Keiretsu

elles étaient intégrées à un conglomérat industriel (un « keiretsu »), constitué d’une myriade de sociétés, dont elles finançaient les multiples activités par du crédit bancaire. Comme les keiretsu intervenaient sur plusieurs secteurs économiques, les banques ne mettaient pas tous leurs oeufs dans le même panier (en termes économiques, elles procédaient à une « mutualisation » du risque). P O U R A L L E R P L U S L O I N Le keiretsu, une forme de coordination alternative au marché Avant

après la Seconde Guerre mondiale (haute croissance et premier rang mondial dans les secteurs de la sidérurgie, des constructions navales et de l’électronique. 2) Une économie dominée par des conglomérats L’économie japonaise est dominée par des Keiretsu (grandes firmes, comme Sony, Mitsubishi, Toyota). Ces conglomérats ont une société commerciale et bancaire, la Sogo Shosha. La population active est disciplinée et considère souvent l’entreprise comme une seconde famille (emplois à vie et rémunérations

industrielles se localisent toutes dans la mégalopole.Toutefois une désindustrialisation se produit en raison des délocalisations . Les grands conglomérats qui dominent la vie économique y sont présents :avant 1945 on les appelait zaibatsu ,aujourd'hui keiretsus C) Un exemple :le Grand Tokyo: Tokyo est un des grands centres de commandement du capitalisme mondial .Au demeurant c'est une des métropoles mondiales.Elle concentre toutes sortes de pouvoirs:pouvoir politique ,pouvoir financier ( le Kabuto-chô

bord et performances dynamiques. 2) INCONVENIENTS DE L’ALLIANCE L’Alliance Renault-Nissan, bien que très avantageuse, a aussi connu quelques ombres au tableau. • Traitement de choc du personnel de Nissan Il y a le démantèlement des « keiretsu ». Quelques 21.000 salariés et 500 équipementiers font les frais de cette Alliance, et en particulier du plan GHOSN. Les coûts de personnel et la facture achats sont considérablement allégés. De plus, le plan GHOSN sonne l’abolition de l’emploi

Viêtnam) et la Chine qui "décollent". • Tous sont touchés par une crise au milieu des années 90 qui marque la fin d'une période de croissance ininterrompue. Une structure industrielle similaire : quelques grands groupes (Chaebol en Corée, Keïretsu au Japon) et une foule de PME qui alimentent les grands groupes et amortissent les crises. Le modèle suivi dans tous ces pays est très proche et s'inspire du Japon : • Développement des industries demandant peu de compétences : industries de

sites de production de la firme nippone sur le Vieux Continent sont nombreux et leur localisation est un bon révélateur des stratégies d'implantation des grandes multinationales. Née après-guerre, Sony n'appartient pas aux grandes dynasties et aux keiretsu (grands conglomérats japonais) traditionnels. Elle a bâti son ascension dans les années 60 sur une forte image de marque acquise dans l'électronique de loisir (TV, vidéo, audio, composants) puis dans les programmes (cinéma, musique). Pour des raisons

Présentation, dans le texte, des sources d’information : (auteur, date). Exemple : - Ouchi (1985) conclut que le dialogue constructif établi entre les firmes des conglomérats et le gouvernement permet de développer des relations non antagonistes. Les Keiretsu représentent la contribution japonaise la plus importante pour le capitalisme moderne (Johnson, 1990) 12 IAE de Poitiers – Guide de Rédaction du mémoire Présentation des références bibliographiques selon les exemples suivants : Pour un ouvrage

faiblesse relative des dépenses militaires (1 % du produit intérieur brut)48. L’organisation économique du Japon présente quelques traits propres : * des liens étroits entre industriels, sous-traitants et distributeurs dans des groupes appelés keiretsu ; * de puissants syndicats d’entreprise, avec peu de conflits et une culture du dialogue, un mouvement de revendications salariales annuel (shuntō) au printemps ; * de forts investissements dans la recherche et le développement. Jusqu’à

nationalistes et ce nationalisme est soutenu par le système de distribution japonais. Jusqu’aux années 1990, la distribution est largement contrôlée par les Keiretsu qui favorisent largement les produits nationaux. Jusqu’aux années 1990, l’économie japonaise repose sur les Keiretsu qui ont un capital extrêmement fermé. Dans le même temps, les Keiretsu investissent massivement dans les autres pays d’Asie et dans les différents PDEM et ils ferment leur capital, c’est le paradoxe japonais. Le Japon réussit

redressement de Nissan. Pour diminuer le pouvoir des « keiretsu » (groupes d’entreprises liées entre elles par des valeurs communes, des relations d’affaires ou des participations croisées et qui empêchent une dynamique concurrentielle et des prix de marchés - notamment entre les fournisseurs et les constructeurs automobiles), il a été décidé de remplacer plusieurs responsables et de modi!er les contrats avec les fournisseurs. Démanteler les « keiretsus » n’a pas été une tâche aisée, ni une idée facilement