L'Adversaire

-Apprendre à faire les bons choix de passe ou d’attaque. Après réception au fond de terrain de la balle, il est important de faire des passes pour ramener la balle au milieu de terrain pour ensuite construire une attaque et surprendre l’adversaire. Pour surprendre l’adversaire, il ne faut pas renvoyer la balle sur l’un des joueurs mais l’envoyer dans « un trou » que l’équipe adverse défend mal. De plus si la balle est au niveau du filet, il ne faut pas la passer au fond du terrain. -Travailler la défense :

combat et une réflexion métaphysique de Morihei Ueshiba sur le sens de la pratique martiale à l'ère moderne. L'aïkido se compose de techniques avec armes et à mains nues utilisant la force de l'adversaire, ou plutôt son agressivité et sa volonté de nuire. Ces techniques visent non pas à vaincre l'adversaire, mais à réduire sa tentative d'agression à néant[3]. L'aïkido peut être considéré comme la concrétisation du concept de légitime défense : une réaction proportionnée et immédiate à une agression

de dépasser le hasard et les frictions. De manière générale, Clausewitz, privilégie la défense à l’offensive car elle oblige l’adversaire à de gros efforts logistiques sur des terrains qu’il ne contrôle pas. Cependant la supériorité éventuellement acquise par des victoires défensives permet de passer à l’offensive. Afin de triompher il s’agit alors de frapper l’adversaire affaibli en son cœur : anéantir par exemple ses forces armées ou conquérir son territoire, parfois même sa capitale, mais avant

n'est pas loin de perdre le fil de sa communication. A défaut de trouver des solutions pour faire gagner son équipe, le coach parisien s'est donc lancé dans un festival d'excuses, plus ou moins valables, pour en expliquer les dysfonctionnements. L'ADVERSAIRE ÉTAIT PLUS FRAIS : PAS VALABLE C'est l'excuse la plus récente. Quelques instants après l'égalisation des Monégasques au Parc des Princes (1-1), qui a coûté deux nouveaux points aux Parisiens, Blanc a émis l'hypothèse suivante : ses joueurs étaient

valeurs chères à l’idéal chevaleresque guerrier et courtois se traduisent par des conduites spécifiques. L’exigence de prouesse se décline dans les lices par la démonstration de sa force, de son endurance, de son habileté et de sa supériorité sur l’adversaire. L’esprit de compétition et de performance en sont les corollaires. En effet, le champion s’affirme en prenant le meilleur sur son opposant dans un contexte compétitif avec le souci d’effectuer une performance mémorable (notamment lorsqu’un même

attentats du 11 Septembre 2001 cette notion a évolué. Actuellement, nous pouvons dire qu’il repose sur « le contournement dans la durée, de la puissance de l’adversaire en profitant des possibilités offertes par la révolution de l’information et les contradictions résultant de la mondialisation pour étioler […] la force de l’Ennemi ». L’adversaire n’a nul besoin de conquérir ou de défaire son ennemi. Il lui faut désormais lasser et perturber ce qui confère au conflit un aspect psychologique nouveau

être renversée et retournée contre soi. Une activité d'alternances stratégiques: La continuité et / ou la rupture dans l'affrontement direct permet de calculer le rapport risque / sécurité dans une suite d'actions qui intègre l'attaque de l'adversaire et sa propre défense. Une activité d'interactions permanentes car il y a alternance rapide et éphèmère du rôle d'attaquant à celui de défenseur. Ces rôles peuvent être provoqués ou anticipés grâce à la tactique. Ils vont avoir des difficultées

la balle en main, se faire des passes entre eux et lancer le souaffle dans un cerceau. N.B. : Seuls les poursuiveurs peuvent toucher au souaffle Pour enlever le souaffle à l’adversaire, il suffit de taper sur la balle avec sa main. Ensuite, il y a les batteurs. Ceux-ci essaient de lancer un des cogneurs sur l’adversaire qui détient le souaffle. S’il réussi, le poursuiveur qui était en possession du souaffle doit lâcher le souaffle et courir toucher le poteau de son but. La balle peut être reprise

2 fois de suite par le même joueur ou un joueur et son (sa) partenaire. Il y a faute si le joueur touche le filet ou le poteau avec sa raquette, ses vêtements ou son corps, envahit le terrain de l'adversaire par dessus le filet (sauf s'il "suit" son geste), fait obstruction vis à vis de l'adversaire (l'empêche d'exécuter son coup), distrait volontairement son adversaire.

crochet vers l’intérieur. Le vert foncé et le rose vont croisés le bleu et le orange et le bleu en fessant un croisé. Le quart arrière passera le ballon au vert foncé qui sera libre. Objectif :Crée une distraction en croisant les joueurs pour déjoué l’adversaire. Jeu de passe pour une situation de long gain Les joueurs vert foncé et rose court en ligne droite le plus loin possible. Les joueurs jaune et rouge contourne les joueurs orange et bleu et continue en ligne droite .Les joueurs bleu et orange