Keynes Et Développement Durable

barrières) Homogénéité des produits Transparence des marchés Mobilité des facteurs de production (K : capital ; L : travail) L’hypothèse de concurrence pure et parfaite suppose donc la flexibilité des prix. IV) L’analyse Keynésienne Contexte : Keynes (1883 † 1945) observe la crise des années 1930 et analyse l’échec du « laisser faire, laisser passer ». Il montre les défaillances du marché et justifie l’intervention de l’état. Il ne raisonne plus en termes de marchés mais sous l’angle de circuits

croissance, développement et changement social I La notion de croissance A Définition et mesure de la croissance 1) Définition 2) Mesure de la croissance a) Les différents agrégats utilisés b) Les limites de la mesure de la croissance par ces agrégats B Une croissance inégale dans le temps…….et l’espace C Les sources de la croissance 1) Le rôle des facteurs de production dans la croissance 2) Les analyses théoriques de la croissance II Le développement, un phénomène

dispositions principales ont été la création du Fonds monétaire international (F.M.I.) et celle de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (B.I.R.D.) » Pilier : « Personne chargée de fonctions très importantes dans une organisation, ou qui occupe une place ou exerce une fonction déterminante » Keynesianism : « Théorie préconisée par Keynes (économiste britannique) selon laquelle l'État, par une politique budgétaire active, est le seul à pouvoir relancer la demande (donc la production

résultat de l'activité économique. Le principal agrégat est le PIB. But : Expliciter les relations entre les grands agrégats et permettre de prédire leur évolution. Ex : Si un agrégat change cela se répercute sur les autres agrégats. C'est Keynes qui en 1936 pose les bases de la macroéconomie. B- Macroéconomie VS Microéconomie Agent économique rationnel : Analyse toutes les possibilité de choix qui lui sont offerte et prend la meilleur . Et il ne se trompe jamais. Point de l'analyse

renouveler ou augmenter le stock de capital fixe. Ces biens vont être utilisés sur plusieurs cycles de production. Les investissements immatériels Les investissements immatériels correspondent principalement à des dépenses dans la recherche-développement, la formation du personnel, le marketing, dans l’achat de brevets et de licences, de logiciels. Les différents types d’investissement selon leur finalité Trois grands types d’investissements matériels peuvent être distingués.

croissance = (((PIBn – PIB n-1)*100) / PIBn-1) VII) Le développement économique Le développement = ensemble des changements mentaux et sociaux d’une population qui accompagnent la croissance de la production. La croissance est quantitative, son objectif est l’augmentation des richesses. Le développement est à la fois quantitatif et qualitatif. Les indicateurs de la croissance = PIB, PIN en PPA par habitant. Les indicateurs de développement = IDH (humain) et IPH (pauvreté humaine). Les indicateurs

gamme de plus en plus étendu de ses besoins. La conso est devenue une norme, elle a été à l’origine de la croissance du mode de production fordiste. Cela étant la conso finale peut être privée ou collective. Cette conso est probablement comme le dit KEYNES « la seule fin et l’unique objectif de la science économique » mais elle permet aussi aux ménages de satisfaire individuellement leurs besoins, soit en payant pour cela et donc en réalisant une conso marchande ou privée, soit en utilisant les biens

matérielle et non plus morale, et aboutissant finalement au développement du goût du luxe, voire de la luxure. Toutes ces évolutions vont donner naissance à une doctrine (pensée partagée: on dirait aujourd’hui pensée unique), selon laquelle la puissance d’un royaume repose sur quatre principes: - la possession de métaux précieux (la richesse) - la recherche permanente du profit, valorisée par l’activité des marchands, - le développement de l’industrie stimulée par la puissance publique, - la réalisation

conduit à admettre que les agents économiques cherchent immédiatement à dépenser leur revenu en acquérant davantage de biens et services. Les entreprises trouvent donc toujours des débouchés pour écouler leur production: les crises de surproduction durables sont donc impossible. II- La critique marxiste : une remise en cause radicale du système capitaliste A- Une société de classes Karl. Marx considère que toute société est composée de groupes sociaux aux interêts antagonistes. C'est le cas du

celle-ci n’aura pas la même forme et la même origine. Labrousse montre que dans les sociétés préindustrielles on a des crises d’ancien régime, ensuite on a des crises mixtes et avec la société industrielle, on aura des crises industrielles. Avec le développement de capitalisme, les crises vont changer de nature. Dans les sociétés anciennes, traditionnelles, on a à faire à des économies à prédominance agricole centrées sur la production alimentaire. Pour lui, dans l’ancien régime, les crises économiques