Keynésianisme Fondements

John Maynard Keynes John Maynard Keynes (5 juin 1883 - 21 avril 1946) était un économiste et un mathématicien britannique, fondateur de la doctrine économique à laquelle il a laissé son nom, le keynésianisme, qui encourage l'intervention de l'État pour assurer le plein emploi. Critiques de Keynes Les critiques de Keynes et des politiques qu'il a inspirées ont toujours soutenu qu'on n'a nul besoin de mettre en cause la capacité des marchés à ajuster les offres aux demandes pour rendre compte

rôle de l’état doit diminuer à partir de l’établissement de la société collectiviste idéale avec l’air de l’abondance. Cette idéologie s’est rependue en Russie grâce à Lénine et en Chine grâce à Mao Zetong. C) Sir Lord John Maynard Keynes, le Keynésianisme La crise économique de 1929 a mis en exergue les limites des principes libéraux, Keynes a écrit un ouvrage « la théorie générale de l’emploi de l’intérêt et de la monnaie ». il montre que l’intervention de l’état pourrait relancer la croissance

pour les revendre immédiatement en vue de réaliser un gain d’argent. • Libéralisme : doctrine économique énoncée par Adam Smith vers la fin du XVIIe siècle, consistant à la non-intervention de l’Etat dans l’économie. • Théorie keynésienne (keynésianisme): théorie économique énoncée par John Maynard Keynes (1883-1946), insistant sur la nécessité de l’intervention de l’Etat dans l’économie. • Inflation : situation économique caractérisée par une hausse généralisée des prix. • Déflation : situation

Se jodsuoovxq UI lolghhkkkkjdfhjkllkbxdyhlllwseiom l’activité économique. Dans ce sens là, les classiques pensaient en termes dedichotomie entre l’économie et la sphère monétaire. L’analyse de Keynes abordant l’économie comme un circuit a alors permis d’envisager la monnaie comme une grandeur endogène au circuit économique,entretenant des étroites relations avec les résultats économiques. Le début du XXème siècle a donc été marqué par la considération nouvelle d’une monnaie signifiante, à appréhender

Epargne et Investissement « L’expansion se caractérise par un excès de l’investissement sur l’épargne et la récession se caractérise par un excès de l’épargne sur l’investissement » Keynes, 1931. L’épargne est la part du revenu non consommé immédiatement ou l’excès de revenu sur ce qui est dépensé pour la consommation. Il y a l‘épargne des ménages, des entreprises et des A.P.U.. L’investissement permet de créer ou d’acheter des biens de production. Il peut être matériel, c’est par exemple, l’achat

protection contre les licenciements, etc.) qui s'opposent à l'ajustement rapide des effectifs aux besoins de l'entreprise. En résumé, le marché du travail devrait, selon eux, fonctionner librement comme n'importe quel marché concurrentiel. 2) Le Keynésianisme À l'opposé de cette vision, l'analyse keynésienne (du nom de l'économiste J.M. Keynes, 1883-1946) conteste la notion même de « marché » du travail. Les 2 entités face à face (les besoins en main d'œuvre des entreprises et le volume de la population

Théorie des prix par Joan robinson La théorie moderne de la discrimination des prix a largement hérité des travaux de Joan robinson (1933). En consacrant deux chapitres de son livre appelé (the économics of imperfect competion) au problème de la discrimination du troisième degré, Joan robinson a examiné toutes la condition nécessaire à la discrimination (pouvoir de marche, élasticités différentes de la demande des consommateurs aux prix. Pour être plus précis la discrimination par les prix

extérieurs. Les keynésiensconsidèrent aussi qu’une baisse trop importante des salaires peut conduire à une diminution de la demande et donc à une baisse de la production. Pour eux les salaires sont rigides à la baisse. Unedifférence majeure du keynésianisme est aussi le fait qu’elle donne à l’Etat un rôle de régulation des injustices et d’apaisement social. Ceci passe notamment par la redistribution des revenus, et par laréglementation du travail. Pour les keynésiens la redistribution permet aussi

La NMC est apparue en réaction contre le consensus keynésien, dont la force explicative paraissait diminuer à la fin des années 1970, et qui n’offrait pas de fondements théoriques micro économiques suffisants. Elle est affiliée au monétarisme, bien que ses auteurs s’en défendent. Elle se fonde sur une réhabilitation des hypothèses traditionnelles de la macro économie classique (Equilibre permanent des marchés et non rigidité des prix), auxquelles elle rajoute celle des anticipations rationnelles

 Étude des documents : Document 1 : Le document est un extrait d'un article tiré du magazine Le Monde du 5 octobre 2002 et écrit par Laurent Fléchaire. « En 1981, la gauche arrive au pouvoir » → Arrivée de Mitterrand a la présidence. Politique de relance keynésienne = politique budgétaire = Embauche des entreprises en fonction de leurs besoins. Création d'emplois : « 50 000 emplois publics » « 100 000 contrats emploi/formation » Mais a cause d'une forte inflation (15%) la politique