L'Homme illustré

fonction et de rendre une justice fidèle à ses valeurs. Les médias commencent à prendre plus d'ampleur à la fin du 18eme siècle où nous assistons au phénomène de libéralisation de la presse à la suite de l'article 11 de la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen paru le 24 Août 1789.* Les médias font aujourd'hui partie intégrante de notre quotidien, ils relatent des faits judiciaires tous les jours et nous permettent de se divertir avec des séries télévisés mettant en scène des procès relevant

Alain Badiou L'homme!Voila ce que nous sommes, mais que sommes nous vraiment? C'est la question que se pose Badiou dans L'éthique: essai sur la conscience du mal. Dans ce recueil il réfléchie sur la question de l'homme en tant que sujet ou simple être vivant. Cette question lui permet d'attaquer la logique des droits de l'homme, au travers de son propre avis. En effet les doctrinaires des droits de l'homme désignent l'homme comme simple être vivant, cela dit comme un animal. DE ce fait Badiou

de sujet auparavant délicats comme le questionnement sur l’homme, sa place dans l’univers, ou bien ses croyances religieuses. Pablo Picasso, peintre espagnol furieux contre la guerre dans son pays, en ayant peint l’œuvre « Guernica », dénonce les horreur de la guerre. Bien qu’au début il ne voulait représenter que le bombardement sur la ville de Guernica, l’œuvre devînt finalement un des symboles de la violence de la guerre. Il illustre ainsi l’argument qui démontre que l’art engagé sert à témoigner

Les quatre textes qui composent le corpus, sont argumentatifs, sur la question de l’homme. Nous constatons qu’ils nous viennent d’époques très différentes, un du XVIIème siècle, « Phédon» extrait de Les Caractères de de La Bruyère. Un du XVIIIème siècle, « Misérable » article de l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert. Le « Discours à l’Assemblée » de Victor Hugo du XIXème siècle. Mais aussi « L’Homme révolté » d’Albert Camus du XXème siècle. Un argumentaire utilisant des genres différents mais

qui consiste donc à formuler et élaborer des pensées, issues de raisonnements et d’éléments, non pas instinctifs comme ceux des animaux, mais liés à la rationalité, signifie donc que l’Homme dispose de ses pensées de façon totalement autonome, ce qui fait sa suprématie : « je pense donc je suis » de Descartes illustre parfaitement ce propos. La pensée envisagée est l’acte de penser telle ou telle chose en revendiquant clairement une opinion, et non pas la pensée en général au sens de la « pensée immédiate »

Convention Européenne des Droits de l’Homme énonce un principe en son art 6 : « toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement dans un délai raisonnable par un tribunal indépendant et impartiale établi par la loi qui décidera soit des contestations soit sur droits ou obligations de caractère civil ou du bien fondé de toute accusation en matière pénale dirigé contre elle ». Ainsi pour la cour européenne des droits de l’homme, tout acte doit pouvoir être remis en

dans l'état de sauvagerie, la société avait des règles. Donc, les sociétés primitives, qui ont du social, ne coïncident pas avec la description de l'État de nature de Locke, Hobbes et Rousseau. Hegel revient à l'image d'Aristote: « L'homme est une animal politique. » L'homme est naturellement libre selon Hegel et cette liberté s'atteint par la médiation infinie de l'éducation, qui doit imprégner la volonté sensible. Question 3: La raison dans l'histoire est une œuvre du philosophe allemand Georg

archaïque dans la majorité des gouvenements démocratique illustre bien son côté immorale et inhumaine. Réintroduire la peine de mort serait un énorme retour à la barbarie et un recul des droits de l'homme. Pourquoi ne doit-on pas réintroduire la peine de mort? Dans un premier temps nous exposerons que la peine de mort ne réduit pas le taux de crimalité. Deuxièmement, nous développerons le fait que cette peine n'est pas conforme aux droits de l'homme. Ensuite nous verrons que la peine de mort a des conséquences

médiatisés et connus, c'est pourquoi je trouve intéressant de parler de leurs parcours et peut-être même vous faire découvrir ces deux femmes d'exception. Enfin je finirai par un homme, Stéphane Hessel, qui avec son histoire de vie et son dernier essai illustre bien le combat des deux femmes précédentes. Leur histoire à tous les trois me permettra d'aborder entre autre la notion de développement économique, de l'engagement et de la résistance. Wangari Muta Maathai reçu le prix Nobel de la paix en 2004

juridiques qui lui sont associés, mais qui possède également un aspect symbolique, un caractère institutionnel qui dépasse la définition d’un simple contrat, comme le montre l’article 212. Il est défini comme étant l’union légitime de deux personnes, « l’homme et la femme » comme prévu dans l’article ?? du code civil, en vue d’organiser leur vie commune. Le mariage est donc avant tout un cadre institutionnel, et il a subit plusieurs évolutions au fil du temps. Pendant la révolution française, il était