Keynésiens Et Monétaristes

Universitaire : 2011-2012 PLAN INTRODUCTION I. Définition et formes de chômage A. Définition B. Les différentes formes de chômage II. Causes du chômage A. Les analyses théoriques 1. L’analyse libérale 2. L’analyse keynésienne 3. L’analyse marxiste B. Les explications pragmatiques 1. Les causes liées au marché du travail 2. Les causes liées à des facteurs socio-économiques III. Les Conséquences et les politiques de lutte contre le chômage A

actualité à ses analyses et à ses principes de politique économique, enterrés depuis la stagflation des années 1970, puis son dénouement par l'application des préceptes monétaristes à partir des années 1980. L'effondrement simultané du crédit, de l'immobilier et des marchés financiers débouche sur une configuration typiquement keynésienne. L'économie mondiale se trouve enfermée dans une situation de trappe à liquidités, où l'injection de fonds et la baisse des taux d'intérêt se révèlent impuissantes

monétaire pourrait n’être que la conséquence du besoin en moyens de paiement, et les facteurs monétaires perdraient leur pouvoir explicatif du mouvement des prix, en devenant au contraire une conséquence de ceux-ci. B. Milton Friedman et les monétaristes Après la Seconde Guerre mondiale, Milton Friedman va mettre en avant les déterminants de la demande de monnaie et abandonner l’analyse dichotomique des classiques. Néanmoins, il affirme que « l’inflation est toujours et partout un phénomène

ANALYSE DU CONTENU ET LES IMPLICATIONS DU MOT PRUDENCE : les monétaristes En l’absence de toute prudence, la politique monétaire produit des effets négatifs sur l’activité économique. En effet, un dérèglement de l’émission monétaire entrainerait donc des crises selon les monétaristes. Dans leur « Histoire monétaire des États-Unis » (1963) Milton Friedman et Anna Schwartz vont chercher à renverser l’analyse traditionnelle keynésienne en s’appuyant sur les préceptes de la théorie quantitative

l’investissement. • Des hausses de revenus peuvent aussi être favorables à l’emploi, surtout si elles concernent les revenus modestes, pour lesquels la propension à consommer est forte. Prolongements et controverses A La « nouvelle macroéconomie keynésienne » (NEK) • Les marchés peuvent connaître des déséquilibres durables, du fait de rigidités des prix et/ou des quantités. • C’est en particulier le cas du marché du travail, où les salaires peuvent connaître des rigidités à la baisse, même en

fonction d’un calcul des avantages, des couts et de leur comparaison. On s’intéresse alors à la microéconomie. - Théorie de l’équilibre. L’O et la D s’ajustent naturellement par les prix comme le pensaient les classiques. Section 3 : L’économie Keynésienne John Maynard Keynes (Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie). Pas d’intérêt pour les ID, voient l’économie dans sa globalité, analyse macro économique. Mouvement des années 50. [Document 5 : L’Etat doit intervenir dans l’économie

entrepreneurs. De plus, l’investissement même provoque une épargne qui lui est égale par les variations de la production. 2. La révolution keynésienne Keynes et la révolution keynésienne « La Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie » paru le 4 février 1936 propulse Keynes au premier rang des économistes du vingtième siècle. La formule de «révolution keynésienne » apparaît pour la première fois dans le titre de l’ouvrage de Lawrence Klein en 1947. Elle désigne un moment de la grande transformation

que l’État intervienne ce qui avait fait passé au « second plan » les idées de Smith. Mais avec la crise de 1975 et l’inefficacité des politiques keynésiennes, on assiste à un renouveau de la théorie néoclassique. Pour les théoriciens de l’offre, la crise de 1975 est due à l’État qui réduit la production à cause des ses prélèvements. Les Keynésiens considèrent que le dynamisme économique provient de la demande tandis que ces théoriciens affirment l’importance de l’offre. C’est-à-dire que pour

l’utilité marginale. Marshall vint plus tard : 1890. Avec l’arrivée de Keynes, appelation « classiques » pour disciples de Smith aussi bien que pour ceux de Marshall au seul motif qu’ils n’étaient pas keynésiens. Tout se complique à nv qd certains économistes (Hicks, Samuelson) décident qu’ils sont keynésiens tout en étant disciples de Walras ou Marshall. Ils décidèrent aussi de s’appeler « néoclassiques »pour signifier qu’ils continuaient l’oeuvre précédente. Il existe donc 2 sens différents du même

keynésianisme a deux successeurs. Les post-keynésiens se concentre également sur les rigidités macroéconomiques et d'ajustement. La recherche sur de fondations micro pour leurs modèles est fondée sur les pratiques de la vie réelle, plutôt que de simples modèles d'optimisation. Il est généralement associé à l' Université de Cambridge et au travail de Joan Robinson29. La nouvelle économie keynésienne, est également associée à l'évolution de la mode keynésienne des trente glorieuses. Dans ce groupe les