L Existence N Est Elle Que Vanité

font références aux sens : sensation de douleur suite à la perte d’un proche, douleur intense ou solitude : les pensées sont alors changées, peut conduire à ne plus être la même personne. Ou encore le faire de devenir célèbre, se sentir important : vanité. Transition : Ainsi, le moi que l’on penserait fixe et permanent semble finalement dépendre du caractère changeant de la nature humaine notamment à travers la dualité du corps et de l’âme mais aussi à travers la personnalité même du sujet ; tout

voulons être libres, cela semble indiquer que nous ne le sommes pas : soit pas initialement, et la liberté est une fin à atteindre ; soit pas du tout, et la liberté est un leurre. Cf. critique spinoziste du libre-arbitre (Lettre à Schuller) : c’est par vanité, par orgueil métaphysique, parce qu’il veut s’exclure des lois universelles qui régissent la nature, que l’homme veut être libre, et se berce dans l’illusion qu’il l’est. C’est le sens implicite de la comparaison avec la pierre qui tombe : l’homme

s’impose à nous, & nous ne pouvons pas nous y soustraire car il y a élection, donc unicité. Le mal est donc protestation d’un souverain DECHU (nous) contre sa déposition par l’autre, mais aussi une volonté de punir l’autre de son intrusion dans notre existence. Puisque chacun de nous, de façon naturelle, a un semblable, alors le mal relève donc d’un génie qui est commun à tous les hommes. Recôtre les indiv d’une mê humanité ou espèce est naturel et cela nous pousse, lorsque nous constatons une différence

engagé dans les combats de son époque, cherche ainsi à discréditer les vanités de la cour royale et la religion catholique dans la Confession du Sieur de Sacy et Les aventures du baron de Faeneste . Son Histoire Universelle est aussi, malgré son titre, une œuvre engagée, destinée à justifier l'autonomie politique et militaire des protestants français. Il publie aussi de nombreux opuscules politiques. À la fin de son existence, il écrit ses mémoires, Sa vie à ses enfants (Constant, Marie et Louise)

Juan Sanchez Cotan, début XVIIe époque baroque, peinture représentative du clair/obscur. A la fois sur l’idée du passage mais aussi sur l’au-delà. « Ténébrisme », accentuation du noir. Allégorie système solaire, « vanités » inutilité des biens terrestre, fragilité par rapport existence et la brièveté de la vie. Lucio Bontana, fin 50’s-70/80’s, concetto spaziale, fendre les étoiles, provoque cette idée de derrière, au delà, à travers. Bernard Faucon, photographie qui décrivent sentiment, sensation

brutalement face à leur être réel, cela ferait leur malheur. Si pour savoir qui je suis, je dois me dépouiller de tout ce qui me rattache au monde, je risque fort de me retrouver face à un néant, ou à une existence inquiète, vouée à la crainte, car la conscience de sa petitesse et de sa vanité profonde. Le "je" est cette fois situé dans une confrontation métaphysique avec deux infinis qui l'effraient également. Ce "cogito existentiel" saisit l'individu par sa condition, et cela annule toute prétention

BAC BLANC DEC 2003 CORRIGE DISSERTATION Sujet : : Rousseau esquisse une analogie entre les arts et les lettres d’un côté et de l »autre le luxe, en affirrmant : « Tel est le luxe, né comme eux de l’oisiveté etr de la vanité des hommes . » »Selon vous, les artset les lettres,ou pourparler plus commodément, la culture en général, sont-ils un luxe ? La culture est le processus de la formation de l’esprit et du goût, qui passe, entre autres , par la pratique des arts et des lettres. Quand Rousseau

au cours de notre vie, on peut se retrouver complètement démuni, désarmé. Si on ne donne pas une direction à notre vie, on a plus rien à quoi se raccrocher, et on est alors perdu. Traverser les épisodes plus difficiles et plus compliqués de notre existence peut alors s’avérer moins aisés que si l’on sait précisément dans quel sens on marche et ce à quoi on aspire. Notre ferveur, notre engagement se révèle donc être une source d’espoir et de motivation qui peut nous soutenir et nous porter tout au long

insupportable psychologiquement Pascal dans ses pensées explicite l’idée selon laquelle l’homme est parfaitement risible comparé à l’univers, qu’il vient et retournera au néant mais sa vanité l’empêche de s’interroger sur le sens de son existence, ce pour quoi il va préférer se divertir, ce qui étymologiquement signifie se détourner de. Et dans le divertissement il va trouver du bonheur (relations/loisirs). Mais finalement nous dit Pascal, ce divertissement est un

mot « coeur » comme dans la tragédie (« Rodrigue, as-tu du cœur ?» = courage ) : l'ECRITURE de la MORT se veut à la fois TRAGIQUE (car la mort est une fatalité qui, inscrite au coeur même du cycle de la vie, dit la DESTINEE HUMAINE et la VANITE de toute existence, éphémère) et METAMORPHOSEE, TRANSCENDEE par la beauté du VERBE, SUBLIMEE par le travail des mots tout au long du poème : la mort, sous la veine poétique de Baudelaire, PREND UNE TOUTE AUTRE DIMENSION.La posture psychologique se double d'une