L'Aveu

la relation entre Néron et Junie et comment sera révélé le dénouement tragique de ce texte du vers 983 à 1024 ? Nous verrons au premier abord, la culpabilité de Junie et les regrets de Britannicus souligné par la présence de Néron et comment l'aveu amoureux, synonyme de dénouement tragique dans cette pièce fera évolué la relation du couple. Tout d'abord, on peut aperçevoir dans cet extrait que Junie sous la colère aurait voulu s'acharner sur Britannicus « ma juste impatience »v.983 « d'autres

se déclare. » - Caractérisation du texte : cet extrait = dialogue entre Phèdre et Hippolyte, en présence d'Oenone, la nourrice et confidente de Phèdre. En l'espace de deux tirades, Phèdre glisse progressivement et malgré elle, de l'aveu implicite, à l'aveu direct,où s'exprime sa fureur amoureuse. Cet aveu = un sommet tragique : il précipitera la perte de l'héroïne. La machine tragique est en marche. LECTURE Problématique : question posée par l'examinateur. Ex/ Comment la violence de

Phèdre témoigne-t-il d'une lutte contre un amour interdit? Pour y répondre nous étudierons dans un premier axe le récit d'une lutte puis dans un second axe la violence de la passion pour aborder dans un troisième axe l'aveu tragique. I - Le récit d'une lutte A) Les étapes L'aveu de Phèdre constitue un récit. Les étapes viennent ici structurer le récit. v.1 à v.10 : La rencontre avec son ennemi et évocation au vers 5 de l'élément perturbateur. v.11 à v.24 : La première tentative de combat

Chartres qui demande à M. de Nemours de faire croire que cette lettre est à lui.Début du 4e récit enchassé : Le vidame explique à M. de Nemours la relation qu’il entretient avec la reine et l’amour qu’il porte à Mme de Thémines3 e partie : De l’aveu aux tourments Suite du récit du Vidame de Chartres sur ses intrigues amoureuses. Le Duc de Nemours accepte de l’aider. M. de Nemours apprend à Mme de Clèves que la lettre appartient au Vidame de Chartres, et lui demande de la lui donner. Mme

aurait dû terminer sa phrase. Ce baiser fougueux montre l'intensité de ses sentiments l'aveu de Mélisande (« je t'aime aussi »), qui affirme elle aussi la force de cet amour né comme un coup de foudre : « Depuis toujours... Depuis que je t'ai vu... » la métaphore employée par Pelléas pour désigner ce double aveu : « On a brisé la glace avec des fers rougis » souligne encore l'intensité de leurs sentiments : l'aveu prend toute la violence de cette rencontre de l'eau et de feu et suggère la libération

est l’évocation d’une vision fataliste de l’être humain victime de ses passions.  Sujet divisé : I. Une passion irrépressible II. Une héroïne pathétique III. Une issue tragique Développement argumentatif I. Une passion irrépressible A. L’aveu de Phèdre à Hippolyte est bien involontaire 1. Champ lexical de la parole + longue tirade (42 vers) a) « entendue » (v. 4), « dit » (v. 5), « dis-je » (v. 27), « aveu » (v. 27), « prier » (v. 30), « parler » (v. 32)  Dévoile la volubilité de

«si je m'en ressouviens, comme j'en ai peur, s'il m'a frappée..?» «savez-vous bien que si je vous ai mais..?» → elle emploie le conditionnel «je ne ferais un scrupule de vous dire que je vous aime» en disant à Dorante qu'elle retient son aveu «l'aveu de mes sentiments pourrait exposer votre raison, et vous voyez aussi bien aussi que je vous les cache» qu'elle dissimule ses sentiments, elle lui laisse entendre qu'elle l'aime: elle laisse entendre plus qu'elle ne dit et manie aussi l'art de la suggestion

de temps avant l’aveu de Phèdre à Hippolyte, l’amour réciproque mais interdit, car les familles sont ennemies,qu’éprouve Aricie et Hippolyte l’un en vers l’autre. Ce texte est un extrait de la scène 5 de l’acte 2 de Phèdre, et c’est donc dans ce contexte que s’ouvre le dialogue entre Phèdre et Hippolyte, undialogue dominé par les registres tragique et pathétique. Nous étudierons comment cette déclaration d’amour involontaire est tragique. Nous mettrons donc en avant en quoi l’aveu de Phèdre est involontairemais

javelot grossier et vulgaire. Quelle que soit l’interprétation, ce trait reste blessant, qu’il soit une flèche vangeresse ou une lourde lance. Cet orgueil développé tout au long de la tirade est cependant blessé dès le début de la réplique dans l’aveux qu’il fait de son humilité dont il a honte. « Vous voyez devant vous un prince déplorable, / D’un téméraire orgueil exemple mémorable. » (vs. 1-2) est en effet la première phrase de cette tirade. « Vous voyez devant vous » met l’accent sur la mise

coupable, qui sont les monstres ? Lecture analytique n°1 L’aveu de Phèdre à Oenone, I, 3 "Aimez-vous ? " à " Un reste de chaleur tout prêt à s’exhaler. " En quoi est ce un extrait tragique ? 1. Elle montre les ravages de la passion amoureuse a. Perte de contrôle de soi b. Sources de souffrance c. Hippolyte : ambigu 2. Elle montre engrenage propre à la tragédie d. e. L’aveu et ses conséquences f. L’impuissance du personnage devant