de l’esprit dans une sorte d’inversion carnavalesque mènerait à la vérité et à la raison. § : Interpellation et vouvoiement à chaque phrase du § pour associer ses lecteurs à son argumentation. • Présentation du préjugé qui attribue à un livre au titre comique, un contenu comique : L.1 et 5 : Conjonction « parce que...puisque » = début du raisonnement logique. L.4 et 6 : Verbes d’évaluation/adverbes : « Vous jugez trop facilement » ;

(incipit) : Raconte le voyage de Micromegas sur la planète Saturne. Problématique : En quoi cette œuvre est un incipit ? Montrer qu’il répond aux exigences d’un incipit. Comment on a un incipit original ? Plus s’attacher à la forme. Argumentation philosophique = la réflexion sur l’homme. Montrer que c’est un univers de héro. I-Un univers de fiction. a-Un héro éponyme Portait du personnage : description physique. Portrait physique : taille du personnage, on n’a pas d’autres détails

Persan à leurs yeux, quand bien même il serait Français. Cette lettre présente donc une argumentation indirecte pour dénoncer la façon de penser des Parisiens d’abord, mais certainement aussi, selon l’auteur, d’une grande partie de l’humanité. Conclusion Montesquieu, à travers le personnage du Persan, met en valeur le genre épistolaire, souligne l'importance du thème du regard et présente avec vivacité, humour et ironie une anecdote légère qui nous invite à des réflexions profondes. Il nous révèle

formules : les Lettres philosophiques (1734), le Dictionnaire philosophique portatif (1764) et les contes, dont le succès fut immédiat. L’utilisation de l’émotion et de l’ironie Les contes comportent l’avantage de joindre à la force d’une argumentation philosophique la puissance de l’émotion : le lecteur s’identifie aux personnages, dont les malheurs ou les sottises provoquent chez lui la sympathie ou le rire. Il se trouve ainsi dans une disposition favorable pour condamner les préjugés et les

la différence entre l’homme et l’animal. (I.2.) - Deuxième partie du dialogue (p.184-187, l.45-113) : les arguments sur la question : homme ou animal, that is the question ! - Différence homme/animal : question anthropologique*. Argumentation de lady Draper : Thèse : les tropis sont différents de l’homme. a) Evidence (l.45-46) : le tropi est un animal.  Donc l’acte est dédramatisé : « Il n’a tué en somme qu’une petite bête. »(= terme arrachant la victime à l’ambiguïté du terme animal