L Humour Dédramatise

comme création solitaire, dans les ateliers d’écriture, ensemble, à la recherche d’une forme perdue, enfouie peut-être en nous, ce qui lui confère un caractère insolite …Il s’agit avant tout d’un travail dans la joie (cadavre exquis, calembours, humours …) ; on apprend à déjouer le réel, le remodeler, chercher " une touche lointaine ". Les exercices, proposés par les ateliers d’écriture s’apprêtent à tout auditoire, à tous les âges. Le graphiste, tel un faiseur de puzzle, avec des lettres, construit

centrale de Blayais (Gironde). Si cet incident ne fut révélé aux médias que 8 jours plus tard grâce au témoignage d'un ingénieur en sureté nucléaire, l'incident fut tout de même classé 2/7. Si l'actuel directeur de cette centrale fait tout pour dédramatiser l'évènement, le journaliste sollicité par l'ingénieur se souvient néanmoins des propos de ce dernier: "Il y avait risque de fusion du coeur nucléaire". En pleine campagne de transparence, EDF a accepté la reconstitution des faits par l'équipe

sécurité de la horde, il insiste toujours sur le facteur peur. Edouard quant à lui reste sur la défensive, il “détruit” les arguments de Vania, lui prouve le contraire, il minimalise les risques “Je ne crois pas que nous en arriverons là”, il dédramatise la situation. Il utilise un argument d'expérience : “un truc fascinant avec des possibilitées prodigieuses” il met en avant les avantages réels et immédiats du feu: “cela asphyxie les mouche et chasse les moustique”, “qui ouvre des perspectives

fonction sociale. En effet il permet de faciliter les rapports, s’intégrer à un groupe. On peut s’apercevoir que rien ne vaut un rire partagé pour créer des liens entre des personnes qui n’avaient pas forcément quelque chose en commun à pars un bon humour. C’est d’ailleurs souvent grâce au rire que se forme nos souvenirs. Puis le rire peu avoir des fonctions médicales. Ainsi le rire pourrait réduire les sensations de douleur, renforcer le système immunitaire ou encore prévenir les maladies cardio-vasculaires

| | | | [pic] [pic] Je me sers de l'humour pour dédramatiser. | |[pic] | |[pic]

dernière strophe. Dans cet environnement, décrit avec minutie, par petites touches, un détenu, Guillaume, dépérit. I- De l’humour au désespoir. a- Le début du poème semble marqué par un humour proche de l’autodérision (v.3-4) et le poète semble vouloir dédramatiser la situation en confrontant une évocation biblique (il se présente comme « Lazare entrant dans la tombe » à des thèmes légers et romantiques (v.7-8), qui font songer au joli texte de Nerval, « Sylvie ». b- Les

sérieux ? • De fréquents changements de tons laissent le lecteur perplexe : - de ce qui est sérieux Musset parle avec humour (str 1-2) - de ce qui est léger (« dessins, caricatures » qui ne sont pas des œuvres d’ « artiste », peut-être des dessins obscènes ?), il parle de façon grandiloquente (« vers »). Le lecteur ne sait pas sur quel pied danser > façon de dédramatiser. • Une réflexion profonde sur la poésie : la poésie rend supportable l’insupportable, a un pouvoir de transfiguration,

d’inspiration de Jean De La Fontaine. J. DLF auteur et poète du 17ième s (1621-1695) doit sa popularité en grande partie à ses fables. S’il a fait le choix d’emprunter les textes à ses prédécesseurs, il s’est attaché à y imprimer sa touche personnelle, son humour et sa vivacité ainsi que sa philosophie de la vie. Quel regard J DLF porte sur son travail d’écrivain au travers de ses fables ? Pour J DLF, « la littérature doit être utile autant qu’agréable » (biographie Encyclopédie Larousse). Moraliste et non

dans un contexte chaotique, ravagé par la Première Guerre mondiale, jouer à la manière de l'enfant avec les convenances, décontenancer par le biais de l'humour et de la créativité, oser l'extravagance et la dérision dans le but de dédramatiser. *Le dada Dada et humour ne font qu'un. Le mouvement fut d'abord et avant tout créé dans le but de briser toutes les conventions imposées dans l'art par l'irrévérence et la dérision. L'humour s'allie donc d'emblée à la pensée dadaïste. La mise en relief de

2001. On a pu assister à une réelle déferlante de plaisanteries de mauvais goût. La justification de ses plaisanteries est trop douteuse pour être considérée comme « bonne » comme la soi-disant thérapie pour faire rire et évacuer l’angoisse ou dédramatiser un événement. Ces justifications ont bien sûr été rejetées. A nouveau, on peut affirmer qu’on ne peut rire de tout avec tout le monde. Les victimes des attentats ne prendront pas la blague d’un même point de vue que celui de son auteur. Les