Keiretsu

prendre part activement à leur gestion et à leur surveillance. Remarque sur la banque universelle – En Allemagne, une entreprise noue facilement des relations exclusives et de long terme avec la Hausbank (banque maison). – Au Japon, tous les keiretsu sont liés à une city bank qui joue le rôle de banque principale et n’hésite pas à exercer un contrôle ferme des dirigeants. Finance et croissance • Consensus : un système financier sain et efficace est propice à la croissance • Question n°1

occidentaux, en créant des firmes japonaises à même de les copier et de les exporter à son tour. Après 1945, dans le contexte du début de la guerre froide, les Etats-Unis organisèrent la reconstruction du pays en permettant la reconstitution des firmes (keiretsu) et l’intervention de l’Etat dans l’économie (création du MITI, Ministère du commerce extérieur et de l’industrie, en 1949) Les années de haute croissance commencent : de 1955 à 1973, les taux de croissance sont de l'ordre de + 10 % par an.

managerial / employee behaviour, attitudes, strategies and goals. b) Mitsubishi Background Mitsubishi Corporation (MC) is the largest Japanese general trading company with almost 200 companies around the world. MC is what is a named a ‘Keiretsu’ (4). The origin of Mitsubishi goes back to 1870, founded by Yataro Iwasaki. At first, it was a small shipping firm and step-by-step, Iwasaki family expanded the business into various fields, such as Mining, Shipbuilding, Banking, Insurance, Pharmaceutics

entreprise et commenter les raisons du choix stratégique fait ainsi que les résultats obtenus. Bon travail. travail ILLUSTRATIONS DE STRATEGIES D’ENTREPRISES : 2) SONY CORPORATION Entreprise familiale fondée en 1946, Sony Corp. est un keiretsu appartenant, historiquement, à la seconde génération des conglomérats japonais, qui couvre deux maisons de commerce, les fameuses Sogo-shoshas. Groupe moins diversifié que beaucoup de ses homologues, Sony Corp. n'a pas construit sa croissance autour

participations croisées entre groupes qui freinent ou empêchent l'arrivée inamicale de groupes étrangers concurrents alors que le marché anglo-saxon est complètement ouvert. Les Allemands et les Japonais ont des entreprises plus verticales [konzerne et keiretsus] alors que le modèle américain des FMN est globalement congloméral, on vend et on achète séparément les éléments de l’entreprise. Il y a donc des situations différentes selon les entreprises et les Etats. La mondialisation ne signifie donc en aucune

différents modes (oléoduc, mer, voie navigable, rail, route) et a fortiori un modèle de l’organisation du fret. Il existe des modèles régionaux de logistique différents : groupes de transport polyvalents en Europe, groupes industrialo-financiers au Japon (keiretsu) englobant des secteurs industriel, commercial, bancaire et logistique, et enfin de grandes entreprises de moyens spécialisées aux États-Unis. Les activités des grands opérateurs mondiaux vont dans le sens d’un rapprochement des industries du transport

moins créatif, moins marketing que les américains. Le Japon également : sa capacité à innover s’est essoufflée, qui sont depuis 90’ en difficulté. Seule SONY reste créatrice mais elle ne rpd pas aux même normes est mode de fonctionnement que les keiretsu… Se pose la question de l’adaptabilité des modèles au changement ; il n’y a pas d’engouement pour la technologie en France, là où certaines autres cultures la valorise. capital humain, recherche et croissance endogène Voir cours sur la croissance

années 1950 aux années 1980, le Japon a connu une phase de « haute croissance » alors que les années 1990 constituent des années de ralentissement. Le capitalisme japonais repose sur la synergie entre l’Etat et les firmes. Les grandes sociétés, les keiretsu , réalisent des concentrations de type conglomérats. Les firmes industrielles sont soutenues par le secteur bancaire et appuyées par de grandes firmes commerciales, les Sogo Shosha. L’intervention de l’Etat est sensible. Le MITI joue un rôle très

concurrence japonais : émergence d’une école de production, « Ohnisme » ou « Système de Toyota » : Volet de Production : Lean production (Flexibilité), Kaiban (JIT : flux tendu)1 Volet de Qualité : Kaizen (TQM : présenté après, avec logistique), Keiretsu (Fournisseurs : relation avec les Fournisseurs) 1 Regarder la page 8 « Just In flexibilité statique » . Gemaakt door Zmarrou Yassir 6 « Ca c’est juste l’histoire de l’entreprise Toyota, rien avoir avec le cours » Au départ, le nom

and has low reliability. This quality problem may not only halt Nissan’s European expansion but might also reduce current market share. Although there have been no reports of accidents caused by the defect in the engines, Nissan’s image as a major keiretsu has been severely affected. April 29, 2010 | Slide 35 weakneses Lack of Diesel Technology In the Japanese market, diesel accounts for only 0.4% of vehicles sold (Rowley, 2006). In contrast, diesel is very popular in Europe and in 2004 roughly