Jusqu'à mon dernier souffle

lui inspire le recueil Les méditations. Cela lui vaut une renommée importante et soudaine.Lamartine publie successivement Les nouvelles méditations, La mort de Socrate, Le dernier chant du pèlerinage d'Harold. En 1838, Lamartine témoigne en faveur de Sébastien-Benoît Peytel, un ancien actionnaire du journal Le Voleur. Ce dernier est accusé de meurtre. Lamartine se joint en fait à Balzac et Gavarni dans sa démarche, mais en vain: Peytel sera guillotiné le 28 octobre 1839. En 1839 paraît Recueillements

(Il partit, revint, repartit. Il décida de partir définitivement. Le récit devrait s'arrêter ici, le livre se fermer sur lui-même)." (p.9) Avant même que l'histoire ne commence, le discours de cette phrase fixe le destin du récit. A peine ce dernier commence-t-il qu'il "devrait" être plié. Le récit s'ouvre sur l'idée de la fermeture. La parenthèse initiale se veut ici clôture ; car, désormais, tout est déjà dit. Que reste-t-il en effet à dire après que l'histoire a été ramassée en une seule

écrit de l’auteur de l’image : Jacques Louis David est un peintre et conventionnel français né à Paris en 1748 et mort à Bruxelles en 1825. Il fut formé à l’Académie royale de peinture et de sculpture grâce à François Boucher, peintre du roi. Ce dernier étant trop âgé le confie à Joseph-Marie Vien qui l’inspire l’art antique et le néo-classique. David part à Rome pour exercer son métier de peintre et remporte le prix de Rome en 1774. Il revient à Paris en 1780. Son talent est reconnu et David fait

ébullition, le « cœur anxieux » 1) Katabolonga est un des premiers personnages à être décrit et ce sera un des derniers à disparaître Sa solitude est frappante : Il incarne la solitude, la discrétion, le devoir (sa tâche « sans croiser personne » « pas un bruit ») et cette apparition fait écho à sa disparition : Il mourra seul, auprès du tombeau de Tsongor. Katabolonga est l’un des derniers chefs à avoir été battus par Tsongor. Il incarne en quelque sorte l’ennemi ultime mais aussi le symbole de la

l’un à l’autre, ils titubèrent jusqu’à la chambre et roulèrent sur le lit. Leurs derniers vêtements tombèrent à terre et les doigts de Jared cherchèrent l’écrin intime de Tasha, pénétrant, remontant au cœur de sa moiteur. Il sentit son plaisir déferler alors qu’elle gémissait son nom. — Jared, mon amour… Viens… maintenant, supplia Tasha. Il se glissa en elle et retrouva son enivrante chaleur. Elle l’accueillit en le serrant tellement fort que Jared en eut le souffle coupé. S’accordant à son rythme

ensuite les réactions de ces derniers, et enfin, la réaction du gouvernement. I – La Crise du disque des années 2000 A partir de 2002, l'industrie du disque entre dans une crise qui, en 2009, aura divisé son chiffre d'affaire par deux. Quelles en sont les causes ? 1) Le téléchargement illégal : cause ou conséquence ? Souvent pointé du doigt par les majors, ce dernier les priverait d'une partie de leur chiffre d'affaire, expliquant ainsi la baisse de ce dernier lorsque, à partir de 2002, celui

moment-là, le seul son perceptible était celui des matraques des gardiens heurtant leurs paumes. Réguliers. Angoissants. Menaçants. Dangereux. Tel des battements de cœur ; puis, peu à peu, le brouhaha repris alors que les condamnés retenaient leur souffle comme si la vie de cette gamine en dépendait. L’homme qui, il y a quelques minutes, ne laissait paraître qu’une ébauche de sourire ne tarda pas à beugler : « A bat la parasite ! ». Les hommes ne s’éternisèrent guère à suivre l’émeutier et au bout

1) Le corpus proposé présente trois extraits de romans. Les deux premiers sont du XIXème siècle : « Adolphe » de Benjamin Constant et « Illusions perdues » de Balzac, le dernier est postérieur et date de 1942 puisqu’il s’agit d’un extrait de « L’Etranger » d’Albert Camus. Or, chacun de ces extraits propose des points de vue narratifs différents. « Adolphe » et l’Etranger sont écrits à la première personne (« Je venais de finir », « j’ai enterré ma mère ») ; cette marque d’énonciation indique un

( Apres etre rentrer d'une journée de cours dont mon dernier etait celui d'art plastique, la prof nous avait demandé de dessiné un "montre". Suite a cela j'avais posé mon dessin sur mon chevet. Je suis dans mon lit prete a m'endormir mais un evenement fantastique survint ...) Pendant un moment je crus dormir mais un bruit vint troubler mon sommeil. Un grognement roque et effrayant tel une bête enragée enfermé dans une cage se fit entendre! Je me levai immédiatement et vit quelque chose qui me

talons des nazis résonner dans le couloir et set se rapprocher de ma cellule. Je sais que dans le couloir c’est l’heure ; le moment est venu pour moi de vous dire au revoir. Prenez soin de vous, de votre mère, et luttez contre les ennemis jusqu’à votre dernier souffle car c’est seulement unis qu’on les vaincra. Ne m’oubliez pas et souvenez-vous de clac : la souffrance n’est qu’un mot, qu’un émotion quine veut rie dire , qui si on le veut peut paraître faible. Surmontez-là ! Ma mort n sera qu’une étape