L Homme Peut Il Dominer La Nature

garantir au sein d’une société ordre et coexistence des libertés. Mais il faut bien avouer que même dans ce cas, on reconnait que si la liberté est certes garantie par les lois, ce n’est qu’une liberté partielle et limités par ces mêmes lois. Alors peut on vraiment en obéissant aux lois être pleinement libre ? Rousseau dans ce chapitre soutient que cela est possible et que nous avons tout à gagner à entrer dans un Etat civil et rien à perdre, y compris concernant la liberté qui ne serait, selon lui

puissantes citées jouant le jeu des alliances, Sparte l'oligarque et Athènes la démocrate. Cette guerre qui voit la défaite d'Athènes permet à Thucudide de nous livrer une analyse liant la politique et la guerre. Cette analyse révèle une vision de la nature humaine comme compétitive par essence, mettant l'aspect moral au second plan. Ici, le texte étudié, est une prosopopée de Périclès qui permet à l'auteur de livrer l'actualité politique de la Cité athénienne. Du grec prosôpom (la personne) et poîo

vaporeuse mer de nuages. Illusion du miroir, renvoi à soi-même et à notre condition d’être humain, ce chef-d’œuvre du romantisme allemand en appelle à notre propre solitude, nous qui regardons passer les années qui se succèdent dans nos vies comme cet homme tout de noir vêtu regarde passer une mer de nuages qui semble, tout autant que lui, irréaliste. Et c’est bien là qu’il faut comprendre tout le message que Friedrich nous délivre, au travers d’une toile à l’esprit particulièrement torturé : nous sommes

Introduction générale

Henri Beyle dit Stendhal (1783-1842) est un auteur du début du XIXème siècle à la fois romantique et réaliste. Le romantisme a des valeurs fondamentales telles que l’expression des sentiments, le culte du « moi » et l’importance de la nature, tandis que le réalisme prône le rejet de l’idéalisation de la société et de sa réalité. 
Stendhal est le premier à avoir lié le roman et l’histoire contemporaine. Adolescent, il était passionné de mathématiques et d’art, il rentre dans l’armée en

loup pour l'homme. Mais depuis Aristote jusqu'à Saint-Exupéry, on n'a cessé de louer l'amitié comme expérience irremplaçable. Tout se passe comme si l'homme avait besoin des autres, tout en maintenant à leur égard une méfiance qui peut aller jusqu'à la violence. On peut en conclure avec Kant que l'homme se caractérise par une "insociable sociabilité" qui le maintient dans une perpétuelle tension entre la recherche d'autrui et l'affirmation de sa différence. 1. Comment définir ce qu'est autrui

de la raison, qui se plait a la controler et a la dominer"), ne reposant pas sur des faits tangibles et tentant continuellement de supplanter notre rationnalite, faisant de l'Homme un etre deraisonnable et dans l'erreur, eloigne de la raison-verite et donc miserable. Elle est d'autant plus nefaste qu'elle s'avere parfois vraie : "d'autant plus fourbe qu'elle ne l'est pas toujours". L'Homme aura tendance a la croire vrai, et par consequent sa nature trompeuse se revele doublement dangereuse, et pour

L’Etat L’Etat est le terme le plus communément admis pour désigner des groupes extrêmement variés, dont la formation constitue le support d’organisations et de civilisations différentes « l’ethnie »ou « la nation ». L’Etat peut apparaitre, au terme de sa formation, comme une totalisation parfaite, une figure quasi géométrique, un corps doté d’un dedans « territoire national «, et d’un dehors « étranger ».Tout ce qui fait l’Etat est un accomplissement historique qui doit pouvoir être

représente un homme de dos sur des rochers regardant un paysage nuageux. Au premier plan, on aperçoit un voyageur de dos, debout au sommet d'une montagne regardant le paysage, seul, contemplant les nuages et l'horizon qui s'étend à perte de vue. Cette homme de dos, prend beaucoup de place et attire le regard. Le personnage reste en dehors du monde qu'il contemple, isolé, comme s’il était exclu, ce qui donne un sentiment d'abandon et de solitude, mais aussi de calme et de vide. On peut donc voir chez

soit par les prêtres, vaut-t-il mieux être faible et ou forts??? Le fort est souvent considéré comme un profiteur, un manipulateur, un abuseur. Bref, le fort de nos jours peut se comparer à un patron machiavélique et manipulateur cherchant son propre bien. Il est égoïste et écrase les autres sur son passage. Mais Ne peut-on pas avoir de bonnes valeurs morales si on est fort ? Et notre force ne pourrait –elle pas être considérée pour ce qu'elle est, une force de s'élever contre les valeurs, les

danger n’est pas encore clairement présent contrairement à la réel peur. Le verbe falloir ici, indique un choix d’avoir peur ou non. On peut se demander si la peur est un sentiment indispensable à l’Homme. Mais a-t-on vraiment le choix d’avoir peur ? A-t-elle une définition plus précise que celle expliquer par Descartes ? Si la peur n’est pas contrôlable, peut-on la réguler ? Et enfin La société est-elle manipulée par cette peur ou bien nous gérons nous même notre vie ? I Existe-t-il plusieurs